En posant mes valises dans cet hôtel pour la saison, j’étais un parfait étranger. L’avantage ? Logé, nourri, tout compris. Pas besoin de chercher un appart, et mon salaire restait intact. On m’indique ma chambre à l’arrivée, mais surprise : c’est une double. Personne ne m’avait prévenu.La chambre est spartiate mais correcte : deux lits une place, deux bureaux, deux armoires, mais une seule salle de bains avec une douche à l’italienne, spacieuse, carrelée de noir, parfaite pour se détendre. Je défais mon sac, suspends mes chemises blanches impeccables – faut être classe pour le service – et, profitant d’être seul, je file sous la douche. L’eau chaude ruisselle sur mon corps, détendant mes muscles tendus par le voyage. Je me savonne lentement, laissant mes mains glisser sur ma peau, imaginant déjà la saison à venir. À peine sorti, une serviette nouée bas sur les hanches, la porte s’ouvre brutalement. Je fais du bruit pour signaler ma présence. « Y a quelqu’un ? » lance une voix grave. « Ouais, c’est moi, Léo. T’es le nouveau ? » Je réponds, un peu gêné, que je viens d’arriver et que j’ai pris une douche pour me rafraîchir. « T’as bien fait, vu la fournaise ! » réplique-t-il avec un rire rauque.Je resserre la serviette, révélant juste assez la ligne de mes hanches, et sors de la salle de bains. Là, je découvre Léo. Grand, la trentaine, des cheveux châtains en bataille, une barbe de trois jours qui accentue son air viril. Son uniforme de service – pantalon noir moulant et chemise blanche entrouverte – épouse un corps sculpté par le sport. Ses pecs saillants tendent le tissu, et un duvet sombre s’échappe de l’échancrure, traçant une ligne jusqu’à sa ceinture. Le pantalon, serré, ne cache rien : une bosse impressionnante se dessine, suggérant une virilité assumée. Je sens une chaleur monter en moi, mes yeux s’attardant sur ses cuisses musclées.« Enchanté, moi c’est Alex, arrivé aujourd’hui. On partage la chambre, apparemment ? » dis-je, tentant de garder un ton neutre. « Ouais, j’espère que t’es pas trop bordélique », répond Léo avec un sourire en coin, ses yeux bleus perçants me jaugeant. « T’inquiète, je suis clean. Mais j’ignorais qu’on serait à deux… » Il éclate de rire, un son grave qui fait vibrer l’air. « Quoi, tu voulais une suite avec room service ? » Ses fossettes se creusent, et je ne peux m’empêcher de détailler son torse, visible à travers la chemise à moitié déboutonnée. Des abdos ciselés, un duvet qui descend en V vers son entrejambe, et cette bosse… Mon pouls s’accélère.« Pas de souci, mec, tant que t’es cool, ça va le faire. Je termine dans deux semaines, donc t’auras vite la chambre pour toi. » Il s’approche, son odeur – un mélange de sueur masculine et de parfum boisé – m’enveloppe. « Faut que je me change, je suis trempé. T’as fini dans la salle de bains ? » Je me rends compte que je bloque la porte, hypnotisé par ses biceps qui roulent sous sa peau alors qu’il retire sa cravate. « Ouais, vas-y, désolé ! » dis-je, me décalant, la serviette glissant légèrement, révélant la courbe de mon cul.Léo entre dans la salle de bains, laissant la porte entrouverte. J’entends l’eau couler et, sans réfléchir, je m’approche. À travers l’embrasure, je le vois, nu sous la douche. L’eau ruisselle sur ses épaules larges, glisse sur son dos musclé, puis sur ses fesses rondes et fermes, légèrement poilues. Sa main savonne son torse, descend lentement vers son entrejambe. Je retiens mon souffle, sentant une tension grandir sous ma serviette. Il se retourne, me surprend en train de l’observer. « Tu mates, ou quoi ? » lance-t-il avec un sourire narquois, sans chercher à se cacher. Son sexe, épais et à moitié dur, repose lour ...
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