CHÂPITRE 2Pédro vient me retrouver dans la douche, il est nu comme un ver et me demande.- Alors ça y est, il est propre ton cul ? Alors à nous maintenant. - Suces moi bien, et appliques toi hein !Voyant que je ne bouges pas, il m’envoie une baffe qui m’envoie valdinguer contre le mur de la douche à l’italienne, je suis sonnée une fois de plus et suis quasiment KO debout.- Baisses toi et suces moi le dard, sale pute, tu l’as perdu ta grande gueule hein ! Tu vois quand tu tombes sur des vrais mecs, tu te fais mater et tu files droitJe m’accroupie et vais pour le prendre en bouche, mais quand précédemment je disais que ce mec était une masse et qu’il avait une encolure de taureau, il en est de même pour sa bite. Elle me semble énorme pas en longueur mais en grosseur.J’ai beaucoup de mal à la prendre dans ma bouche, mais je fini par y arriver et j’ai très mal aux commissures des lèvres.- Ne me raye pas le casque avec tes dents hein !!! Me crie-t-ilQuelques minutes après, il m’ordonne d’arrêter. Ouf pensée-je en moi-même, il était temps que ça s’arrête j’ai vraiment mal aux lèvres.- Mets-toi debout, penches toi et mets tes mains sur tes jambes le plus bas possible.Je fais ce qu’il me dit, mais Monsieur Pédro était présomptueux, car je suis plus grande que lui, je mesure 1.72 m pour 94 kg, alors tu penses le Pédro du haut de ses 1,55 m il lui faut un tabouret s’il veut me baiser.J’éclate de rire et lui dit - Alors Monsieur n’est pas à la hauteur de la situation on dirait ! Tu aurais dû écouter ta mère et manger de la soupe mon petit. Lui dis-je ironiquementMais Pédro n’aime pas mon humour, il me retourne et me balance des beignes à tour de bras et me crie - Ferme ta gueule grosse pute, je vais t’apprendre le respect moi connasse.Il arrête de me frapper et m’ordonne- Vas dans ta chambre grosse truie, je vais te baiser sur ton pieu.Je retourne dans ma chambre suivi de près par Pédro- Va au milieu du lit ma grosse, je vais te baiser en levrette, et quand j’aurais fini, ta moule ressemblera à une bouche d’égout.Le Gégé ne touchera plus les bords après que je sois passé. Me dit-il en éclatant de rire. - Ce fils de pute, ne me rebaisera jamais. Répondis-je- Allez ferme ta gueule! Tu vas voir je vais te faire crier et appeler ta mère, et tu vois c’est marrant, j’ai comme l’impression d’être à la hauteur maintenant, comme quoi la bonne longueur pour les jambes, c’est quand les pieds touchent par terre.Et c’est sur ces bonnes paroles qu’il écarte ma petite moule avec deux doigts, et enfile dedans le gros bout de nerf qu’il lui sert de sexe.Comme je ne mouille pas, sa grosse queue me fait mal en rentrant, mais bon ça va, il y va doucement au début puis de sa main gauche caresse mon clito, et au bout d’un moment ça va mieux, je mouille et commence à geindre, ce fumier va finir par me faire jouir avec sa grosse pine, il faut dire que j’en avais jamais vu d’aussi grosse.Dans les glaces des portes de la penderie je l’observe.Maintenant Pédro a passé ses pieds devant mes cuisses, dans cette position on dirait un jockey au grand galop, il me baise à la hussarde, sa main gauche a délaissé mon petit bouton et me cramponne maintenant par les cheveux, il me tape sur les cuisses comme si j’étais un canasson, me traite de pute, de salope, de chienne, de truie etc… et me défonce littéralement la chatte, j’entends ses couilles claquées sur mon cul à chaque coup de boutoir, et ma chatte qui fait des bruits de succion.Je voulais me retenir de jouir, mais putain ce qu’elle est bonne sa grosse queue, des cris de plaisir m’échappe, et plus ça va plus je crie fort.- OH! AH! AH! AH! HO! HA! HA! HA! -OH mon Dieu Non ! Non ! Non ! OH ! OH ! AH !- Tu aimes çà hein grosse pute ? Me crie-t-ilComme je ne lui réponds pas il insiste et tire très fort sur mes cheveux, et redouble de violence dans les claques qu’il me met sur les cuisses et les fesses.- Allez ! Grande salope dit le que t’aime te faire défoncer la moule ! Dit le que t’aime te prendre des grosses pines dans ta chatte, hein ! Dit le que t’es du cul salope. Me répète-t-ilJe sanglote, et des grosses larmes inondent mon visage, j’ai très mal à la tête, il va finir par m’arracher les cheveux s’il continue, et puis mes cuisses me brûle à force de prendre des coups, pour mettre fin à tout çà je fais ce qu’il demande. - Oui j’aime ça. Dis-jeMais ça ne lui suffit pas à ce petit fumier- Plus fort je veux t’entendre crier très fort, que t’es une grosse salope qui aime la bite, et se faire piner. Dit-ilComme les douleurs deviennent de plus en plus insoutenables, je cède et crie très fort.- Oui ! Je suis une grosse salope qui aime se prendre des grosses bites et me faire piner. Les autres connards qui étaient partis picoler dans la salle reviennent pour assister à la scène.- Bravo mon Pédro, tu l’as matée, c’est toujours le débourrage qui est le plus difficile, je savais bien que quelques tartes dans la gueule de cette grande jument allait la mettre au pas. Dit RobertWilliam et Jean encore un peu plus bourré qu’avant se marrent.- Allez ma grosse, dit-nous encore que tu es une grosse salope de suceuse et que t’aimes te faire défoncer le fion. M’ordonne Pédro en me tirant très fort les cheveuxSous la douleur, je crie à nouveau- Oui je suis une grosse salope de suceuse qui aime se faire défoncer le fion.Et naturellement tous rient aux larmes de me voir ainsi dominée par leur pote.Pédro lui passe la surmultiplié, et sa grosse pine me fait de l’effet, je sens le plaisir monté en moi de plus en plus, mon ventre fourmille, comme si tout bouillonnait à l’intérieur de mon corps.Les cris de plaisirs sont de plus en plus forts, je ne tiens plus, je vais bientôt jouir- AH! AH! AH! AH! AH! AH! AH! AH!! - Non ! Non ! Non ! Non ! Mon dieu c’est trop bon ! OH ! OH ! AH ! AH !! AH !Je suis sur le point de jouir, je ne sais déjà plus où je suis, j’ai très chaud.C’est le moment que William choisit pour caresser mon petit bouton du plaisir, les caresses de son doigt sur mon clitoris déjà tout raide, ajouté au coup de boutoirs brutaux de Pédro ont vite raison de moi.Je jouis et comme à mon habitude pas discrètement. Moi quand je jouis, je crietrès fort et c’est dans un OH ! Mon dieu pardon mais c’est t ...

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