Titre : Sally, Séduction InverséeCe jour-là, j'avais décidé de jouer avec les codes. Plutôt que de faire tourner les têtes dans l’une de mes habituelles micro-robes en vinyle aux coupes vertigineuses, j'avais choisi une illusion encore plus provocante : une tenue d'homme revisitée à ma façon. Une micro-robe blazer en vinyle noir ultra moulante, décolletée jusqu'au nombril, à manches longues mais fendue jusqu'aux hanches. En dessous, rien d'autre qu'un string en vinyle assorti, invisible à chaque pas. J'avais chaussé mes cuissardes à talons aiguilles de 12 cm, brillantes, parfaitement gainantes, montant jusqu'en haut des cuisses. Sous la robe, j'avais glissé ma paire de faux seins en silicone ultra réalistes, en bonnet E, qui bombaient fièrement sous le vinyle tendu, créant une illusion si parfaite qu'aucun regard n'aurait pu soupçonner quoi que ce soit. C'était une poitrine sculpturale, hypnotisante, outrageusement féminine — un chef-d'œuvre de trompe-l'œil au service de ma sensualité assumée.Mes lèvres étaient laquées d'un rouge sang intense, mon regard ourlé d'un noir charbonneux irrésistible, et mes paupières légèrement pailletées. J'avais parfumé mes poignets, mes clavicules et l'intérieur de mes cuisses avec mon sillage signature : un accord enivrant inspiré d'Hypnotic Poison : une vanille noire sensuelle, mêlée d'amande amère, de jasmin opulent, sur un fond chaud de musc blanc et de bois de santal — un sillage ensorcelant, presque interdit. Rien en moi ne trahissait la moindre retenue. J'étais Sally. Et j'étais là pour dominer.J’avais reçu une invitation pour une soirée privée dans une villa discrète de la banlieue chic. L’organisateur, que j’avais croisé dans le couloir de l’hôtel la veille, m’avait simplement murmuré :— Vendredi, vingt-trois heures. Code : désir.J’arrivai pile à l’heure, mon talon aigu frappant le sol avec assurance. Dès l'entrée, une hôtesse m’accueillit avec un verre de champagne pétillant, son regard trahissant une admiration presque palpable. Autour de moi, l’atmosphère vibrait d’une tension sensuelle palpable : des couples enlacés, des corps scintillants sous les lumières tamisées, des regards brûlants qui semblaient chercher une proie ou une promesse.Les femmes arboraient des tenues provocantes, des dentelles délicates ou du latex brillant qui épousaient chaque courbe, tandis que certains hommes se paraient de costumes impeccables ou s’exposaient nus, fiers et confiants. Tous semblaient suspendus à l’attente d’un frisson, d’un fracas, d’une rencontre.Mais moi, je ne voulais pas être une simple spectatrice ni un objet désiré. J’étais venue pour déclencher le chaos, pour imposer mon jeu, pour marquer cette nuit de mon empreinte.Je me mouvais avec fluidité entre les groupes, mes cuissardes claquant légèrement à chaque pas, captant et capturant les regards surpris, hypnotisés, fascinés. Certains murmuraient à voix basse, intrigués par cette apparition en vinyle noir, par cette silhouette magnétique. Une femme au regard audacieux m’agrippa doucement par la taille :— Toi, t’es un fantasme ambulant.Un sourire carnassier étira mes lèvres laquées d'un rouge sang intense.— Je suis bien plus que ça.Je me penchai et lui volai un baiser brûlant, juste assez pour allumer une étincelle, pour poser les premières notes d’une symphonie nocturne.Dans cette villa saturée de désir, j’étais la reine incontestée d’un royaume lubrique. Une déesse travestie en vinyle, offerte et cruelle, irrésistible et insatiable. La nuit n’était qu’un terrain de jeu, et j’en détenais les clés... Ce n’était que le commencement.Je me laisse aborder par deux hommes en même temps, leurs regards lourds de désir mêlé à un défi presque silencieux, comme s’ils tentaient de s’approprier chaque parcelle de mon corps sans jamais me briser. L’un, grand et athlétique, dégage une force tranquille ; l’autre, plus nerveux, trahit une impatience contenue, mais tous deux sont captivés par l’aura magnétique que je dégage. Non loin, leurs compagnes les observent avec une intensité presque possessive, un mélange complexe de curiosité, d’excitation et d’une jalousie voilée. Leurs yeux suivent chacun de mes gestes, de mes frôlements, comme si elles jouaient elles-mêmes ce jeu interdit.Leurs mains glissent doucement sur le vinyle tendu de ma micro-robe, caressant la surface lisse et froide, traçant des lignes imaginaires sans jamais oser plus. Chaque effleurement est une promesse, une invitation muette au jeu, respectant le mystère que je cultive avec une précision presque tactique. Le vinyle, bien que rigide, semble épouser chaque courbe de mon corps avec une seconde peau, renforçant l’effet hypnotique.Mes cuissardes claquent doucement contre le sol à chaque pas lent et calculé, ponctuant cette danse sensuelle où je mène la cadence, mêlant le pouvoir à la séduction. Mon regard, profond et assuré, capte chaque réaction, chaque souffle retenu, chaque regard qui se détourne ou s’attarde avec insistance. Je souris, un sourire à la fois cruel et invitant, consciente de mon emprise, délectant chaque instant où je fais tourner les têtes et dirige le jeu sans jamais me laisser dominer.Dans ce ballet silencieux, je suis à la fois reine et marionnettiste, orchestrant avec une maîtrise souveraine cette tension électrique, jouant sur le fil du désir et du contrôle. Je savoure cette position d’équilibre, où chaque geste, chaque regard est une victoire subtile dans la conquête de cette nuit.L’un des hommes se place lentement devant moi, sa présence imposante et son regard brûlant d’envie. L’autre glisse derrière, ses mains avides trouvant immédiatement mes hanches, puis descendant avec audace pour saisir fermement mes fesses galbées, les pressant avec une intensité délicieuse. Sans prévenir, il glisse son membre entre mes fesses serrées dans le vinyle, provoquant un frisson électrique qui me traverse, éveillant un plaisir profond et inattendu, mêlé à une douce tension délicieuse. Chaque mouvement, chaque poussée, décuple mes sensations, vibrant à l’unisson avec le cuir glacé contre ma peau.Celui qui est devant approche son visage du mien, ses lèvres cherchant les miennes avec une douceur brûlante, puis il descend lentement ma tête, glissant son membre dans ma bouche avec une douceur possessive et une urgence contenue. La chaleur et la fermeté de son sexe dans ma bouche éveillent en moi un désir sauvage, un pla ...

... Log in to read the end of this erotic story | 100% free registration