En plein été 2025, alors que les basses de Musilac font vibrer la Savoie, l’aire de repos entre Le Bourget-du-Lac et La Motte-Servolex, avec ses bois touffus et ses sentiers cachés, se transforme en un terrain de jeu pour une orgie sauvage et sans tabous. Festivaliers rentrant tard, corps électrisés par la musique et l’alcool, venez assouvir vos désirs les plus bestiaux. Moi, passif affamé, trentenaire au corps svelte, cul bombé et gorge insatiable, je m’offre à vos queues en feu pour une nuit de débauche brute sous les étoiles savoyardes.Imaginez l’ambiance : la nuit tiède, saturée d’effluves de pin, de sueur et de testostérone, les échos lointains des riffs de guitare de Musilac. Vous, festivaliers en chaleur, êtes un mélange explosif de mâles alpha. Des rockers baraqués, torses sculptés, tatouages dégoulinants de sueur, jeans moulants laissant deviner des bites épaisses et veineuses, prêtes à exploser. Des minets bronzés, abdos ciselés par les nuits de fête, regards provocateurs et queues longues, lisses, palpitantes de désir. Ou encore des camionneurs robustes, mains rugueuses, biceps saillants, armés de gourdins massifs, 20 à 25 cm, prêts à me ravager sans pitié. Vous vous réunissez dans un coin reculé des bois, là où les sentiers sinueux mènent à une clairière discrète, à l’abri des regards.Je suis là, à poil sur un tapis de feuilles, à genoux, les lèvres entrouvertes, prêt à vénérer vos corps. L’un de vous, un colosse tatoué aux pectoraux luisants, s’avance, défait sa braguette et sort une queue monstrueuse, déjà luisante de précum. Je l’engloutis, ma langue dansant sur son gland gonflé, descendant le long de sa hampe veinée, gobant ses couilles lourdes qui pendent comme des fruits mûrs. Il grogne, m’empoigne les cheveux et force sa bite au fond de ma gorge, me faisant baver et gémir. Pendant ce temps, un minet aux abdos d’acier s’approche par derrière, crache sur mon cul frémissant et enfonce ses doigts pour préparer mon trou. Sans attendre, il me pénètre d’un coup sec, ses 22 cm me remplissant jusqu’à la garde, ses hanches claquant contre mes fesses rebondies. Chaque coup de reins m’arrache un râle, étouffé par la bite qui m’étouffe en gorge profonde.Mais ça ne s’arrête pas là. Un troisième, un festivalier aux dreads et au torse bronzé, se joint au jeu. Il me soulève, me plaque contre un arbre rugueux, et pendant que le minet continue de me pilonner, il glisse sa queue épaisse entre mes lèvres. Je suis pris en étau, doublement pénétré, mon corps tremblant sous l’assaut. Les autres forment un cercle, se branlant, leurs bites raides lu ...

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