L'aprem se passe tranquillement avec les copains, mais je n'arrête pas de penser au rencard avec Pierrot.J'évite de croiser son regard mais mes yeux se dirigent fréquemment vers sa braguette.Je suis pressé d'arriver à l'heure du rdv.Je n'arrête pas de bander en pensant à ce qui m'attend.L'heure venue, je vais sur la coursive, du côté où on s'est donné rdv.Je me mets le plus loin possible, de façon à ne pas risquer d'être vu par quelqu'un qui se mettrait à la fenêtre ou au balcon.Les coursives sont bien éclairées, et si on me voit, on se demanderait ce que j'y fais.Sachant qu'il n'y a pas de jeunes de ce côté, et que j'habite dans un autre bloc.Je vois enfin arriver mon me. Je n'attends pas et je file directement vers l'ascenseur.Il me rejoint et j'appuie sur le bouton de la dernière coursive.J'enlève mon short et mon slip, lui fait tomber ses affaires à ses chevilles.Je me tourne et me penche légèrement pour lui offrir mes fesses.Un peu de salive et il s'enfonce dans mon anus déjà ouvert tellement il l'a attendu.Je me rends compte qu'on a pas bloqué l'ascenseur et lui demande d'appuyer sur le bouton d'arrêt.Au lieu de çà, il me coince contre la paroi du fond et me soulève un peu pour me mettre à la bonne hauteur.Moi, je risque la honte si on nous surprend, mais lui c'est direction le commissariat, vu qu'il est majeur.Non seulement, il y a attentat à la pudeur, mais l'homosexualité était encore un délit à cette époque.Je me débats en lui disant qu'on risque de nous faire choper.Au moins, si on me voit me débattre, on pensera que je ne suis pas d'accord.Mais pourquoi je tiens mes affaires dans la main, et pourquoi je ne cries pas à l'aide?Je ne saurais quoi répondre.L'ascenseur arrive au dernier étage et la porte s'ouvre automatiquement.Personne.Je suis soulagé.Il m'entraîne à reculons, toujours planté entre mes fesses, et on se retrouve dans la cage d'escaliers.Alors là!Si quelqu'un ouvre une porte, il ne peut rien rater.- Pierrot, s'il te plaît! Viens, on retourne dans l'ascenseur.- mais non! Y'a aucun risque si on ne fait pas de bruit.J'ai beau insister et le supplier, il continue à me limer.Le stress fait que je ne bande plus.Je me laisse faire en espérant qu'il finisse avant que quelqu'un ne sorte.On sait jamais, si un type vient rendre visite à ses parents et qu'il décide de rentrer chez lui et nous surprend.Il finit par me remplir de son jus en poussant un râle étouffé.Une fois dans l'ascenseur,- t'es un enfoiré!- c'est trop bon, avec le danger!- j'ai pas aimé, moi!- tu verras, avec le temps.- mes couilles! C'est la dernière fois.Je le raccompagne chez lui.- qu'est-ce que tu veux?- how! J'ai les couilles pleines depuis cet aprem!- je croyais que c'était la dernière fois!- ouais, dans l'ascenseur!- ok! T'en veux encore, salope! Viens!Il s'allonge sur le dos et attend.Je me fous à poil, mais pas lui.- eh bé ?- déshabille-moi!Ok! C'est celui qui va se faire sodomiser qui doit faire un effort.Il ne bande plus.Il faut en plus que je le suce.Je m'exécute.Il rebande assez vite.Je me mets en levrette à c ...

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