38 ans, marié, j’avais déjà sucé deux hommes mais je savais je voulais plus. Nous nous sommes trouvés sur un t’chat, il avait 55 ans, une belle queue, 18 cm, bien large et dure. Après un premier rendez vous avorté ou nous avons juste échangé quelques mots et senti un potentiel bon feeling, nous nous retrouvons pour un deuxième rendez vous dans un bosquet près d’un parking. Je me suis vite retrouvé accroupi sa queue dans ma bouche, il a de suite imprimé le rythme avec ses mains, me montrant qui était l’homme, le maître et j’aimais ça. « Ouis tu suces bien une vraie petite salope », c’est la première fois que l’on me parlait ainsi, et je découvrais que j’aimais ça.Ensuite nous avons été dérangé par des gens passant trop près de nous, moment un peu angoissant, qui casse l’ambiance. Il me fait mettre debout, se saisi de mon sexe et commence à le branler, je jouis très vite, une jouissance terrible, je vois des étoiles, je suis vidé. « Ca suffit pour aujourd’hui, j’ai un appart à Biarritz, la prochaine fois on se voit la bas, on sera tranquille ».Deux mois plus tard, je me gare dans sa rue, je n’en mène pas large, je sais que c’est aujourd’hui, je vais y passer, je vais me faire dépuceler. Il ne m’a rien dit mais je le sais. Je le retouve en bas de son immeuble, il m’attend, il me sourit quand il me voit. Il parle à deux amis qui me regardent, je devine qu’ils savent, j’ai honte, ça le fait sourire.A peine arrivé dans son petit appartement de vacances je me retrouve a genoux avec sa queue en bouche. Je ferme les yeux je m’applique, je me dit qu’est ce que j’aime sucer sa queue, j’aimerai bien avoir la même.« Regarde moi quand tu me pompes salope », il prend la main. « Lèche moi les couilles », j’obéis, il en profite pour me bifler, j’aime ça.Il remet sa bite dans ma bouche, prend ma tête entre ses mains et applique un rythme tout en me parlant, en me posant des questions mais je ne peut y répondre, je me contente de le regarder en faisant des mmmmfff.« Lève toi, et fous toi à poil », ça y est le moment approche, je me retrouve nu devant lui, « mets toi à quatre pattes sur le fauteuil » j’obéis, j’attends.Il commence a me bouffer le cul, je ne m’attendais pas à ça, j’adore, quelle sensation, je gémis comme une chienne direct, je n’en reviens pas.Puis il arrête, je continue a tortiller du cul encore sous la sensation délicieuse de sa langue sur mon trou.Il enfile une capote, je comprends, je me retourne et je lui dit d’une voix plaintive, «  ...

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