Cela remonte à la fin des années 70, je suis au lycée Gay Lussac à Limoges (lycée au centre de la ville pour ceux qui connaissent), et, dans le cadre de mes trajets quotidiens pour me rendre en cours, il me plait, allez savoir pourquoi, de traverser le parking sous-terrain de la place de la République, plutôt que de traverser la place du même nom qui se situe au-dessus de ce parking.Un jour, pris d’une envie pressante, et étant en avance pour le lycée, je décide d’aller aux toilettes publiques situées dans le parking. Deux hommes occupent les 2 urinoirs et je me dirige donc vers une des 2 toilettes munies une porte (l’autre ayant déjà la porte fermée … décidemment du monde dans ces toilettes !)A l’intérieur, tout en soulageant le besoin naturel qui m’a amené là, je découvre les multiples graffitis remplissant les murs : pas encore de numéros de téléphone à cette époque, mais des dessins très évocateurs, des messages du type « ici j’ai sucé une belle queue » ou « je suis à poil ici tous les jours à 13h » etc etc. Rapidement l’excitation me gagne et une belle érection se matérialise. Déjà accroc à la masturbation, je m’exécute tout en détaillant les multiples inscriptions. Je n’ai pas remarqué qu’un trou de beau diamètre a été pratiqué à la bonne hauteur dans la cloison séparant les 2 cabines …. et je découvre ce trou au moment précis où un doigt dépasse, me faisant manifestement signe d’approcher.Intrigué mais aussi un peu apeuré je dois dire, je m’accroupis pour découvrir un œil qui scrute manifestement ma masturbation depuis le début à travers ce splendide « glory hole », et pour entendre mon voisin de cabine chuchoter « met la dans le trou ». J’hésite … pas sûr de bien comprendre … pensant même prendre mes jambes à mon cou et filer, mais je vois alors surgir du trou le sexe de mon voisin, droit, dur, gonflé, le gland turgescent. Instinctivement, j’approche ma main pour d’abord l’effleurer, ce qui amène l’inconnu à glisser son membre entier par l’ouverture. Je le prends alors en main, pour entamer une ...

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