Comme je l'indiquais dans mon précédent récit, j'ai vécu ma première expérience homosexuelle presque par hasard. J'en ai tiré deux enseignements: Avoir une bite en bouche est plutôt agréable, et la sodomie peut faire mal! Quoiqu'il en soit je n'en éprouve aucun regret. Les mois suivants j'ai continué de fréquenter de temps à autres des clubs libertins hétéros, ce qui m'a permis de faire quelques jolies rencontres de femmes peu farouches. La vérité m'oblige à dire qu'il est cependant fréquent que la gent féminine se fasse assez rare et qu'il ne s'y passe parfois pas grand chose. Je ne compte pas les fois ou je suis rentré totalement frustré, mon après-midi se résumant à déambuler dans des couloirs en compagnie d'autres hommes affamés, à la recherche d'une coquine qui ne viendra jamais.Je me suis peu à peu surpris à envier le monde gay, en me disant que tout devait certainement être plus simple, que les rencontres se devaient se faire sans chi-chi, et qu’une visite dans un club garantissait forcément de passer de bons moments. C’est ainsi qu’une pensée s’est progressivement insinuée dans mon cerveau, pensée qui est rapidement devenue une idée fixe. Il faut que j’aille voir directement ce qu’il se passe dans ce monde pour moi totalement inconnu. Je savais déjà que sucer des queues ne me dérangerait certainement pas, quant à aller plus loin, rien ne m’y obligerait.Une rapide recherche sur internet me permet de trouver un établissement 100% masculin dont les avis semblent plutôt favorable. Je m’organise ensuite pour me dégager un peu de temps une après-midi de semaine et me voilà en route. J’ai 1h30 devant moi.Sur le pas de la porte d’entrée de l’immeuble mon coeur se met à battre plus vite et je ne peux m’empêcher d’avoir une petite appréhension. Et si quelqu’un que je connais me voyait pénétrer dans cet endroit? Et comment cela va-t-il se passer à l’intérieur? Vais-je être considéré comme une proie pour les autres hommes? Quels sont les codes? Etc…Je sonne et je finis par pénétrer dans un vestibule où je suis accueilli par un homme sympathique et souriant qui me remet une serviette et me montre la direction des vestiaires. Première surprise, l’ambiance est zen, une musique douce sort des haut-parleurs et des bougies émettent une agréable odeur boisée. Me voici donc nu sous ma serviette, et après une douche rapide je me rends au sauna. Deux hommes sont déjà allongés, dans la partie basse. Je prends la banquette du haut et m’allonge à mon tour, un peu crispé, persuadé que l’on va se jeter sur moi. Pourtant il ne se passe rien, alors même que ma crispation à fait place à une sorte de début d’excitation. De toute façon la chaleur devient vite insupportable et je ne tarde pas à me lever pour rejoindre le hammam. L’ambiance y est tout à fait différente! Il y fait sombre et l’on ne distingue pas grand chose. Je m’assieds sur la banquette les sens en alerte. J’entends bien qu’il se passe des choses au fond de la pièce, et, mes yeux s’étant adaptés progressivement à la pénombre, j’observe les entrées et les sorties de plusieurs clients. L’un d’entre eux m’a remarqué et s’approche de moi. Il pose sa main sur mon épaule. Je suis assis, lui debout et j’ai son sexe à hauteur de mes yeux. J’ai bien entendu compris ce qu’il attendait de moi et je tends la main pour lui caresser les couilles. Il se rapproche un peu plus, à portée de ma bouche que j’ouvre en grand pour y enfourner sa queue. Elle est encore un peu molle mais je la sens bien vite durcir. Je ferme les yeux et je commence à le sucer, tout en le branlant de ma main de libre. Il bande maintenant bien ferme, et je continue ma besogne sous les yeux excités de nombreux observateurs. Mon partenaire est également très excité puisque maintenant il me saisi la tête entre ses deux mains et se met à me baiser la bouche à grands coups de bassin. Je pense qu’il va jouir mais il se retire brusquement en me disant qu’il ne souhaite pas que son après-midi se termine aussi rapidement. Tant pis pour lui, j’étais prêt à aller jusqu’au bout.Je sors à mon tour du hammam pour me rendre dans la partie labyrinthique du club. Des hommes déambulent, s’observent, se jaugent. Quelques cabines sont fermées, occupées par de bruyants fornicateurs. Un individu m'aborde et me dit que j'ai un joli petit cul, et qu'il est tout à fait open pour s'en occuper. Je ne suis pas prêt pour ça et je décline l'invitation. Je continue mon périple jusqu'à ce qu’une des cabines attire mon attention. Elle est percée de part et d’autres de plusieurs orifices situés à hauteur variable. Un gloryhole! Je m’y installe et j’attends.Je remarque du passage à l'extérieur mais les trous restent désespérément vides. Je finis par me lever et je glisse ma queue à travers l'un des orifices. Soudain je sens qu'elle pénètre dans un endroit chaud et humide qui me fait frissonner. Je suis en train de me faire sucer ! Mon inconnu passe une main dans l'une des ouvertures de la cloison, m'attrape les fesses et me colle contre la séparation. C'est visiblement un expert en fellation et sa bouche se déplace sur mon engin qui adore ça. Je suis rapidement au bord de la jouissance mais je sais que si j'éjacule maintenant je n'aurai plus très envie de poursuivre mon après-midi de débauche. Je me recule et me mets à 4 pattes en face de mon inconnu. Sa bite apparaît, tendue. Je la saisis et je commence à lécher le gland du bout de la langue. Je descends progressivement sur la base de cette queue que je commence à sucer avec avidité. Elle est grosse et me remplit la bouche. Ne pas savoir qui se trouve derrière la cloison m'excite beaucoup. Je m'active avec application lorsque je sens une main, venue de la cloison de derrière, qui me caresse le cul. Du bout des doigts, ce nouveau partenaire essaie de trouver ma rondelle. Je ne suis malheureusement pas assez grand pour pouvoir profiter pleinement de ces caresses et téter en même temps la bite d'en face. J'abandonne mon pauvre partenaire de devant et je me retourne ...

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