Cela fait quelques mois que je n’ai plus de nouvelles de Maitresse. La règle de base est que je ne dois pas l’appeler ou la relancer, je suis à son bon vouloir !En cette fin de matinée, un SMS vient d’arriver « rdv à 15h00 ce jour, non négociable » Nouvel arrangement avec mon boss qui est très patient et tolérant. J’arrive devant la porte de Maitresse, je sonne, la porte s’ouvre… Toujours en talon haut, bas résille, une guépière qui lui fait une taille de …guêpe. Un rouge à lèvres noir, yeux maquillés en noir, et une cravache à la main, des gants en résilles noires qui montent jusqu’au avant-bras. Ses seins et son sexe sont apparent et leur blancheur ressort sur le noir dupeu de vêtement qu’elle porte. Elle est terriblement excitante. Mon regard ne peut se détacher de ce sexe lisse et bien formé, cet abricot dont j’ai envie de savourer son jus suave et elle le devine. A peine rentré elle me demande de me déshabiller, mon sexe est déjà dur, elle le saisit d’une main, le presse hyper fort à m’en faire mal, en me fixant droit dans les yeux, elle le lâche pour me saisir les testicules, qu’elle sert, puis elle me demande de me pencher en avant, ce que je fais et je prends un coup de cravache sur ma raie, ce qui me provoque un bel échauffement de ma partie anale.« Soumis, occupes toi de lui «  lance t’elle à son compagnon de soumission. Soumis me positionne sur une des 2 chaises qui sont en travers de l’angle de la table à manger, il m’assoit sur l’une d’elle, m’écarte les jambes et m’attache les chevilles sur l’extérieur des pieds de la chaise, puis il m’attache les bras le long du dossier, me bâillonne avec une ballgag. Comme l’envie de bander m’a passé, il positionne une cage de chasteté sur mon sexe qui est redescendu et confie la clé à Maitresse.A nouveau cette sensation étrange entre excitation et peur, être attaché sans savoir ce qui m’attend. Je dois être au bon vouloir, à la merci de Maitresse. Soumis s’assoit sur l’autre chaise, s’attache aussi les chevilles, s’enfile une cage de chasteté, puis se bâillonne aussi avec une Ballgag. Maitresse vient lui attacher les bras, le long du dossier. Nous nous retrouvons presque face à face, le regard vers la table à manger, entravé, à attendre. Maitresse vaque à ses occupations, remet en forme les coussins du canapé, bouge un peu les rideaux, bref, des gestes du quotidien. De mon coté je commence à baver, les effets de la ballgag. Le temps s’écoule, avec l’envie de bouger, d’être libre. Surtout que je ne sais pas ce qui m’attend, ou nous attend car avec soumis, nous sommes dans la même situation. Coup de sonnette, Maitresse crie « entrez « , la porte s’ouvre et on voit l’homme de la dernière fois entrer. Je me dis que je vais me faire saillir à nouveau ce qui me provoque une sensation d’envie dans mes fesses, sensation doublée avec celle du coup de cravache. Maitresse fait assoir l’homme dans le canapé, lui propose un café, et ils discutent de tout et de rien, D’où on est, avec soumis, on doit se tordre le coup pour les voir. Puis les deux se lève, se positionnent devant la table (sur la largeur sachant que l’on est dans chaque angle en biais) et là, ils commencent à s’embrasser. La main droite de Maitresse commence à caresser le sexe de l’homme, à travers le pantalon, pendant que lui, lui titille un téton. Cela dure quelques minutes, puis Maitresse couche l’homme sur la table, sur le dos, lui enlève son pantalon et boxer, pour dévoiler son sexe au repos. Alors que l’on assiste impuissant à la scène, elle lui caresse les testicules, puis ce sexe, qui commence a se dresser. Maitresse se penche et commence à le lécher, avalant son gland, puis la totalité de sa verge. Le va et vient buccale commence, tout en lui malaxant les testicules, et en le masturbant sur la partie de son sexe non avalée, car elle joue avec sa langue sur son gland, on le devine au mouvement de mâchoire. Je sens mon sexe qui commence à durcir mais avec la cage de chasteté, cela m’enserre, me frustre de ne pas pouvoir bander comme j’en ai envie. Puis ils changent de place, Maitresse s’allonge et l’homme lui caresse les cuisses, puis l’intérieur de celles-ci, puis joue avec sa vulve. Je vois un de ses doigts ouvrir le sexe de maitresse en deux puis stimuler l’entré de son vagin. D’où je suis, je vois tout, ce qui me rend fou, mon sexe me fait mal, bloqué dans son érection par la cage, je suis attaché, je ne peux pas me toucher. Je vois les doigts de l’homme écarté ouvrir encore plus Maitresse, je vois ses petites lèvres, délicates, puis son clitoris gonflé sous les caresses par l’autre main de l’homme. Puis il se penche et commence à déguster Maitresse de sa langue, fouillant l’entrée de son vagin, mettant en apparence ses sécrétions vaginales.Maitresse gémit, ondule, lui tient la tête de peur que celui-ci ne se sauve. Puis sa langue s’égare sur le clitoris, qu’il lèche avidement, qu’il stimule par des petits coups de langues, puis en tournant autour. Bruyamment Maitresse nous fait savoir qu’elle prend son pied. Pendant son orgasme, Maitresse me regarde, nos regards se croisent, se qui me rend encore plus fou, car je vois son petit sourire narquois. Puis l’homme se retire, relève les jambes de Maitresse, se qui dévoile sa plus profonde intimité, entre son sexe et son anus. Puis il approche son sexe de sa vulve, et glisse doucement en elle. Quand il ressort son sexe est brillant, brillant de la cyprine de Maitresse. J’ai une vue directe sur cette scène d’accouplement. Bloquée dans la cage de chasteté, ma verge ne peut s’étendre comme elle veut, j’ai envie de bander normalement, pouvoir me masturber, j’ai envie de jouir, tellement je suis excité qu’un simple papillon qui se poserait sur mon sexe me ferait éjaculer. Je suis à fond, dégoutté d’être attaché, dégoutté de voir cet homme aller et venir dans le sexe si délicat de maitresse. Il la pénètre longuement, alternant les phases rapides, et celles plus lente ou il prend le soin de sortir complètement révélant s ...

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