L'histoire d'un garçon déluré Au fil des années, mon expérience en matière de sexe avec les hommes s'était grandement étoffée. Ce qui avait commencé par quelques pelotages avec un camarade de classe au lycée et une première fellation avec un inconnu croisé dans la rue (lire :Ma première fois ou les origines du mâle) avait pris beaucoup plus d'ampleur par la suite. Comme je m'y attendait, il ne pouvait pas se passer une semaine sans qu'une bite n'entre dans ma bouche. J'étais devenu accroc à la queue et il me fallait ma rasade de sperme hebdomadaire. J'allais étancher ma soif de foutre le plus souvent au "libertin " (le nom est volontairement quelque peu modifié), où je soulageais pour la plupart du temps des mâtures délaissés par leurs femmes. Je découvris aussi les joies de la sodomie quelque temps plus tard lorsque deux Daddys m'initièrent à cette pratique délectable en m'éclatant la rondelle chacun leur tour (lire: Dépucelage au Labyrinthe). J'étais devenu le garçon complètement déluré qui avait toujours sommeillé au plus profond de moi. J'en étais persuadé depuis le début et cela se confirmait au fil du temps. Chaque expérience était plus intense que la précédente. Je cherchais toujours à aller plus loin. Je me faisais prendre dans les bois, le soir par des mecs rencontrés sur des sites de rencontres, m'agrippant à un tronc d'arbre, le pantalon baissé jusqu'aux chevilles en train de me faire enfilé comme une vulgaire pute. Un jeune africain d'origine béninoise m’accueillait dans sa chambre d'étudiant pour profiter de l'hospitalité chaleureuse de mon petit cul blanc de français. Sur une aire d'autoroute, un mec mature se branlait bien en évidence dans les toilettes à ciel ouvert bien entendu je finis par l'avoir dans la bouche l'instant d'après, avant de m'occuper aussi de son copain qui était resté dans la voiture. Toujours sur une aire d'autoroute, un mec se paluchait assis sur les WC alors qu'il avait délibérément laissé la porte ouverte, malencontreusement je tombe sur lui en voulant me vider la vessie et je me retrouve une fois de plus en train de vider une paire de burnes. Un rebeu m'encula dans les toilettes de l'hypermarché où je faisais mes courses (lire: Baise dans les Wc de l'hypermarché). Dans un autre hypermarché, un jeune m'alluma alors qu'il entourait amoureusement sa petite amie qui ne se rendait compte de rien, nous nous rejoignîmes dans les toilettes des hommes pour faire plus ample connaissance. Pendant une visite médicale, un gros médecin pervers abusa de moi pour mon plus grand plaisir (lire: La visite médicale au centre de formation). L' agent de sécurité d'un centre hospitalier me baisa à même le sol dans son espace privé. J'ai même payé une chambre d'hôtel formule un, pour qu'un gars qui n'avait pas beaucoup les moyens puisse disposer de mon cul et le moins que je puisse dire c'est que j'en ai eut pour mon argent. Ceci n'est qu'une liste non exhaustive de mes mésaventures licencieuses. Comme-ci il y avait un panneau au dessus de ma tête qui disait :"salope vide- couilles, servez-vous !". J'étais devenu dépendant de ma condition et chaque occasion était bonne pour purger des queues alors que pour ma part je restais bien souvent les bourses pleines après avoir soulager mon partenaire du moment. J'aimais finir l'anus béant, la bouche , le visage ou tout autre partie de mon corps recouvert de sperme tandis que je gardais les couilles pleines sur le point d'exploser. Mon pénis est plutôt de taille modeste mais j'ai toujours eu d'énormes baloches et le fait de ne pratiquement jamais les vider n’arrangeait pas les choses. Elles pendent lourdement entre mes jambes comme le pis d'une vache, me font mal lorsque je mets un jean trop serrant à tel point que parfois j'ai des difficultés pour marcher normalement et il faut que je fasse attention lorsque je m'assois pour ne pas les écraser. Je n'ai jamais cherché la brutalité même si parfois mes expériences en matière de cul se sont relevés très sauvages, presque animal. Ma quête en matière de sexe relève plus d'une spiritualité masochiste d'être à la disposition de tous sans que personne ne m'assouvisse. C'est pour ça que j'aime rester coi, le visage barbouillé de foutre, mes lèvres gonflées endoloris d'avoir trop pomper de bites de toutes formes et de tout calibres, le trou du cul tellement défoncé qu'il ne pourra jamais reprendre les plis innocents de l'orifice immaculé qu'il était jadis lorsque j'étais un garçon sage. Abandonné là, comme une conne, nue et délaissée, regardant ces hommes repus partirent alors que je restais dans cet état pitoyable, mélange de frustration et de plaisir inachevé. Absolument divin. &nb ...
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