Mon dernier trip érotique remonte au 15 juillet, sous un soleil de plomb qui faisait déjà suer les couilles avant même de commencer. Laissez-moi vous planter le décor avec Luca : 25 ans, 1 m 90 pour 90 kg de muscles saillants, une peau olive tannée par des heures de surf sur la côte atlantique, et un tapis de poils noirs et drus qui descendent en V provocant de ses pecs bombés jusqu'à son entrejambe – un vrai loup-garou des plages, ce mec. Il bosse en fac de kiné, troisième année, à trimer pour devenir masseur sportif ou kiné pour footballeurs pros. Indécis, mais putain, qu'est-ce qu'il en a à foutre quand il dégaine son sourire carnassier ? C'est un mec généreux, tactile, avec un humour qui te fait craquer les abdos avant même qu'il te touche. Et ouais, il plaît. Grave.Les nanas de son crew débarquent souvent dans son antre perso, qu'on lui a bricolé dans l'ancienne grange attenante à notre maison de campagne, dès qu'il a eu 18 ans. Luca n'est pas mon sang, mais le fiston de ma compagne – mon beau-fils, donc, ce qui rend tout ça encore plus tordu et bandant.Tout roulait comme sur des roulettes huilées jusqu'à ce vendredi 28 mars, quand ma femme – sa mère – s'est barrée pour un congrès médical à Lisbonne, direction l'aéroport à l'aube. Moi ? En congés sabbatiques pour un mois entier, à glander dans notre baraque isolée au bord d'un lac paumé en Bretagne. Luca ? En pause fac pour trois semaines, prêt à squatter et à me pourrir la vie – ou la rendre explosive, on va voir.19 h : On se tape un barbecue improvisé au bord de l'eau, bières fraîches à la main, en matant un match de rugby sur l'écran portable branché à la batterie. Les flammes du feu de camp crépitent, l'air sent le pin et la viande grillée.20 h 30 : On plie bagage, et Luca, après un check tendu mais complice – un de ces regards qui durent une seconde de trop –, file dans sa grange-refuge, deux cents mètres plus bas vers le lac, avec son sentier privé éclairé par des guirlandes solaires.Je grimpe me rincer sous la douche extérieure, celle qu'on a montée l'été dernier avec vue sur les roseaux qui dansent au vent. Eau froide qui me réveille les sens, puis je m'enroule dans un short ample et un vieux t-shirt délavé, direction le hamac tendu entre deux chênes centenaires pour chiller avec un podcast sur les bagnoles de course. La nuit tombe vite ici, étoiles qui percent déjà le ciel laiteux.21 h 15 : Des pas lourds sur le gravier. Luca émerge de l'ombre, torse nu sous un short de bain trop moulant qui laisse deviner la bête en hibernation. Il a zappé sa douche perso dans la grange – qui est blindée, hein : salle de bain high-tech, home cinéma, et même un jacuzzi gonflable pour ses "séances de récup" avec ses conquêtes.Bizarre, mais j'y pense pas. Il saute dans le hamac d'un bond de panthère, s'étale à l'autre bout, ses cuisses massives frôlant les miennes. "Pousse-toi, vieux, j'ai la flemme de rentrer", qu'il lâche avec son accent du sud qui fait vibrer les voyelles.Je hausse les épaules, surpris qu'il préfère mon spot foireux à son palace. Il s'installe, tête calée sur mes abdos – sa position de gosse des années-lumière en arrière, quand il venait squatter pour des câlins post-cascade. Par habitude, ma main glisse dans sa tignasse épaisse, noire comme du pétrole, et je la masse doucement. Il ronronne, yeux mi-clos, le lac clapote en fond sonore. Ma paume dérive, effleure son pec droit, velouté sous les poils soyeux. Je tire dessus du bout des ongles, joue avec les boucles qui s'enroulent comme des invitations au vice.Pas un mot. Le silence est électrique, chargé de testostérone brute.Erreur numéro un, fatale et délicieuse : mes doigts pincent son téton gauche, gonflé comme une cerise mûre, hypersensible sous la peau tendue. Plus un gamin, ce Luca : un étalon de 25 piges, un volcan de jus en ébullition.Il tressaute, son corps se tend comme un arc, un grognement sourd monte de sa gorge. Et moi, le crétin naïf : "Putain, Luca, t'es câblé direct sur le circuit érotique, toi !"Sa réplique fuse, rauque : "Ouais, et c'est pas le seul bouton qui s'allume." D'un geste fluide, il chope ma main moite et la plaque sur son short tendu à craquer. Sous le tissu fin, rien : sa queue, nue, dure comme du bois d'ébène, palpite contre ma paume, 20 cm de veines saillantes et de chaleur animale. Il est à poil intégral, ce salaud, son gland déjà luisant qui suinte à travers le coton."Mais… Luca, qu'est-ce qui te prend ? T'es en rut ou quoi ?" balbutié-je, le cœur cognant comme un marteau-piqueur."Toi. Je te veux, toi, Alex. Tout entier." Ses yeux verts me transpercent, pas une trace de doute, juste une faim vorace qui me fait bander malgré moi.Le cerveau en vrac, je bondis du hamac. Lui aussi, et vlan : première claque magistrale, paume ouverte qui s'écrase sur sa joue hâlée, laissant une marque rouge comme un drapeau de soumission. "Hors de question, mec ! T'es pas net !"Il recule, frotte sa joue, yeux écarquillés de surprise – et de défi. Puis il pivote, s'éloigne à grandes enjambées vers la grange, le gravier crissant comme un reproche. La porte claque, écho dans la nuit. Moi ? Je reste planté là, queue mi-molle dans le short, à fixer les étoiles qui se foutent de ma gueule.La bière tiède m'agace, le podcast sur les Ferrari me saoule. J'attrape une lampe torche et grimpe vers la maison principale, au sommet de la colline, pour m'isoler dans le bureau encombré de cartes marines et de bouquins sur la voile.Je m'affale dans le fauteuil en cuir usé, allume une lampe de chevet, et me plonge dans un vieux polar de John Grisham – grande littérature pour noyer le bordel dans ma tête.Quinze minutes chrono. Des craquements dans l'escalier en bois vermoulu : Luca, évidemment, ses pas lourds comme un verdict. Silence au couloir. Je sais qu'il est là, juste derrière la porte entrouverte."Luca ? C'est toi ?""Oui."Rien de plus. L'air s'alourdit, mon pouls s'emballe. Il n'a jamais eu le droit de fouiner ici, dans ce sanctuaire perso. Mais la gifle me ronge, un regret acide. Faiblesse paternelle ? Ou curiosité malsaine ?"Entre, viens."Deuxième bourde, monumentale.Il pousse la porte, silhouette massive dans l'encadrement, épaules voûtées, presque penaud – un géant timide avec des biceps qui pourraient broyer des noix. Je tape le bord du bureau. Il s'assoit sur le coin, cuisses écartées, short toujours en camp de la mort."Qu'est-ce que tu veux, Luca ?"Il baisse les yeux, voix basse : "Je m'excuse, Alex. Sincèrement. J'ai merdé, et je te demande pardon, comme tu m'as appris quand j'étais gosse : les excuses clean, sans bullshit." La formule magique, celle qu'on lui serine depuis l'enfance. Ça me désarme direct."Viens là, alors." Je tends les bras. Il hésite une seconde, puis bondit – ce colosse de 1 m 90 se love contre moi comme un chat géant, sa chaleur irradiant à travers le tissu. Je fonds, le serre fort, enfouis mon nez dans ses cheveux salés par la journée au lac. Un bisou paternel sur le crâne, et il se fige, respirant profondément. Magie pure, le temps qui s'étire comme un élastique tendu.Ses yeux remontent, verrouillés aux miens.Puis, smack : un baiser franc sur la joue, humide et brûlant, qui pue le désir refoulé. Le monde bascule. Sa main massive atterrit sur mon torse, caresse la toison clairsemée sous mon t-shirt. Tendresse infinie, effleurements qui font frissonner. Je prends ça pour une réconciliation, un pansement émotionnel. Quel con je fais.La paume descend, frôle mon ventre, s'égare dans la bande de poils qui pointe vers le sud. Normal, me dis-je, encore. Quand ses doigts fouillent ma toison pubienne, tirant sur les boucles drues, je soupire – pas de révolte, juste un gémissement de bien-être traître. Sa main effleure ma bite, déjà raide comme une barre d'acier, et je ferme les yeux, vaincu. Il le sait.Il lèche mon téton à travers le tissu, langue experte qui tournoie, aspire le bout durci. Je gémis plus fort, dos cambré.Il a pigé : je suis à lui, chair à pâté consentante. L'idée d'inceste ? N'existe même pas dans ma tête – c'est un amant, un pro du vice, qui me démonte les défenses.Ses doigts enserrent ma queue, pompent lentement, veines gonflées sous sa poigne calleuse. Soupir de lâcheur que je suis. Puis, il me tire par la main, me met debout. Un baiser vorace, langue qui envahit, goût de bière et de mâle. "Viens."On dévale la colline vers la grange, sentier noir sous les étoiles, mon cœur en tambour de guerre. À l'entré ...
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