J'étais un jeune sergent de 18 ans dans l'armée de terre. J'avais un pote du même grade et du même âge avec qui nous partagions nos journées de travail à la caserne et, en soirée nous allions souvent au restaurant ou en boîte de nuit en toute amitié. Un soir, nous sommes allés dans un bar spécial où de jolies filles nous proposaient des streaptises au son de musique langoureuse pendant que nous buvions tranquillement notre bière, assis à une table face à la scène. À un moment du spectacle, la danseuse s'accroupit face à nous en écartant bien les cuisses et là ! Surprise ! On aperçoit un rayon lumineux qui sort de son intimité. Cela m'a vraiment surpris. La dame s'était introduit une lampe allumée avant de monter sur l'estrade.Mon pote Éric me dit : "tu as vu ça ?" Puis il ajoute :"ça te fait bander ?"Surpris par cette question, je lui réponds: "non".La soirée se poursuit et vers 1h00 du matin, il me propose de rentrer à la caserne. C'est lui qui conduit. On prend donc la route et là il me dit :"toi, je paris que tu es capable de sucer m'importe qui ?"J'avoue que la question a de quoi surprendre et donc je ne réponds pas à sa question mais je commence à avoir des tremblements incontrôlables. Il repart à la charge : "je paris que toi , tu es capable de sucer une femme ou un mec ?"Je lui réponds: "je sais pas trop,...c'est un défi ?"La voiture continue à rouler et il y a un silence ,où je crois deviner son malaise.Moi même je trouve la situation un peu bizarre et me demande qu'est ce qui est en train de se passer. Ce n'est pas très ordinaire quand même !Nous arrivons enfin sur le parking de la caserne, il est 2h00. Il fait relativement froid.Nous descendons de la voiture et nous dirigeons vers notre bâtiment. La chambre d'Éric se trouve au rez-de-chaussée et la mienne est au 2ème étage. Depuis le silence de la voiture, plus aucune parole n'a été prononcée entre lui et moi.On entre donc dans le bâtiment et là, il me dit :"on va dans ta chambre ou dans la mienne ?"Pas très à l'aise, et moi qui étais sur le point de lui serrer la main comme d'habitude et de souhaiter bonne nuit.Éric me dit :"alors ?"Je réponds : "je sais pas trop !... on va dans ma chambre ".Nous montons ensemble les deux étages et, arrivés sur le palier, il me dit :"tu m'attends une seconde, je vais pisser un coup ".Il faut dire qu'avec toute la bière que nous avons consommée, les envies de pipi ont été nombreuses au cours de la soirée.Bref, les toilettes se trouvent juste à côté de ma chambre et Éric va pouvoir se soulager dans l'un des urinoirs qui décorent cet endroit. Par souci de discrétion, je préfère rester dehors, dans le couloir. Ça y est ! J'entends la chasse d'eau. Les tremblements incontrôlables sont toujours d'actualité et je suis un peu inquiet, ne sachant pas où j'ai mis les pieds et qu'est ce qu'il va se passer dans ma chambre dans quelques instants entre Éric et moi.Il sort des toilettes et je passe devant pour ouvrir la porte de la chambre avec ma clé, qui a bien du mal à trouver la serrure (toujours à cause des tremblements).Ça y est ! Nous sommes enfin à l'intérieur de ma chambre. Il est 2h20 du matin et je ne suis vraiment pas à l'aise. Éric me dit alors :"je crois que tu es en train de me monter un bateau ?"Ne comprenant pas son propos, je ne réponds rien. Alors il me dit :"tu es en train de me monter un bateau ? "Tu veux qu'on en reste là ?""je me suis trompé "Et là, je ne sais pas ce qu'il m'a prît, nous étions debout à deux mètres d'intervalle, je me suis rapproché de lui en disant :"tu crois que je te monte un bateau ? Tu m'as lancé un défi, tu vas voir ça !" EtJoignant le geste à la parole je dirige mes mains vers sa braguette que j'ouvre rapidement pour découvrir ce qu'il peut y avoir de beau là dessous. Je me surprends moi-même de ce que je suis en train de faire. Éric se laisse faire ça me fait bizarre. Je continue mon investigation et glisse ma main droite directement dans sa braguette ouverte puis,dans la foulée dans son slip. Et là ! Ouah ! Éric me laisse faire et je le regarde dans les yeux tout en rassemblant dans le creux de ma main ses deux couilles et sa petite queue toute molle que je malaxe doucement. Et là je lui dis :"alors ? Comme ça je te monte un bateau ?"Éric me dit :"on se déshabille, on sera mieux !"Ni une ni deux, nous voilà en train d'enlever un à un tous nos vêtements. Éric n'a pas l'air gêné du tout alors que moi, j'ai un peu de mal à quitter mon slip.Éric me dit :"allez ! Vas y ! Enlève tout ! On est entre mecs !"A cet instant, je me dis qu'au point où on en est, il vaut peut-être mieux vivre cette expérience unique à fond et donc y trouver une certaine forme de plaisir que je ne connais pas du tout. Éric me dit :"on fait comment ? Tu veux que je m'allonge sur le lit ?"Je réponds :"heu....oui si tu veux !"Il s'allonge donc sur le dos et me fait signe de venir sur lui, face à face. Je m'exécute et je sens tout son corps contre le mien. C'est plutôt agréable de sentir le contact de cet épiderme, et de sentir nos deux petites queues qui commencent à durcir l'une contre l'autre.Éric veut que l'on s'embrasse. Alors j'essaye, et il me force à ouvrir la bouche pour que nos langues se touchent et se mélangent. OUAHHHH, c'est une drôle de sensation ce contact humide et cela me f ...

... Log in to read the end of this erotic story | 100% free registration