Éros (sexe) et Thanatos (mort) jamais loin l'un de l'autre (les 2 réellement vécues)C'est l'été, la nuit est tombée, il fait encore chaud, idéale pour faire des rencontres au parc des Buttes Chaumont à Paris. Nous y allons ensemble avec mon ami, en accord avec notre souhait commun de pimenter notre vie de couple.Arrivés dans le parc, nous nous séparons. Je me dirige vers les pissotières. J'ouvre ma braguette et j'attends… quelques minutes. Un homme à la peau sombre, peut-être d'origine africaine, d'une certaine corpulence, se place à côté de moi et ouvre sa braguette à son tour. Il en sort un sexe massif, magnifique bien qu'au repos, sur lequel ma main se précipite. Aucune hésitation de sa part. Nous nous tournons l'un vers l'autre, nous faisant face. Nous baissons notre pantalon et nos mains commencent à malaxer nos sexes. Le sien devient énorme, des testicules de taureau, sa peau a la texture de la soie, du satin, du pénis aux testicules, au périnée et jusqu'à l'anus, absolument lisses, aucun poils. Ma main s'affole en parcourant de long en large cette "vallée des merveilles". Je deviens fou de désir d'engloutir son sexe dans ma bouche. Il m'en empêche et tente de me retourner. Il veut me pénétrer mais la dimension de son pénis m'effraie. Je le lui explique; il me dit qu'il comprend et que, justement, il a des difficultés à trouver un mec qui accepte de se faire sodomiser. Il me demande alors de le pénétrer. J'accepte, il se retourne, m'offrant ses fesses galbées, musclées, aussi douces et satinées sous mes caresses que le sont son pénis et ses testicules. Je suis tellement excité que, bien que je sois habituellement passif, mon sexe n'a aucune difficulté à trouver son chemin dans la "caverne d’Ali baba". Une main, passée par devant, attrape son trésor en érection, l'autre par derrière caresse son périnée lisse et soyeux. Je le masturbe tout en le pénétrant par des mouvements de va-et-vient de mes reins cambrés jusqu'à la douleur. Mon excitation est au maximum, la sienne également. La tasse est éclairée par une lumière blafarde et il n'y a qu'une issue. A l'extérieur c'est nuit noire, impossible de distinguer une présence. On pourrait nous surprendre, la police, nous agresser, des casseurs de PD, nous n'aurions aucune chance. L'excitation est telle que ces préoccupations, que j'ai en tête, passent à la trappe. Nos orgasmes sont absolument synchronisés, pour moi, proche de l'évanouissement. Comblés et, moi, épuisé, nous nous séparons. Il disparaît dans la nuit.Voulant profiter encore de cette soirée tiède d'été, juste pour le plaisir du lieu, je m'avance dans le parc et grimpe sur une colline où traînent souvent des garçons, des hommes en chasse, espérant y retrouver mon ami. Je reste quelques instants assis sur l'herbe pour reprendre mes esprits et des forces. Mon ami est quelque part, je ne le vois pas, le parc ...

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