Quand j’ai proposé à mon pote d’aller au jardin d’Odessa, près de Montparnasse, je savais bien qu’il était aussi salope que moi, et qu’il n’allait pas refuser cela.Après être rentrés, toujours un peu gêné de tendre ma carte bancaire au guichet, nous sommes allés dans le vestiaire où je me suis foutu à poil, et où je n’ai mis qu’une serviette rouge autour de la taille.Nous avions décidé que l’on irait chacun de notre côté, lui est allé nager dans la piscine, mais moi je suis allé là où je savais que je trouverais des mecs prêts à tout, et vite. Et je ne m’étais pas trompé…Avec un regard de pute sans équivoque, je regardais tous les mecs, tous, sans exception, avec un regard digne d’une invitation, telle une bête offerte, affamée de chair.L’étage que j’ai choisi, je le connais bien. C’est l’étage pour les chiennes qui décident de se donner à n’importe qui.Après deux ou trois virages dans le noir complet, je touche tous les corps que je croise, et ils sont nombreux. Je descends les mains vers la queue, et je m’accroupis devant la première que j’ai attrapée.La bouche ouverte, des mains sur la nuque, je lèche des couilles avec dévotion, je laisse une queue me remplir la gorge, et c’est là que tout s’enclenche, plus fort, plus sale.Parce que j’ai envie de pouvoir raconter à mon pote, je me suis dit que j’allais compter le nombre de queues qui iraient dans ma bouche et dans mon cul. Je ne savais même plus si c’étaient les mêmes ou d’autres. J’avais perdu le fil. Malgré ma bouche pleine, j’arrivais à faire comprendre, en frottant et en m’ouvrant, que mon corps restait une invitation vivante.Au total, je verrai l’heure en partant, mais je comptais pas moins de 22 queues qui s’invitent sans hésiter, avec ou sans capote, dans un trou ou l’autre ou les deux, ou même en passant de l’un à l’autre, de jouir ou pas.C’est le bonheur. Si j’avais pu, j’aurais demandé à ces mecs de m’appeler sur mon portable ou qu’ils retrouvent mon Twitter pour me faire encore tourner.En redescendant, j’ai croisé mon pote qui m’a dit que j’avais l’air d’être en transe. J’aurais pu fuir. J’aurais pu reprendre le contrôle. Mais j’ai choisi de me fondre. De me faire oublier ...
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