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Le jeune Franky à Paris en 1962

Publié par : pachapassif le 27/08/2019

Le jeune Franky à Paris en 1962En 1962, j’avais 18 ans (pour les besoins de l’histoire) et mon expérience de la vie n’était pas très grande, ce dont je me souviens , c’est que cette année-là ma mère m’avait envoyé à paris pour 15 jours avec ma grand-mère paternelle, son mari était décédé en 1961 et vivait seule, je lui tenais donc compagnie et moi cela me faisait des vacances d’échapper de Rouen à mes parents un peu tyranniques. Du sexe je ne connaissais pas grand-chose , mon oncle Alain de 4 ans mon ainé vivait avec nous à Rouen rue Thiers , il faisait ces études pendant ce temps-là aidé par mes parents donc j’ai vécu avec mon oncle de 14 ans à 18 ans, je me souviens bien que j’ai vite appris ce qu’était une branlette car mon oncle se branlait devant moi, et à 18 ans j’avais déjà vu du sperme sortir d’une bite celle de mon oncle, je ne me souviens pas mais je crois qu’il ne m’a jamais demandé de participer à ces branlettes mais il le faisait devant moi, et moi cela me démangeait après au niveau de la quequette mais sans trop oser de me branler à mon tour, bref à 14 ans je savais ce qu’était une autre bite que la mienne, et comme dans cette histoire j’en ai 18, cela explique peut-être mes réactions un peu extraordinaires .Je passais donc 15 jours chez ma grand-mère à Paris, elle habitait rue Marie Louise dans le 10 eme près de la Place de la République , elle était en fait la concierge de l’édifice et ne pouvait pas trop s’absenter ce qui me permettait de lui demander souvent l’autorisation d’aller faire un tour, ce jeudi, je me souviens ne fut pas comme les autres, elle me donna la permission , il était 13h30 et me demanda de ne pas rentrer après 18h00, je m’éclipsais tout guilleret de cette liberté et me dirigeait vers la République environ 15 mn à pied, j’avais 7 ou 8 francs dans ma poche, j’étais très occupé à regarder tout ce qui se passait autour de moi, arrivé sur la place je pris sur la droite longeant les trottoirs pour m’éviter de traverser cette énorme place, je remontais un boulevard qui conduisait à la porte Saint Martin et je finis par m’arrêter devant un cinéma de quartier qui passait un film d’aventures, entrée 5 francs, j’avais de quoi y aller et de me payer un bonbon en plus.Je payais ma place et entrais au cinéma , après tout j’allais passer deux bonnes heures tranquille, je m’assis au milieu de la salle , il n’y avait pas grand monde, les réclames étaient en cours et j’avais une bonne vision de là où j’étais, le film commença, je suçais mes bonbons, j’étais heureux et insouciant, il devait y avoir un maximum de dix personnes dans la salle, dix minutes après le début du film, une personne vint s’asseoir juste à côté de moi, je trouvais cela un peu chiant car il y avait de la place partout, aussitôt une main se posa sur mon genou, j’étais habillé d’un tee-shirt et d’un short avec des espadrilles, sur le moment j’ai réagi brusquement et j’ai poussé la main fortement mais la personne serra fortement ma cuisse et me fit mal, il était plus fort que moi, et je paniquais un peu je voulus me lever mais la main me retint fermement sur mon siège, je regardais sur le côté et vis que c’était un homme dans la pénombre qui m’immobilisait, il se pencha à mon oreille et me tint à peu près ces propos :-quand je vais me lever, tu vas te lever aussi et me donner la main comme si j’étais ton père et tu vas me suivre dehors, tu dois être gentil avec moi sinon gare à toi.J’avais 18 ans, je devais mesurer 1,60m je pesais 60 kg et je faisais pas le poids, à ce moment-là j’aurai dû crier et me débattre mais la peur est plus grande, l’homme s’est levé, je me suis levé je lui ai donné la main et nous sommes sortis du cinéma sans déranger personne et personne ne s’est préoccupé de voir un père et un fils sortir du cinéma. Une fois dehors je regardais la personne qui me tenait fermement la main, il devait mesurer au moins 1,90m et peser ses 90kg un gaillard plutôt costaud bien plus imposant que mon vrai père, blond une tête sympa mais sévère, il me posa une question toute simple ,-à quelle heure tu dois rentrer chez toi ?Et moi de répondre bêtement 18h00 monsieur-bien me dit-il cela nous laisse deux bonnes heures, je t’emmène à la maison et je vais te faire un goûter, tu es d’accord ? je répondis comme un automate que oui.Nous nous mîmes en marche dans la direction de la porte Saint Martin et 5 mn plus tard il s’arrêta devant un immeuble de 4 étages, sortit une clef ouvrit la porte, me fit entrer et passer devant en me disant de traverser la cour et de monter au quatrième étage, je fis ce qu’il dit et je me rendis compte à ce moment-là que quelque chose était en train de se passer, cet homme ne me voulait pas que du bien, mais en 1962 on ne parlait pas beaucoup , il n’y avait pas beaucoup d’information et à mon âge on se pose pas vraiment beaucoup de questions, il était clair que cet homme voulait quelque chose mais quoi ?Arrivés au quatrième il ouvrit l’unique porte du palier et me fit entrer dans une pièce mansardée, j’eus la surprise de trouver un autre homme assis sur un lit en train de bouquiner.-je te présente Jacques, moi c’est Pierre et nous partageons ce studio tous les deux, Je dus faire la bise à Jacques.Pierre alors m’annonça la couleur et il me dit :-Nous on ne te veut pas de mal, on veut juste s’amuser un peu, tu as du déjà recevoir des fessées dans ta vie ?Je pensais à ma mère qui me corrigeait au moins une fois par semaine et je répondis que oui.-bien alors tu fais ce qu’on te dit de faire et tout se passera bien et je te donnerai même 10 francs pour ton cinéma, tu refuses d’obéir et à chaque fois tu reçois une fessée, -oui monsieurJacques était brun et encore plus grand et plus costaud que Pierre-Pour te donner un avant-gout voici une fessée donnée par Jacques.Je restai hébété, Jacques s’approcha de moi me souleva de terre, posa un pied sur le lit et fit glisser sur sa cuisse surélevée et sans fioriture retira mon short et mon slip ainsi que mes espadrilles et commença à me claquer les fesses, à ce moment-là suspendu dans le vide je ne savais pas ce que voulais ces hommes il me donna cinq claques très fortes qui me firent hurler, les larmes coulaient sur mes yeux, Pierre me fit signe de ne pas faire de bruit et d’écouter, jacques me reposa sur le sol, j’étais à moitié nu et mettait mes mains devant moi pour comme me protéger, bien inutile le geste face à ces deux colosses, j’observais alors la pièce, un lit double, une table deux chaises, un évier, et une porte donnant sur un toilette, Jacques mis en route la radio pour faire un bruit de fond.Pierre me releva la tête et me caressa les cheveux, et surprise je constatai qu’il avait sorti son sexe et se masturbait comme le faisait mon oncle Alain à la maison, il me rapprocha contre lui, j’avais le tête à hauteur de sa ceinture, son sexe était presque sur mon visage, dans ma tête je savais qu’on se servait de son sexe pour le mettre dans le vagin des femmes ce qui me faisait fantasmer sur les fille en y pensant, mais là le Pierre était insistant et me dit de façon autoritaire ;-allons ouvre donc la bouche et suce moi-mais monsieur je ne sais pas faire-c’est facile mets-le dans ta boucheIl appuya sur ma nuque et enfonça son sexe dans ma bouche, c’était pas bon et cela ne sentait pas très bon, je m’étouffais et repoussais le sexe, je crachais, je fus saisi immédiatement par Pierre qui en s’asseyant sur la chaise me bascula sur ses genoux, Jacques augmentât le son de la radio et Pierre m’assena une fessée monumentale , je pensais à ma mère en ce moment-là surement parce que les fessées qu’elle me donnait me paraissaient bien douces en comparaison de celle administrée par Pierre, je pleurais à chaude larmes mais j’évitais de crier, les claques cessèrent et je me retrouvais ainsi sur les genoux de Pierre le cul à l’air rougi, les pieds et les mains se balançant dans le vide, ma résistance était vaincue .Je sentais le sexe de mon bourreau sous moi il était très dur et ma gênait presque dans la position où je me trouvais, ensuite je crois que pierre commença à me peloter le derrière et écarta mes fesses pour regarder certainement mon t ...

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