CHAPITRE 4Résumé du chapitre 3 « Séance photos » : Alain m’a amené chez un photographe, il voulait prendre des photos de moi en tenue de pute afin de passer des annonces sur le net pour me mettre à la disposition des hommes. Son ami photographe a pris quelques photos de moi dans des positions très suggestives, puis d’autres photos pendant qu’ Alain me baisait et enfin je me suis faite baiser par les deux hommes à la fois, un dans mon cul, un dans ma bouche.Après que les deux hommes aient bien joui tous les deux dans mon cul et que moi aussi j’ai joui sous leurs coups de boutoir, nous avons quitté le photographe, il a dit à Alain qu’il lui envoyait immédiatement les photos par mail. Sur le chemin du retour, dans la voiture, Alain me dit qu’il était très fier de moi, que je me mettais totalement à sa disposition et à celle de tous ceux qui désiraient me baiser, que c’est cela qu’il attendait de moi. Il me rappela aussi que beaucoup d’hommes recherchent une jeune pute travestie comme moi mais qui soit totalement soumise et qui accepte d’être fessée, fouettée, attachée et bien sûr baisée. Il souhaitait voir si j’étais capable de recevoir et d’accepter tout cela et il estimait qu’il était temps de commencer mon éducation et mon dressage. En effet, je lui avais dit que je n’avais jamais pratiqué mais que j’étais prête à le faire pour le satisfaire, pour satisfaire tous les hommes et pour découvrir ce qu’est la soumission. De toutes façons, je sentais bien que je ne pouvais plus refuser, que j’étais déjà allée trop loin pour faire marche arrière et qu’Alain n’aurait pas accepté un quelconque signe de réticence de ma part. De plus je me sentais totalement sous son emprise, je ne pouvais plus rien lui refuser et je n’en avais pas intérêt. Je commençais d’ailleurs vraiment à être amoureuse de lui. En quelques semaines il avait fait de moi une vraie salope toujours en attente de bite, de la sienne bien sûr mais aussi de toutes celles qu’il désirait.Alain me dit que lui n’avait pas le matériel nécessaire pour me punir mais qu’il avait un couple d’amis qui avait aménagé son garage. L’homme était très dominateur et sa femme totalement soumise, ils avaient installé, une croix de Saint-André, un sling, une table gynéco, ils avaient toute une batterie de cravaches, de fouets, de martinets, de pinces, de godes et de plugs, de chaînes, de liens de toutes sortes.Il me dit qu’il voyait avec eux quand il pourrait utiliser leur local et qu’il me contacterait par SMS. J’étais très fébrile : je ne connaissais pas la plupart des instruments dont il m’avait parlé, je ne savais pas si je supporterais la douleur mais je n’avais plus mon mot à dire.J’avais de plus en plus de mal à aller en cours, toutes mes pensées étaient occupées à penser à Alain et de façon plus générale à la bite des hommes. Seule dans ma chambre je me perfectionnais sérieusement sur l’habillage et le maquillage par l’intermédiaire d’internet. Alain m’avait dit qu’il s’occupait de m’acheter des dessous et des tenues de pute, qu’il se rembourserait plus tard en me livrant aux hommes et en les faisant payer parfois. Sur internet, j’allais aussi de façon régulière sur les sites de rencontres homos, Alain m’avait autorisé à y aller, mieux encore il m’avait obligé à y aller au moins deux heures par jour pour trouver des hommes, mais je devais leur dire de voir avec lui pour concrétiser une rencontre. Alain venait lui aussi régulièrement sur ces sites pour me surveiller et voir si j’y étais. Il avait reçu les photos de son ami et m’avait envoyé quelques unes à publier sur les sites d’annonces.Quelques jours plus tard, je reçois un SMS d’Alain me disant de me trouver à notre point de rendez-vous habituel pour que nous allions chez le couple possédant un donjon. Il me demande de venir cette fois au rendez-vous totalement habillée en femme avec des bas noirs, un porte jarretelles rouge, un string rouge, un bustier rouge, avec la perruque et parfaitement maquillée, un peu moins pute cette fois, je devais faire crédible dans la rue sans choquer, il me dit de mettre mes cuissardes et le manteau en fourrure. Comme la fois précédente, j’attends une dizaine de minutes sur le trottoir mais, paradoxalement, je vois beaucoup moins de regards se poser sur moi, je prends alors conscience que je fais très femme et que personne n’ait étonné.Alain arrive, je monte dans la voiture et nous roulons une bonne demi-heure pour sortir de Brest. Dès la sortie de Brest, sur la route de campagne, il m’ordonne d’ouvrir sa braguette et de le sucer jusqu’à ce que nous arrivions, je me jette littéralement sur sa bite, j’en avais tellement envie, il durcit très vite et je peux alors effectuer de longs va-et-vient sur sa queue avec ma bouche tout en le caressant avec ma langue. Cette bite semble vraiment parfaitement adaptée à ma bouche. Il conduit encore une vingtaine de minutes pendant que je le suce puis nous arrivons, il referme son pantalon, je replace ma perruque qui avait un peu bougée pendant que je le suçais et nous sortons de la voiture. Daniel et Martine nous attendent derrière la porte du garage, nous entrons, Martine est entièrement vêtue de latex : bas, string, guêpière, escarpins, elle est très belle, brune et élancée. Elle est à quatre pattes et tenue en laisse. Daniel est aussi très bel homme, belle carrure, au moins un mètre quatre-vingt-dix pour quatre-vingt-dix kilos. Alain me présente :Salut Daniel, je t’amène cette petite pute travesti, je viens de la prendre en main, c’est déjà une très très bonne salope, elle suce divinement bien et se fait baiser avec plaisir, mais moi je désire en faire aussi une pute soumise, je veux qu’elle accepte les sévices comme elle accepte la bite.Très bien, pas de soucis, dis-donc Alain, tu les prends de plus en plus jeune, elle est majeure au moins ?Oui, elle a dix-neuf ans.Hum, super, je vais apprécier de la faire m’obéir et de voir sa peau rougir sous mes coups. Tu restes là ou tu me la laisses ?Je vais rester, je veux voir comment elle réagit et si elle est bien réceptive aux coups. Nicole, tu répondras à Daniel comme tu me réponds : en disant Monsieur.Bien Monsieur.Entre temps, Daniel est allé chercher un collier et une laisse :Nicole, retire ton manteau et mets toi à quatre pattes.Oui Monsieur.Oh là ! Elle a un superbe corps cette salope.Il me met le collier, y attache la laisse, il me met aussi un bandeau sur les yeux et me fait le suivre jusqu’à un anneau fixé au mur où il y attache l’autre extrémité de la laisse. Alain l’a suivi, ils se reculent tous les deux et admirent mon cul en faisant des commentaires :Elle a aussi un magnifique petit cul cette petite pute, on doit être bien à l’intérieur.Oh oui, elle a un superbe petit trou et elle adore la bite, tu sais qu’elle est presque vierge, elle ne s’est fait prendre la bouche que par deux autres mecs plus moi pour l’instant et son cul seulement par un autre il y a quelques jours.Hum, très bien, je vais me régaler. Tends un peu plus ta croupe, chienne et cambre toi davantage.Bien Monsieur.Je me sentais très humiliée, la tête tournée vers le mur et mon cul bien en évidence face à ces deux hommes qui y allaient gaiement de leur commentaires. J’étais aussi très inquiète, je sentais bien que Daniel était très dominateur et que j’allais sans doute me souvenir de cette première séance de soumission. Pendant qu’il parlait, il était allé chercher Martine qui l’avait suivi à quatre pattes elle aussi et il l’avait installé à côté de moi.Le premier coup de cravache sur la fesse droite me surprit totalement, je ne m’y attendais pas, il n’était pas très fort mais Daniel me l’avait appliqué sans prévenir.Tends encore davantage ton cul salope, viens chercher les coups de cravache, montre que tu aimes ça.Bien Monsieur.Le deuxième coup arriva presque aussitôt sur la fesse gauche. Il laissa quelques secondes pour me laisser bien sentir la petite douleur qui arrive quelques secondes après le coup et aussi pour me faire attendre le suivant. Le suivant fût plus fort et provoqua un léger mouvement de l’avant de ma part.Tu ne dois pas bouger sous les coups, salope, tu dois les accepter et même les demander et me montrer que tu en veux encore. Je ne veux pas non plus t’entendre réagir, tu subis et tu te tais.Oui, Monsieur.Il s’ensuivit une série de coups de cravache de plus en plus intenses. Je sentais mes fesses rougir mais, étrangement, je me sentais bien. C’était encore une révélation pour moi : j’étais aussi faite pour être humiliée et fouettée. Cette séance de cravache dura une bonne vingtaine de minutes puis Daniel s’adressa à Martine.tu vas lui bonder le sexe, tu es une experte pour ça. Après je mettrais cette chienne sur la croix.Oui, Maître.Daniel me fait me redresser, m’ ordonne de retirer mon string. Martine prend un cordon et commence à m’emprisonner le sexe, j’avoue que je bande immédiatement sous l’effet de ces mains qui me tiennent le sexe ou les couilles pour les ficeler de façon très experte en effet. Cela me fait ...
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