Je flânais, un sac de course à la main, dans la galerie marchande de mon hypermarché habituel, avant de rejoindre le parking où j'essayais de retrouver désespérément ma voiture. (Tête de linotte que je suis). Lorsqu'un beau ténébreux rebeu me fit un clin d'œil en croisant mon chemin. Surpris, je me retournais et vis qu'il se dirigeait vers les toilettes du centre commercial. D'un petit signe de tête, il m'invitait à le rejoindre! Ne voulant pas louper une telle occasion, je le suivi jusqu'aux toilettes le cœur palpitant d'excitation. Par chance, l'endroit n'était pas fréquenté. Je frappais à la porte du seul toilette fermé, attendit qu'on déverrouille et vis mon bel arabe qui me proposa d'aller dans la cabine d'à côté pour avoir "plus de place". Tout d'abord réticent d'occuper un endroit réservé aux personnes handicapées, je finis tout de même par le suivre poussé par mon désir en verrouillant derrière moi. Sans même prononcer un mot ,je m'approchais de lui et, l'embrassais fougueusement le plaquant contre le mur. Mes lèvres pulpeuses aspirant avidement les siennes, nos langues s'emmêlèrent avidement. A la façon dont il me "buvait", il semblait apprécier le contact doux et tendre de ma bouche charnue.Ma main glissa sur son entrejambe et palpa le renflement de son sexe qui grossissait au travers du tissus. Il était déjà super excité! Voulant en voir plus, je m'agenouillais devant lui, me prosternant devant son divin Priape, le déboutonnait et sortie sa queue brune (qui n'était pas très grosse et avait la forme d'une virgule). Assoiffé de sexe, je la pris en bouche et commençais à le sucer délicatement en soupesant ses bourses bien remplies. Mes grosses lèvres gonflées allez et venez goulûment sur son chibre palpitant. Je me délectais de ce mets exotique au senteur orientale. Gourmands comme je suis, j'accélérais ma dégustation, son jus de bite mêlé à ma salive coulait sur mes joues, mon menton. Je le pompais avec une telle gloutonnerie que j'en avait le visage tout barbouillé comme un petit enfant qui s'empiffre de crème glacée. La bave de stupre dégoulinait de ma bouche à chaque sussions et se répandait sur le sol dans une marre luxuriante.Devant une telle ardeur, il me dit d'arrêter, qu'il n'en pouvait déjà plus!Résolu à ne pas en rester là, je me relevais et sorti un préservatif de ma poche en lui lançant malicieusement qu'il fallait: "toujours prévoir, au cas ou!" Lui tournant le dos pour lui faire profiter de la vue de mes jolies fesses rebondies, je lui fit un strip-tease, retirant lentement un à un mes vêtements tout en me caressant le corps lascivement afin qu'il puisse récupérer un peu tout en restant excité et mettre la capote. Une fois nu, je posais un pied sur le rebord de la cuvette des WC et me penchais pour lui offrir ma croupe tout en m'agrippant à la barre qui était prévu pour aider les personnes handicapées à se relever et j'attendais dans cette position provoquante mon bel étalon arabe qui ne se fit pas prier. Je sentis sa queue entre mes fesses qui tentait de s'introduire dans mon anus. Lorsqu'il fut en moi, il me fourra sauvagement jusqu'à la garde en me tenant par les hanches et les épaules. J'essayais de contenir mon d'extase du mieux que je pus en me mordant l'ourlet de mon épaisse lippe inférieure afin de ne pas attirer l'attention d'un éventuel passant, alors que mon pure sang arabe poussait des jappements de plaisirs sans vergogne tandis qu'il me bourrait sauvagement le cul. Il sortait sa queue, faisait une pause et me pénétrait à nouveau sans forcer. J'étais tellement ouvert que je le sentais à peine en moi, pourtant j'étais au summum du plaisir. Je priais pour qu'on ne nous surprenne pas et en même temps j'étais très excité à l'idée que quelqu'un puisse frapper à la porte pour savoir ce que l'on pouvait bien faire là dedans ! Qu'on nous entende, que quelqu'un aille chercher le vigile pour qu'il nous sorte de là par la peau du dos comme deux vilains garnements pris en flagrant délit d'exhibition ou simplement un mec qui profiterait du spectacle en collant son oreille contre la porte en se masturbant ou encore mieux qu'il frapperait pour nous rejoindre et profiterait de mon cul lui aussi! Tout ces scénarios se bousculaient dans me tête alors que mon anus se dilatait de plus en plus sous ses coups de reins. Ma petite queue gonflées d'envie suintait d'un long filet d'une mouille visqueuse et translucide souillant le bas de mon ventre. Mes grosses couilles se balançaient comme la cloche d'une église un dimanche matin avant la messe. Mon dieu que s'était bon d'être baisé comme une Loppe alors que les gens faisaient innocemment leurs courses à quelques mètres de là! Mon bel arabe continua à profiter de l'hospitalité de mon cul blanc de petit français sans que nous soyons dérangés et, quelques instants plus tard qui me parurent trop court, il m'avoua qu'il ne tiendrait pas plus longtemps et jouit en poussant un long râle de jouissance. En nous rhabillant ,nous échangeâmes nos numéros de téléphone en nous promettant de bientôt nous revoir. Comblé après cette expérience impromptue, je fini par le laisser et regagnait le parking en espérant retrouver ma voiture. Deux semaines plus tard, alors que je ne m'y attendais plus, il m'appela enfin. Je ne pensais plus trop à lui et je ne compris pas immédiatement ce qu'on me voulait. Lorsqu'il me dit qu'on avait baisé dans les toilettes de l'hypermarché, l'image de nos ébats me donna l'envie de remettre ça au plus vite! Nous primes rendez-vous au centre commercial. Cette fois, j'espérais tout de même discuter autour d'un verre avec lui pour faire plus ample connaissance et mieux le connaître. Je l'attendit sur un banc dans la galerie du centre commercial en face des WC où il m'avait donné rancard sans doute en souvenir de notre première rencontre torride. Il était en retard et j'étais impatient de le revoir, je consultais anxieusement ma montre espérant qu'il ne me pose pas un lapin! ...
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