Younes s'installa d'autorité, allongé sur le matelas, « à la romaine », face à sa nouvelle Dulcinée, sans rien me demander. Tiens, pensai-je, il s'affirme déjà comme un « petit homme ». Moi, je m'installais sur un fauteuil, face à eux, mais non loin.Elle, divine, sculpturale, semblait s'abandonner totalement à la mollesse du matelas. Son corps, délié, offrit une harmonie envoûtante, un équilibre parfait entre abandon et provocation. Elle s'étira dans une attitude étudiée, sa cambrure accentuant la courbe exquise de ses reins tandis que sa jambe, légèrement relevée, tranchait d'un effet magistral la ligne de son corps alangui. Un bras soutenait mollement sa nuque, l'autre effleurait son propre ventre comme dans une caresse distraite. Son regard, mi-clos, s'accrochait à celui de Younes avec une intensité troublante, une promesse muette suspendue dans un air lourd de désirs inavoués.Lui, fasciné, la dévorait des yeux, la fixant comme on contemple une apparition. Avec une sensualité instinctive, il lui portait à sa bouche une corne de gazelle ou un faqqa, avant d'en effleurer les lèvres, lui en offrant chaque bouchée dans une chorégraphie silencieuse. Lorsqu'elle refermait ses lèvres sur ses doigts, elle les retenait un instant, les effleurant de sa langue, un sourire imperceptible aux coins de la bouche, comme une esquisse de possession.Younes n'était plus l'enfant émerveillé, mais l'homme en devenir, déployé avec une nonchalance étudiée, un mélange troublant de langueur et de force naissante. Son corps, à la fois souple et déjà puissant, semblait épouser cette posture du contrapposto, si chère aux maîtres de la peinture Renaissance: un bras replié, paresseusement soutenu, l'autre effleurant son flanc dans un relâchement qui n'excluait pas une tension sous-jacente. Sa jambe gauche, légèrement fléchie, creusait une ligne harmonieuse dans sa silhouette, contrastant avec la fermeté de l'autre, tendue, affirmée.Une énergie indéfinissable parcourait son torse, suspendue entre l'abandon et une volonté latente de possession, comme si son corps oscillait encore entre l'offrande et la domination. Là, dans son entrejambe, au creux de sa virilité assoupie, se lisait l'empreinte d'un plaisir consommé, d'une fougue momentanément domptée, prête à renaître au moindre souffle, les testicules pendantes et la verge amollie.De mon fauteuil, je savourais ce spectacle. Une scène d'une beauté presque irréelle, où l'échange silencieux des regards, la chorégraphie des gestes esquissés, suffisaient à rendre l'air plus épais, plus chargé. Je mesurais pleinement la merveilleuse opportunité m’offrant cette scène.J’observais, sourire aux lèvres, le jeu lascif et envoûtant de Madeleine, ses œillades brûlantes, l’effleurant d'un regard chargé de promesses, qui eurent vite raison des derniers vestiges de la contenance de mon amant. Un frisson imperceptible traversa son corps, révélant la montée inexorable du feu qu'elle attisait avec une science instinctive. Il tenta, un instant, de masquer ce trouble naissant, mais déjà l'éveil de ses sens trahissait l'irrépressible ascendant qu'elle exerçait et très vite son chibre se souleva généreusement de son pubis, comme pointant du doigt le ventre de la femelle à dompter qui s’était imperceptiblement rapproché. D’un geste naturel propre aux hommes, il écarta ses testicules libérant ainsi encore plus son braquemart, dressé maintenant comme une hampe. Madeleine le remarqua et vint poser ses doigts dessus, jouant à le gratter de ses ongles vernis. La réaction de Younes ne se fit pas attendre, il se colla violemment contre elle, la couvrant de baisers. Elle rigola à gorge déployée, surprise, flattée ou gâtée, je ne sais. Son corps magnifique, que je voyais de dos, les adorables fesses musclées crispées, la couvrait maintenant. Il lui prodiguait une foultitude de baisers fougueux, qui échauffait encore plus cette femelle, lui suçant le cou, lui dévorant les seins, le nombril. Tout cela faisait que je voyais le corps de mon amant se démener à l’envi, terriblement excitant et ne manquant pas de me provoquer une belle érection !- Mais tu es fou, mon chou ! Quelle ardeur ! Quelle force ! J’adore quand tu me dévores comme ça les seins. ! Elle se tortillait de plaisir comme une chatte des rues en chaleur. Mon Dieu qu’il était beau et excitant dans cette position, mon Younes. Puis, prenant sur lui, il descendit plus bas, pour lui écarter un peu violemment à mon goût les cuisses et venir fourrer sa bouche enfiévrée dans l’opulentes toison blonde qui, maintenant, s’ouvrait sans réticence à lui, et même avec envie. Car elle prit ses propres genoux pour entrouvrir encore plus l’antre où mon amant se délectait. Je l’entendais marmonner de plaisir et d’excitation, ne pouvant plus cacher sa joie de découvrir enfin ce qu’il ne soupçonnait même pas. Madeleine se contorsionnait de plaisir. Lui était maintenant à genoux sur le matelas, m’offrant généreusement ses fesses écartées, sa rondelle bien apparente, tout occupé à bouffer le clitoris de sa belle, les cris d’extase de cette dernière me le faisant penser.Je ne pus me retenir, trop enflammé par ce spectacle. Je vins lui bouffer le cul, ce qui apparemment le contenta au constat de sa rondelle qui se dilata très vite. Il se mit à tortiller des fesses, m’invitant ainsi à la pénétration. Trop pressé, car en feu, je lançais un crachat sur son anus et le pénétrais d’un coup. Il accusa le coup, mordant certainement par réflexe l’abricot de Madeleine qui poussa un petit cri de douleur - Mais tu es fou ! Ne mords pas si fort ! Ah, toi aussi mon chou, tu es au travail ? me lança-t-elle d’une œillade égrillarde.La superposition de la vue du magnifique corps fin et musclé, à la peau halée de Younes, sur celui d’une partie du corps de cette femelle assoiffée de plaisirs, les seins potelées par les mains fines et graciles, mais actives de Younes, ses yeux maquillés révulsés de plaisir, tout cela me rendait fou ! J’accélérais mes coups de reins, projetant parfois le visage de Younes jusqu’à la poitrine de la femelle. Mais il semblait apprécier au plus haut point, et elle aussi. Parfois, elle me jetait des regards salaces qui ne pouvaient que m’enflammer encore plus. Très vite la jouissance vint, subite, violente, sublimable.- Viens vite, me dit-elle, je ne veux pas en perdre une goutte.Je me plaçais donc face à son visage et elle avala gloutonnement mon vit dégoulinant pour le sucer à fond. Elle insista tellement, qu’elle me provoqua presque une douleur. Mais je trouvais divin ce mixte de douleur-plaisir.Puis s’adressant à Younes :- Viens mon chou, j’ai encore soif. Elle le guida pour venir le positionner à cheval sur sa poitrine. Elle plaça de force son énorme chibre entre ses deux seins et entama une magnifique cravate de notaire.Nous nous retrouvions maintenant à genoux, presque face à face, Madeline s’activant en faisant adroitement jouer la verge trempée de liquide pré-séminal, et moi contemplant mon Adonis, visiblement au paradis des mille vierges., les lèvres irritées, encore toute rouges de leur dégustation de chatte. Je détaillais son corps : sa tête de statue grecque aux yeux incendiés de plaisir, les cordes du coup superbement apparentes et d’une virilité émoustillante, son torse parfaitement dessiné aux pectoraux déjà inondés de sueur, ses abdominaux ondulant au rythme du plaisir que lui procurait cette gâterie, et son plat pubis plongeant vers cet énorme sexe enflé entre ses deux généreux seins, qui suivait un judicieux va et ...
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