— On dirait que quelqu’un est content de nous voir, murmura-t-il en se léchant les lèvres.Victor grogna, un son rauque qui me fit serrer les cuisses.— Ouais. Et il a envie de plus que des regards.Sans prévenir, il se tourna vers moi, attrapa ma nuque d’une main ferme, et m’attira vers lui. Ses lèvresécrasèrent les miennes avant que je puisse réagir, sa barbe piquant ma peau, sa langue forçant le passage entremes dents. Je gémis dans sa bouche, les doigts agrippés à ses épaules, le goût de menthe et de tabacm’envahissant. Il m’embrassa comme s’il voulait me dévorer, sa main libre descendant pour agripper mon sexe,déjà dur comme de la pierre.— Putain, tu es brûlant, murmura-t-il contre mes lèvres, sa voix rauque d’excitation. Tu veux sucer ma bite, outu préfères que je te la mette direct ?Je haletai, incapable de former des mots. Mon regard dériva vers Mehdi, qui nous observait, la main sur sonpropre sexe sous sa serviette, les yeux brillants d’excitation.— Les deux, parvins-je à dire, la voix tremblante.Victor éclata de rire, un son profond et satisfait.— Bon garçon.Il se leva d’un mouvement fluide, laissant tomber sa serviette. Sa bite jaillit, épaisse et longue, veinée, la têterouge et luisante de précum. Mon estomac se serra. Putain de merde. Mehdi siffla entre ses dents, puis sedéshabilla à son tour, révélant un corps athlétique et un sexe presque aussi impressionnant que celui de Victor.— À genoux, ordonna Victor en me poussant doucement vers le sol.Je m’exécutai, les genoux heurtant le bois dur. La chaleur du sauna me collait à la peau, mais c’était celle deVictor qui m’attirait. Je saisis sa queue à deux mains, sentant le poids, la chaleur pulsatile sous mes doigts.Quand je passai ma langue sur la fente, le goût salé de son précum explosa sur mes papilles. Il grogna, les doigtsenfoncés dans mes cheveux.— Comme ça, ouais… prends-la bien au fond.J’ouvris la bouche et l’avalai, centimètre par centimètre, jusqu’à ce que son gland heurte l’arrière de ma gorge. Jetoussai, les yeux larmoyants, mais il me maintint en place, sa main serrée dans mes cheveux.— Respire par le nez, petit, murmura-t-il, sa voix tremblant légèrement. Tu peux prendre plus.Je m’efforçai de me détendre, la salive coulant sur mon menton, et réussis à l’avaler encore un peu plus. Derrièremoi, j’entendis Mehdi gémir.— Putain, regarde-moi cette bouche… J’ai envie de la sentir autour de ma queue, aussi.Victor rit, puis me relâcha assez pour que je puisse reculer, haletant.— Tu veux goûter Mehdi, ou tu préfères que je te prépare pendant que tu le suces ?Je levai les yeux vers lui, le cœur battant. L’idée de me faire prendre devant tous ces hommes, certains déjà entrain de se caresser discrètement en nous regardant, me faisait trembler d’excitation.— Les deux, répétai-je, la voix rauque.Victor sourit, un sourire carnassier qui me fit frissonner.— Parfait.Il me releva d’un geste sec, puis me poussa contre le mur du sauna, le bois chaud collant à mon dos. Mehdis’approcha, sa bite à la main, et se plaça devant moi.— Ouvre, murmura-t-il en me caressant la joue.J’obéis, et il glissa son sexe entre mes lèvres, plus fin que celui de Victor mais tout aussi dur. Je commençai à lesucer, les yeux fermés, quand je sentis les doigts de Victor écarter mes fesses.— Tu es déjà tout mouillé, petit, grogna-t-il en passant un doigt sur mon trou, lubrifié par ma propre excitation.T’as envie de ma bite, hein ?— Mmm-hmm, gémis-je autour de la queue de Mehdi, qui sursauta dans ma bouche.Victor rit, puis je sentis la pression de son gland contre mon entrée.— Regarde-les, murmura-t-il en enfonçant juste la pointe, assez pour me faire gémir contre Mehdi. Ils nousmatent tous. Ils veulent te voir te faire défoncer comme la petite salope que tu es.Je rouvris les yeux. Autour de nous, plusieurs hommes s’étaient rapprochés, certains se caressant ouvertement,d’autres se contentant de regarder, les yeux brillants. L’un d’eux, un type bedonnant avec une barbe grise, avaitsa queue à la main et se branlait lentement en nous fixant. La honte et l’excitation se mélangèrent en moi, mefaisant trembler.— Oui, soufflai-je en me cambrant, offrant mon cul à Victor. Baise-moi.Il ne se fit pas prier. D’un coup de reins sec, il m’empala, sa queue s’enfonçant en moi jusqu’à la garde. Je hurlaiautou ...
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