Les trois bûcherons 1Nous sommes un lundi matin de 1999, j 'aime bien prendre mon lundi car tout est calme un peu partout et on peut s'adonner à ses passe-temps favoris, en ce qui me concerne, j'aime bien faire un footing dans le parc forestier à côté de chez moi.Je pars à pied de mon domicile et je rejoins le parc environ 10 mn après et alors j'entame mon footing d'environ 45 mn à travers le parc. Comme je l'ai déjà dit tout est calme absolument personne nulle part en ce lundi matin de octobre. Je courre déjà d'une bonne foulée et comme souvent dans cette situation la forêt m'inspire et au bout de 800m environ, j'ai l'habitude de m'arrêter dans un petit chemin de traverse , je me planque derrière un arbre je baisse mon jogging et mon slip et je me fait une petite branlette sympa au grand air, qui ne l'a jamais fait, la nature c'est tentant non?Bien sûr je me sens vraiment bien et super décontracté, à tel point que je bande très vite , j'entends seulement le bruissement des feuillages et quelques craquements, mais il y eut des craquements plus importants comme des branches sur lesquelles on marche, je continuai lentement de me masturber lorsque j'entendis cette exclamation.-Alors comme ça le petit monsieur aime bien se branler dans la forêt !Immédiatement je remonte mon slip et mon pantalon ,très surpris.Je me retourne précipitamment et j'aperçois trois types, trois bucherons avec haches et scies, habillés en tenue d'ouvrier, certainement les employés municipaux chargés de l'entretien du parc, en fait j'en ai reconnu un et lui aussi m'a reconnu, la situation n'est pas tellement à mon avantage.Inutile de se justifier , je faisais mine de reprendre mon footing,mais un autre des trois hommes à lancé:-Je pense qu'on peut aider le petit Monsieur à terminer ce qu'il a commencé! Et de rajouter:-vous allez nous suivre gentiment dans un coin plus calme.Deux des trois types passèrent derrière moi me coupant toute retraite et me firent signe de suivre le troisième gars qui ouvrait le chemin. J'étais coincé et surtout je ne voulais pas faire le malin, cette situation était pour le moins originale mais surtout pas très claire en ce qui me concerne.J'ai donc suivi les trois gars, on a marché environ 10 mn à travers des chemins que je ne connaissais pas , puis on est arrivé dans une clairière très petite , il y avait un gros chêne et un tronc d'arbre au milieu de la dite clairière.- D'ici personne ne peut nous entendre et toi si tu t'enfuies tu te perdras sûrement, m'entendis-je dire. J'étais vraiment coincé et j'attendais la suite avec crainte .Les trois hommes avaient environ entre trente et quarante ans et étaient bien bâtis , normal me diriez-vous pour des bûcherons .-Bon je pense que tu as compris qu'il vaut mieux être coopératif et tout sera plus simple.Celui qui venait de parler s'appelait Robert et c'était le plus vieux des trois les deux autres se nommaient Marcel et André.- C'est bon les gars ,deshabillez-le, il ne fera pas d'histoire, c'était toujours Robert qui donnait des ordres en parlant de moi.Marcel s'est approché et m'a tenu les deux bras devant moi, André a baissé mon pantalon et mon slip, il a retiré mes tennis et fait voler mes affaires à plus de trois mètres de moi, je me retrouvais le cul à l'air et sans défense, je me rendais compte maintenant de ce qui m'attendait. Par une pression sur mes épaules, j'ai compris qu'il fallait que je m'agenouille,André m'a ramené les deux bras derrière mon dos, puis a attaché mes deux mains, Robert s'est avancé, Marcel m'a tiré la tête en arrière et m´a forcé à ouvrir la bouche, Robert a ouvert sa braguette et sorti sa bite puis il me l' a collée dans la bouche, j'ai failli vomir mais je me suis contrôlé, bien que résistant un peu j' ai dû m'exécuté et je me suis retrouvé obligé de sucer mon tortionnaire.Robert me prenais la tête a deux mains et se masturbait avec ma bouche, je pouvais à peine respirer .Pendant que Marcel aidait Robert dans ses allers-retours dans ma bouche, André s'activait sur mes fesses en les malaxant et en introduisant de façon significative un doigt puis deux dans mon trou du cul.La sanction n'allait plus se faire attendre et j'allais payer très cher le plaisir solitaire que je voulais m'offrir quelques instants plus tôt.J'étais toujours à genoux ,André me fit relever sur mes deux pieds , Marcel continuait de me maintenir la tête sur la bite de Robert, qui m'étouffait de plus en plus , la position était des plus incommodes surtout que André venait de cracher dans mes fesses et que je sentais à l'entée de mon anus une pression terrible ´ André me perçait avec son sexe et me violait littéralement, j'avais déjà joué à touche pipi avec des hommes occasionnellement mais cette fois la douleur due au forçage de mon intimité me donnait envie de pleurer, le sexe de André pénétrait dans mon cul de façon inexorable , je me faisais enculé et les trois lascars en profitaient sachant que je ne ferait rien après leur viol.Je me faisais défoncer par André pendant que Robert me pilonnais la bouche je crois bien même que Marcel prenais des photographies, histoire de me clouer le bec au sens propre comme au sens figuré. En fait je souffrais terriblement tant l'inconfort était grand à tel point de souhaiter être installé dans un lit avec trois mecs en train de me violer.Enfin j'ai senti que dans mon cul il y avait relâche , André avait joui et avait tapé. très fort sur mon cul au moment de son éjaculation. Un peu de repos me ferait le plus grand bien, hélas Marcel avait déjà le sexe bandant à l'air libre et se préparait pour le deuxième assaut, je sentais un liquide chaud qui dégoulinait de mes fesses, mais Robert est intervenu :- j'en peux plus lança-t-il laisse-le moi, je vais l'enculer et toi fais-toi sucer,-ok dit Marcel pas de problème Le repos de a été de quelques secondes pas plus , la brute de Robert m'a pénétré sans ménagement et Marcel m'a fourré sa bite dans la bouche et elle était encore plus grosse, deuxième épisode enculé pour la seconde fois en moins de 10mn , je ne réagissais plus ,j'étais comme un pantin dont on use et on abuse.pendant que je souffrais réellement André regardais la scène et recommençais à se branler doucement, cela m'a proprement effrayé en pensant qu'il pouvait recommencer?Sentant que j'étais de plus en plus inconfortable,les trois lascars m'ont déplacé sur le tronc d' ...

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