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Marie-Chantal 5 (Fin)

Publié par : anna72 le 18/01/2020

CHÂPITRE 5Je suis en train de finir de me préparer quand j’entends l’autre con de Robert- Marie-Chantal ont à faim. Crie-t-ilAlors vient par ici grande salope et magne toi le cul de nous faire une omelette, parce que te baiser ça creuse. Me dit-ilQuand il me voit, il me dit- Qui t’a permis de remettre ta chemise de nuit ?- Personne je suis grande, je fais ce que je veux. Répondis-jeCe connard me balance une mandale qui me pousse contre le chambranle de la porte, m’assommant à moitié.- Ha tu crois çà, alors tu n’as rien compris, les patrons c’est nous, tu fais ce qu’on te dit ou ça va chier pour ta gueule, tu n’en as pas eu assez ? Me demande-t-il- Si répondis-je- Alors enlève tout de suite tes frusques et si tu dois t’habiller c’est moi qui te dirait quoi mettre sur ton cul, compris salope ?- Oui. Répondis-je- Alors fais l’omelette maintenant connasse. Me Dit-il Espérant qu’après cette omelette, ils finissent par partir, je me dépêche de battre des œufs et de cuire une omelette.Ces connards se goinfrent et picolent encore. J’attends à poils debout dans la cuisine qu’ils se taillent, mais ils n’ont vraiment pas l’air pressés.Robert est sorti tout à l’heure, je le croyais parti aux toilettes, mais je le vois revenir avec mes bottes en cuir à la main, ma petite jupe noire.Ce pourri a été fouillé dans mon dressing.- Tiens salope mets tes bottes et magne toi le cul. Me dit-il en jetant mes bottes à mes pieds- Je ne peux pas les mettre comme çà, il faut des chaussettes ou des collants. Dis-jeRobert repart et revient trois minutes après avec une pochette de Dim up résilles à coutures- Tu n’as plus d’excuses maintenant. Me dit-ilJe m’assois et enfile la paire de bas, ainsi que mes bottes, ce sont des bottes cavalières qui m’arrivent aux genoux, mais c’est quatre cons fantasmes la dessus.Dès que je me redresse, ils bavent en me reluquant, et voilà 4 pines au garde à vous, non mais ils sont pire que les bonobos ces mecs.Waouh !!! Fait l’un deuxViens par ici nous faire voir ton cul. Dit William Puis il m’oblige à marcher jusqu’au salon où roupille Gégé puis revenir plusieurs fois de suite uniquement pour me voir marcher avec mes bottes.Enfile ta jupe de pute maintenant. Me dit RobertJe m’exécute et reviens vers eux avec ma petite jupe noire qui m’arrive à mi cuissesAu bout de dix minutes je vois Pédro qui parle à l’oreille de Robert, ce dernier acquiesce, se lève et quitte la pièce.Quand il revient, je vois qu’il est revenu avec la ceinture de mon peignoir, ainsi que celle de celui de Géjé. Tout ça ne présage rien de bon pour moi.Pédro dit aux autres - Bon on s’amuser encore un peu les gars, et après moi j’y vais.Il tire la table du salon et me dit- Approches ma grosse.Redoutant le pire, je fais quand même ce qu’il demande.- Mets tes pieds de chaque côté de ceux de la table.Je m’exécute et aussitôt les mecs attachent mes chevilles aux pieds de la table de salon.- Très bien, maintenant fais de même avec tes mains, là encore je fais ce qu’il me demande et aussitôt les mecs attachent mes poignets aux deux pieds avant de la table, Ainsi attachée ma tête est beaucoup plus basse que mes fesses qui sont bien relevées. Pédro s’approche et s’amuse à balancer mes seins qui pendent.Puis il me bâillonne avec une serviette et me bande les yeux avec une autre.Ne rien voir de que cette louchée de cons se prépare à me faire subir, me stress énormément.Mais je comprends rapidement qu’ils ont fouillé dans ma table de nuit et trouvé mon godemichet vibrant.Je ne sais pas lequel stimule mon clitoris avec, mais ce dernier est encore très sensible depuis la dernière séance qu’ils m’ont fait subir, rapidement je me tortille essayant d’échapper à cette stimulation qui est devenu insoutenable, je suis prise de spasmes tellement c’est sensible, j’en pleure. Heureusement le supplice s’arrête enfin, mais ces fumiers me réservent autre chose. D’ailleurs pour preuve qu’ils ont fouillé, ils ont dû trouver aussi ma petite pompe à vide, il positionne le tube dans lequel sera aspiré mon petit bouton et active la succion, rapidement mon clito qui est hypersensible est aspiré, et maintenant je suis sûr qu’il fait trois fois sa taille normale, je n’en peux plus, j’ai mal tellement il est sensible.J’entends toute cette bande de débiles rire aux éclats et je ne supporte plus leurs rires.Enfin ils arrêtent de pomper pour aspirer mon clito, quel soulagement, on me retire le tube dans lequel se trouve mon clito qui a maintenant la taille d’un petit cornichon.Les uns après les autres ils glissent leur tête sous ma jupe, et s’amuse à sucer mon clitoris comme ils le feraient avec un téton.Mon clito était déjà très sensible, mais là c’est un vrai supplice.Immobilisée aux niveaux des chevilles et des poignets, je ne peux me soustraire à tout çà.Les mecs se marrent de m’entendre crier, mais mes cris sont étouffés par le bâillon qu’ils ont improvisés, et ça les amusent beaucoup de voir de grands filets de bave couler de ma bouche.Enfin ils arrêtent de suçoter mon petit bouton distendu.Robert m’enlève mon bâillon et me colle sa bite dans la bouche- Allez suces grosse pouf. Me dit-ilComme je ne veux plus être battue, je suce sa bite sans discuter, dans le même temps je sens que l’on relève ma jupe sur le bas de mon dos.Puis j’entends Robert dire - Allez Jean ! Défonces lui le cul à cette grande pute.Tout de suite après, je sens une main qui écarte mes grosses fesses, puis un doigt force mon trou du cul et surprise le mec m’a enfilé un doigt sans aucune difficulté, et sans lubrifié ni son doigt, ni mon petit trou de balle. Pédro avec sa grosse pine a vraiment détendu mes sphincters.L’homme qui baise comme un lapin retire son doigt de mon cul et colle sa bite contre mon petit trou, il me cramponne par les hanches et pousse un coup sec.- Aïe fais-je quand il me pénètre, même s’il n’est pas très bien monté, il m’a prise sans avoir lubrifié, ni son sexe ni mon cul.Je ne peux même pas dire que j’ai vraiment eu mal quand il m’a pénétrer.Comme à son habitude Pépère éjacule précocement.- Merci Jean avec toi, mon supplice passe plus vite. Dis-je ironiquement- Ta gueule sale pute ! Tu perds rien pour attendre crois-moi. Me dit-ilPuis il se retire et me flanque une grosse claque sur le cul qui me fait hurler de douleur.Robert que j’ai arrêté de sucer pour me foutre de la gueule de Jean, m’envoie 2 baffes.Ferme un peu ta grande gueule et suces connasse. Me dit-ilJe le suce encore un peu, puis il dit- Maintenant que tu m’as bien pompé, je vais te la mettre dans ton gros cul, et puis j’ai envie de toi, tu m’excites avec tes bas, tes bottes et ta jupette.Il passe derrière moi relève ma jupe qui était retombée et sans ménagement m’encule aussi profond qu’il le peut, mais il est frustré que je n’ai pas crié, a sa grande surprise il est rentré comme dans du beurre. Alors il cri- Pédro ! Tu lui as vraiment élargi le trou du cul, elle ne sent plus rien même à sec on rentre dans son cul comme dans un moulin.Robert se démène dans mon trou du cul, mais je ne ressens rien, c’est donc tout essoufflé et en sueur, que ce connard fini par vider dans mon cul le peu de jus qu’il lui reste au fond des balloches.William décide de prendre le relai et m’encule sans plus de difficulté que les autres, puis s’active autant qu’il le peut mais dommage pour lui je ne ressens rien. Dans le mê ...

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