Jules et moi étions de plus en plus proches lors de nos ébats et en dehors. Il commençait à insister pour que je l’aide à se féminiser davantage. Il commençait à évoquer les transformations physiques, la chirurgie esthétique, se faire poser une poitrine assez opulente… Je ne lui racontais rien de mon expérience de travestie et lui cachais ma garde-robe.Et puis un jour, il me demanda ce qui se trouvait derrière la porte toujours fermée de mon dressing. Je rougis et l’embrassai. Je pensais à cet instant depuis quelques temps et je voulais lui faire rencontrer Estelle, celle à qui je devais tant, celle qui m’inspirait tant de tendresse et de reconnaissance. Je répondis ensuite à la quête de Jules en lui indiquant que c’était une surprise pour lui et que j’allais organiser de quoi satisfaire sa curiosité. Il m’embrassa de nouveau avec tendresse et fougue, excité par une curiosité qui allait être satisfaite.Le lendemain, je lui fixai rendez-vous chez Laurent (je lui avais raconté que c’était celui qui m’avait fait découvrir mon homosexualité sans trop dévoiler tout ce que j’avais vécu avec lui et Estelle dont je m’étais bien gardé de lui évoquer quelque bribe de notre relation.Laurent, Estelle et moi nous étions entendus sur le scenario et Jules est arrivé à l’heure convenue. C’est Estelle qui lui a ouvert la porte et Jules a demandé : « Bonjour madame, je crois que je me suis trompé, je devais me rendre chez Laurent. » Et Estelle de lui répondre : « Entre, Jules, nous t’attendions », avec sa voix pas complètement féminine. Jule fut surpris par ce timbre de voix mais entra et fut alors accueilli par Laurent, qui en fin gourmet, apprécia cette nouvelle rencontre, qui lui remémorait celle avec moi. Aussitôt, il se mit à lui faire la cour et jouait d’attouchements sur Jules tels que mon amant ne pouvait réprimer. Estelle lui fit la bise non sans lui imposer une trace de rouge à lèvre au coin des lèvres. J’étais derrière le miroir sans tain et jubilais en regardant le jeu de rôle d’Estelle et de Laurent et surtout les réactions de Jules. Il s’exprima afin de demander où je me trouvais et Estelle en le cajolant comme elle sait si bien s’y prendre, lui indiqua que je n’allais pas tarder. C’est Laurent qui proposa à Jules de se débarrasser de ses effets inutiles. Jules ne comprit pas sur le coup puisqu’il n’était revêtu que du minimum ! Estelle lui expliqua qu’il était invité à se mettre nu tout en l’aidant à se dénuder et Laurent mettait également la main à la pâte… Mon Jules se retrouvait alors avec la bite dans la bouche de Laurent et la langue d’Estelle dans la sienne, se faisant galocher par une experte. J’appréciai la scène et la vue du pieu de Jules qui se dressait vers le ciel. Laurent ne se priva pas et il commença à titiller la rosette de notre petit ingénu. C’était mignon de voir qu’il ne savait que faire de ses mains alors que quatre lui parcouraient tout le corps. La situation dura quelques minutes et Estelle y mit fin en indiquant à Jules qu’il n’était pas là pour ça, qu’elle avait des consignes et qu’elle devait s’occuper de lui. Elle le plaça devant le grand miroir (qui se trouve être celui sans tain) et commença à le faire tourner sur lui-même. Elle hésita un moment avant de dire « ça y est, je sais ». Elle chuchota à l’oreille de Laurent qui partit dans le dressing et elle entreprit le maquillage de Jules en se plaçant entre lui et le miroir, de sorte qu’il ne voyait rien. Le travail d’Estelle était magnifique et en plus du maquillage, elle avait bien sûr repris la coiffure de Jules. Elle était parvenue à lui créer des vagues dans les cheveux qui étaient des plus aguichantes, excitantes. Jules était toujours nu et son chibre était retombé progressivement en l’absence de sollicitation. Quand elle eut fini (Laurent attendait avec moi derrière le miroir), elle banda les yeux de Jules et fit signe afin que Laurent les rejoigne avec sa panoplie. Tous deux lui enfilèrent une culotte fendue des deux côtés, des jarretières et des bas résille, une jupe au ras de la moule et un soutien-gorge qui ne soutenait rien mais qui était magnifiquement brodé. Ils ajoutèrent un chemisier du même rose et tout aussi brodé que le soutien-gorge. Il ne manquait plus que les chaussures à talons hauts pour lesquelles je n’étais pas sûre que Jules puisse garder l’équilibre avec.Estelle prit alors Jules par la main et le dirigea dans la pièce attenante où je me trouvais. Un cadre vide se trouvait au milieu de cette petite salle, entre nous, laissant croire qu’il s’agissait d’un miroir et je lui fis face. J’étais habillée comme lui, comme elle, et Estelle s’est retirée en disant à Jules d’enlever son masque. Sur le coup, Jules crut que j’étais son reflet dans un miroir mais quand je me suis avancée pour la prendre par la main et la tourner vers le vrai miroir qui se trouvait sur notre côté, il a compris que c’était moi. Son émotion de se découvrir travestie et moi de même fut incroyablement émouvante tant il, elle, était agréablement surpris-e. Son étonnement ne dura que quelques instants et son plaisir se libéra en me sautant au cou, ou plutôt aux lèvres. Il ne put s’empêcher, comme toujours de parcourir mon corps avec ses mains si douces et délicates.Je l’ai dirigée vers le grand lit de la chambre de Laurent où ce ...

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