Une histoire que je n’ai encore jamais osé raconter. Il y a 9 ans, je suis allé deux semaines à Istamboul. J’avais trop envie de rencontrer des mâles turcs. Le 3ème jour, en fin d’après-midi, je suis allé au Taksim Park (alors moins dangereux que maintenant) et me suis installé dans un coin assez isolé. J’ai vu passer pas mal de mecs qui m’ont jeté un coup d’œil sans s’arrêter. Alors que la nuit allait arriver, j’ai vu un homme dans les 60 - 65 ans très costaud, poilu et mal rasé. Il s’est arrêté à distance. Je le voyais constamment regarder à gauche et à droite. A un moment, il s’est approché avec une cigarette à la bouche et m’a demandé en anglais si je fumais, je lui ai dit que non. En fait, ça a été sa façon de prendre contact. Il s’est assis tout à côté de moi et bientôt j’ai senti son genou toucher le mien, Comme je n’ai pas retiré ma jambe, Il a posé une main sur ma cuisse tout en me regardant fixement. Je portais un long short en tissu léger. Comme je l’ai laissé faire, il a remonté sa main le long de ma cuisse jusqu’à mon entrejambe dans lequel il a appuyé plusieurs fois fortement. Regardant de nouveau autour de nous si personne n’observait, il a saisi ma main et l’a posé sur sa braguette, Il bandait dur. Il s’est penché vers moi et a murmuré, « Toi aimer sexe avec hommes ? » j’ai dit « oui beaucoup ». « Toi comme homme ou comme femelle ? », J’ai dit « comme femelle ». Il m’a dit de me lever et de le suivre. A la sortie du parc, il m’a fait monter dans une vieille voiture et a démarré, roulant à travers plusieurs rues. Puis il arrêté la voiture et m’a dit de le suivre. Je me suis retrouvé dans une petite rue devant une porte avec dessus le dessin d’un homme. Il m’a dit. « Ici toilettes, viens ». Nous sommes entrés. Pas de verrou. Il m’a conduit jusqu’à la seule cabine où la porte manquait et m’a dit « toi enlever short », Comme il était très costaud, j’ai compris que je devais lui obéir. Il s’est placé derrière moi. Des 2 mains, il a saisi le tissu de l’arrière de mon slip et l’a déchiré d’un coup. Avec un genou il m’a forcé à écarter les cuisses, Il a alors appuyé avec force sur mon dos me forçant à me courber. Il a craché plusieurs fois dans sa main, a mis sa salive dans ma raie et m’a dit « toi ma femme, moi te faire enfant » et d’un coup de rein, il m’a embroché. J’ai poussé un cri. Il n’en a pas tenu compte. Il a saisi mes hanches et s’est mis à m’enculer à grands coups de queue. Soudain il est resté planté au fond de mon cul et par ses tressaillements, j’ai compris qu’il jouissait dans mon cul. Il a alors retiré sa queue et m’a dit « toi venir avec moi ». Nous sommes remontés dans sa voiture, Il a conduit un bon moment, j’ai vu que nous sortions de la ville. Nous sommes arrivés devant une vieille maison. Il m’a conduit à l’intérieur et m’a dit « toi cette nuit être beaucoup femelle ». Nous sommes entrés dans une grande pièce où une dizaine de mecs fumaient et buvaient. Il leur a parlé en turc, puis m’a dit « toi tout nu et aller sur lit », Pendant plus de 3 heures, j’ai été enculé et dosé à la chaine par tous les mecs. Ils m’ont aussi sodomisé avec des bouteilles de bière et de coca, et j’ai même pris deux concombres et le manche d’un marteau dans le cul. Nous nous sommes ensuite couchés. Il m’a dit « toi demain pute à la campagne ». Le matin, il m’a réveillé très tôt et m’a conduit à sa voiture, Nous avons roulé pendant plus d’une heure jusque dans un vieux village. Il m’a conduit dans un hangar, m’a attaché les bras et les jambes en les écartelant sur une table et m’a bandé les yeux. Pendant toute la journée des mecs m’ont passé dessus, je sentais le foutre couler entre mes cuisses. Il m’a juste donné quelque chose à manger et à boire en milieu de journée, avant de m’attacher de nouveau et laisser de nouveau des mecs me sodomiser en force. J’ai arrêté de compter après avoir été enculé plus de 30 fois. Le soir, il m’a ramené à Istamboul et m’a déposé à l’entrée du Taksim Park. Il est parti en me disant « Toi bonne pute, si toi revenir demain, toi encore pute» et il a filé. J’ai mis 3 jours à soigner mon cul. Le quatrième jour, en fin d’après-midi, je suis retourné au parc. Il était assis où nous nous sommes rencontrés. Me voyant arriver, il s’est levé et m’a fait signe de le suivre. En roulant, il m’a dit « toi ce soir pute dans le port. Hommes très virils, te faire beaucoup enfants ». Nous sommes allés boire et manger et quand il a fait bien nuit, Il m’a conduit dans un port de pécheurs. Pendant toute la nuit, jusque vers 5 heures du matin, il m’a conduit dans divers cabanons où des mecs assez crades n’ont passé dessus, m’enculant sans retenue, déchargeant leurs couilles dans mon cul. Plusieurs fois, le mec me disait « toi femelle bien remplie par beaucoup jus hommes » A un moment, j’ai eu une grande frayeur. Un vieux pécheur s’est approché de moi tenant une main dans son dos. Soudain, il placé sa main devant lui et j’ai vu qu’il tenait un poisson à la main. J’avais le cul béant. D’un geste brusque, il a placé la tête du poisson à l’entrée de mon cul et a cherché à l’y enfoncer, j’ai senti qu’il a réussi à enfiler une petite partie de la tête du poisson dans ma rondelle. J’ai tellement hurlé de peur, qu’il a retenu son geste. Il a alors saisi mes cheveux, a tiré ma tête en arrière et m’a forcé à prendre le poisson en bouche, le faisant aller et venir dedans, me baisant la bouche avec le poisson tout en me pissant dans la partie ouverte de ma bouche. J’ai ensuite continué à être enculé. Plus tard, mon dominateur m’a ramené au parc. Il m’a dit « prochaine fois, toi revenir comme pute au port ». Je n’étais pas rassuré et ai décidé de ne pas retourner au parc. Ce que je n’avais pas remarqué, c’est qu’il m’avait suivi et avait vu dans quel hôtel je logeais. Deux soirs plus tard, alors que j’étais sorti en fin de soirée pour aller manger et passais dans une petite rue sombre, j’ai senti une main saisir mon bras. C’était mon dominateur accompagné de deux hommes aussi costauds que lui. Il m’a attiré de force dans un coin sombre, Il m’a dit « moi avoir attendu toi pour faire encore pute avec pécheurs ». M’entrainant de force, ils m’ont fait monter dans sa voiture. Aussitôt un des deux autres mecs m’a collé un chiffon sur le visage et j’ai perdu connaissance. Quand je me suis réveillé, dans l’obscurité, j’étais nu, couché sur des sacs. Mes pieds, attachés, étaient totalement écartelés. Mon cul était rempli par un très large objet qui dilatait complètement ma rondelle. Je reste seul un bon moment. Après j’entends des voix, la lumière s’allume dans le local où je suis séquestré. Une dizaine d’hommes accompagnent m ...

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