L'été se terminait, mon séjour chez tante Mathilde aussi, nous dormions ensemble tous les soirs, j'étais branlé, sucé quotidiennement, elle m'offrait sa chatte, son cul aussi et je reçu feuilles de roses et doigtage intime.Un soir ou notre excitation était à son comble, j'ai pu juter 5 fois et nous nous sommes masturbés côté à côté pour essayer de trouver le sommeil. Le lendemain matin, exceptionnellement nous ne sommes pas allé aux champs. Mathilde s'est rendu dans une pharmacie pour nous acheter une pommade adoucissante tellement nos sexes étaient enflammés. Ses lèvres et mon gland étaient rouges de plaisir.Ce soir là, nous nous sommes couverts de baisers sur le corps, avons titillé nos pointes de seins, j'ai juté dans les draps sans m'en rendre compte et Mathilde a serré ses cuisses quand elle a senti un orgasme monter. Mathilde me promit une surprise pour notre dernier soir. Retour des champs, douche, branlette comme tous les soirs.Elle a quitté la salle de bain pour revenir avec les bras plein de vêtements. Tee shirt sans manche pour elle, mini jupe années 60 à fleurs aussi, et pour moi......culotte en coton blanc épais, soutien gorge pareil, et robe grise de bonne soeur. Ce soir, Patrick, tu seras Bénédicte, mon amour de jeunesse. Je ne pouvais lui refuser ce plaisir, elle m'avait tout appris, tout donné depuis plus d'un mois.J'enfilais la culotte , le soutien gorge. La culotte était si serrée que je pensais ne jamais arriver à bander avec. Mathilde prit mon sexe , le mit gland en bas, sur mes couilles, contre mon scrotum. Érection impossible. Le soutien gorge et la robe grattaient ma peau, mes cheveux courts furent revêtus d'un foulard blanc, mon visage juvénile me rendait crédible en soeur Bénédicte. Mathilde enfila tee shirt et jupe qui voulaient ses formes, la rendant encore plus désirable. Elle ne portait aucun sous vêtement. Je ne vous ai jamais parlé de la touffe de Mathilde, entièrement naturelle, un triangle frisé noir qui le plus souvent dépassait de sa culotte, sur le dessus et les côtés. Ses poils couraient le long de ses lèvres et rejoignaient son anus pour remonter dans sa raie fessière. Il m'arrivait souvent de juter sur son pubis ou dans sa raie puis d'étaler mon sperme dans ses poils. Mathilde se branlait alors en ramenant mon sperme vers sa chatte ou son anus. Ce soir là nous nous sommes assis à table, sur nos bancs habituels. La jupe de Mathilde était si courte que sa touffe était visible. Je bandais mais ma queue était comme encagée. L'épaisseur de ma robe m'empêchait de me tripoter. Nous avons mangé rapidement, Mathilde me dit Ce soir est pour moi, je veux te garder dans ma tête pour tout l'hiver. A partir de ce moment là, elle m'appela Béné.Viens au lit ma Béné Oui mon coeurRestons habillées si la mère supérieure passait me dit elle.Au lit, elle pris ma main, le porta à sa touffe, releva sa jupe sans l'ôter. Je commençais une douce pénétration quand elle se releva pour s'approcher de ma bou ...
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