Avec mes facilités à étudier, je me dirigeais naturellement vers la médecine. Les traditions ne se perdant point, la journée de bizutage était le prétexte de se retrouver à poil dans des situations plus ou moins risquées, mais aussi cela me permettait de voir encore des bites et queues. La journée commença calmement, puis l’après-midi était déjà plus chaude, puisque les étudiants de deuxième année se jetèrent sur des premières années pour les foutre à poil dans la fontaine sur la place du village. Le soir, cela se passait sur la scène d’un amphithéâtre. Une dizaine de mecs durent se déshabiller. Le premier à poil gagnait le titre de roi de la soirée et pouvait infliger des gages. Les filles étaient épargnées, mais profitaient tout comme moi du spectacle de sexes du plus petit au plus impressionnant dont le propriétaire s’amusait à agiter de gauche à droite. Je recherchais toujours des moyens de regarder la nudité en général, plus particulièrement celles des hommes. Les activités sportives étaient souvent l’occasion de mater durant la douche collective. Je décidais d’aller passer quelques jours de vacances dans un camp naturiste dans lequel je pouvais voir les objets de mes fantasmes. Il y avait ceux qui faisaient leur jogging, leur sexe en mouvement, ceux qui allaient dans l’eau leur sexe et testicules bien détendus, ressortant avec leur attribut plus compact, celui qui partait le sexe décalotté, ressortait son gland recouvert de son prépuce rétracté. J’ai même vu un couple marchant sur le sable, dont le gars avait un début d’érection qu’il ne cachait pas, presque fier de son état. J’avais découvert le plaisir de ne rien porter sous mon short lorsque je faisais mon jogging, sentant mon sexe bouger au rythme de ma course, même parfois selon ma pensée avoir une érection que je maitrisais pour ne pas choquer les coureurs croisés, ou bien sous mon pantalon, en particuliers lorsque j’étais de permanence nocturne à l’hôpital. Lors de mon internat, j’avais accès à la nudité de certains patients. Je me rappelle, une nuit de garde, un jeune homme qui devait subir une intervention chirurgicale nécessitant le rasage intégral de son intimité avait demandé à l’infirmière de garde si cela pouvait être fait par un homme. Je ne me fis pas prier pour le faire. Je m’annonçais en entrant dans sa chambre en disant : « Voilà le barbier ! »J’avais devant moi un jeune homme d’une vingtaine d’années, avec une chevelure frisée brune très fournie, une barbe de trois jours, un sourire ravageur pour cacher son embarras. Il me remercia d’avoir accédé à sa demande. Pas de souci, répondis-je. Je lui dis qu’il devait se détendre, et pour cela mettre ses bras sous sa tête, que cela allait bien se passer. Ses aisselles étaient aussi bien fournies. J’ôtais le drap qui le recouvrait. Il était en caleçon. Je lui demandais de soulever son bassin afin de glisser une alaise sous ses fesses. Une fois l’alaise mise en place, je retirai son caleçon. Je découvris un superbe sexe bien calotté reposé sur ses testicules, le tout dans une toison de poils noirs assez denses. En rigolant, je lui dis qu’il y avait du boulot. Je commençais par désépaissir aux ciseaux en soulevant des touffes de poils, les coupants assez ras. Ma main tenant les ciseaux reposait sur le début de sa verge toujours bien sage. Je dus écarter ses jambes pour accéder sur le côté de ses boules de belles proportions Tantôt je les repoussais d’une main et coupais de l’autre, tantôt je devais les soulever pour tailler dessous. Lui était toujours dans la même position, l’air détendu. Après avoir terminé cette première coupe, je débarrassais de ma main les poils restés sur son ventre. Je constatais à cet instant que sa verge avait grossi, s’était légèrement soulevée. J’étalais la mousse aux endroits à raser. Je dois dire que dans mon pantalon, la mienne aussi se réveillait. A la fin de la préparation au rasage, sa queue était entièrement redressée. En rigolant, je lui dis :- « Je t’avais dit de te détendre ». - C’est vrai mais je suis très épidermique.- Ce n’est pas grave entre nous, mais pour ne pas être dérangés, je vais fermer la porte à clé. En revenant vers le lit, il ne pouvait pas ne pas s’apercevoir que ma braguette était bien tendue et de me dire avec un sourire ravageur :- Ce n’est pas grave entre nous Mon rasoir en main, je m’appliquais à mon ouvrage, choisissant la meilleure position. Soudain, j’ai senti sa main caresser ma braguette, carrément saisir ma bite à travers le tissu blanc de mon pantalon de médecin. Je lui dis que si il continuait, j’allais tâcher mon « blanc de travail » Sans se démonter, il dénoua la ceinture, et mon pantalon chuta sur mes chevilles. Alors que je me concentrais sur mon travail pour ne pas le couper, lui se concentrait sur ma queue aussi raide que la sienne, jouant à me décalotter, passant sa main entre mes cuisses pour saisir mes testicules, les faire rouler entre ses doigts. Je lui demandais de soulever ses jambes, d’écarter ses fesses avec ses mains afin d’aller raser aussi son anus. Il ne se fit pas prier. J’avais une vue panoramique sur sa jolie rondelle rosée, bien gardée par ses poils. J’étalais avec mes doigts là aussi de la mousse à raser. Une fois terminé, j’ai rincé avec un gant tout ce qui restait de mousse, m’appliquant bien entre ses fesses, essuyant bien sa verge que je décalottais au passage, découvrant un gland bien rond, bien rose, bien luisant de pré-cum. Rasé comme il l’était, sa queue semblait encore plus grande. Encore humide, je ne pus me retenir pour la première fois d’approcher ma bouche, d’y faire pénétrer ce gland si désirable. Sa main appuya sur ma tête me la fit engloutir entièrement. A entendre ses gémissements, je savais le plaisir que je lui procurai, autant que celui que je prenais. La nuit suivante, étant d’astreinte, je suis allé rendre visite à mon « client » de la veille. Il était un peu groggy mais détendu avec toujours le même sourire. Je lui demandais comment il allait.- J’ai un peu mal, mais j’ai passé une nuit très détendu grâce à vous, moi qui appréhendais l’intervention. J’espère que vous viendrez me faire mes pansements.- Comme je ne suis pas le chirurgien qui t’a opéré, c’est une autre équipe qui s’en chargera, mais s’il y a un problème, je suis de garde de nuit toute la semaine.- La nuit suivante, il me fit appeler. Une fois dans sa chambre, il me dit qu’il avait un peu mal. J’ai soulevé le drap, décollé doucement le pansement, il en profita pour me caresser les fesses. La cicatrice était impeccable. Je lui dis que tout allait bien, qu’il fallait qu’il soit patient avant de pouvoir jouer avec son sexe, de me répondre :- je voulais vous voir pour vous remercier du plaisir que vous m’avez procuré avant l’opération. Lors des prises de service, je consultais la liste des patients présents. Le nom du jeune patient était absent. Il était sorti le matin, en me laissant un petit mot dans une enveloppe avec son numéro de téléphone. Le matin, au changement d’équipe médicale, je croisais le regard d’un jeune interne qui ne baissa pas les yeux. Ce petit manège dura jusqu’au jour, où entrant dans le vestiaire, un collègue était en train de se changer. Dans le monde médical, la pudeur n’est pas de mise, aussi j’ai pu voir ses fesses. Entendant la porte il s’est retourné. Ma surprise fut grande et heureuse de voir le jeune interne du matin. Il me tendit la main et me dit :- Je voulais savoir comment se passaient les gardes de nuit.- Bienvenue, lui répondis-je. Lors des pauses, nos discussions se précisaient. J’étais persuadé qu’il cherchait à aller plus loin dans le contact. Cela est arrivé une nuit de garde très calme, peu de patients sans grande pathologie. J’en profitais pour aller me reposer dans la pièce qui nous était réservée. Nous ne verrouillons jamais la porte. Allongé à même la couverture, je me suis assoupi. Je fus réveillé par le bruit de la clenche. Je distinguais à la lueur de la veilleuse mon collègue portant juste son caleçon. Surpris, je ...
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