Merci encore pour votre fidélité et vos notes ! Dommage pour ceux qui me mettent zéro ou un !Heureux comme un fou, et afin de l’exciter encore plus je plongeai dans son entrejambe pour entamer un pompage de folie, lui malaxant les couilles, lui caressant le pubis avec mes mains en parenthèse, remontant par son ventre pour venir titiller ses tétons que je mordillais presque avec fureur, lui faisant un peu malTerriblement excité par tout ce que ressentais, et ayant aussi peur qu’il me décharge tout dans la bouche, car je mesurais bien son extrême tension, je reprenais le doigtage de sa rondelle. Mon majeur rentra à nouveau sans problème. Je pus l’enfoncer jusqu’à venir effleurer sa prostate qui sembla réagir par le biais de ses mouvements de bassin. Puis un deuxième doigt, peut-être un peu plus mal aisément. Mais il finit par se décontracter et je le sentais prêt.Je re tournais et entamais un bouffage de cul en bonne et due forme, ma lague repliée en U essayant de pénétrer au plus profond son délicieux fondement. Je voyais que je parvenais à m’y insérer de plus en plus profondément.- Je peux te pénétrer ?- Oui, mais nique-moi doucement, hein ?- Promis.Il me surprit en se redressant un peu sur le dos et en écartant largement les jambes comme une prostituée.Il ne s’agissait surtout pas de le vexer, il fallait y aller avec tact. C’était sa première fois tout de même…- Non, mon amour, comme ça je peux mais tu vas avoir mal pour une première fois.Je le repositionnais alors en levrette et recommençais pour bouffage de rondelle pour le distendre un maximum, tout en lui malaxant les couilles et le vit que j’avais le plus grand mal à rabaisser vers moi, tellement il était tendu.Quand je le sentis bien disposé, je me mis à genoux, larguais une bonne dose de salive sur son sphincter et sur mon gland puis présentai l’engin devant ma petite grotte d’amour. Il ne réagit pas à son contact. Mais quand ma poussée commença à s’effectuer, pourtant toute en douceur, je le sentis se raidir…- Si tu te bloques, je ne pourrais pas entrer, mon amour… Détends toi et fais-moi confiance.- Va doucement, hein ?- Mais oui ! Je fais ça pour te faire du bien, pas du mal !Je poussais donc un peu plus. Il commença à respirer très fort, comme pour soulager une douleur.- Ça va ?- Oui, oui, continue ! Mais doucement.Je crois que c’était la première fois de ma vie où je pénétrais un mec aussi lentement. J’eus une délicieuse impression quand je sentis que mon gland était passé. Tout en lui pétrissant les fesses et en allant chercher, en me penchant, ses testicules pour les caresser, je continuais ma très lente progression. Visiblement, il n’en soufrait pas outre mesure. Puis mon pubis tapa alors contre son périnée. Je me retirai alors tout doucement afin de pourvoir recommencer.- Non, pourquoi tu as arrêté, c’était bon !- Rassures-toi, mon amour, ce n’est que le début.Je lui renfonçais alors mon pieu jusqu’au bout pendant qu’il manifestait son évidente satisfaction. Puis le mouvement s’accéléra. Et au fur et à mesure, je distinguais son bassin se tortiller de plus en plus et son dos onduler complètement.- Ah oui ! C’est bon ! Continue ! Vas-y plus vite ! Vas-y plus fort, plus profond !J’entamais alors mon drainage endiablé, poussant à fond à grands coups de reins puissants et rapides, le propulsant parfois en avant. Devant ma fougue, j’eus même peur de me péter le frein. `La tête et la bite en feu, je ne m’occupais même plus de ses couilles, m’agrippant à ses fesses pour encore mieux le démonter, d’autant plus excité par ses geignements de plaisir.Puis le flash vint la formidable décharge d’adrénaline et de sperme, la lueur blanche devant mes yeux, mon gland qui me brûlait, mes couilles que je sentais remonter, mes mains qui griffaient ses fesses si fermes. Je continuais à le besogner, à fond, la verge commençant à se ramollir, voulant en profiter au maximum avant qu’elle ne redevienne complètement flasque, avec d’autant plus de facilité que ses cris de plaisir me stimulaient encore plus.Enfin, comblé de bonheur et complètement assouvi, je vins m’écrouler sur son dos, le torse couvert de sueur.Je ne sais pas combien de temps nous restâmes dans cette position, mais ce fut un vrai Nirvana.Puis, peut-être fatigué, peut être aussi satisfait, il s’allongea et me permit de rester collé, avachi et vidé sur son dos. Puis, il sentit sûrement par lui-même que mon sexe complètement mou maintenant était sorti de son corps, il se retourna. Nous nous retournâmes alors toujours l’un sur l’autre, le couvrant de baisers.- Oh ! Putain ! Putain Youssef, que c’était bon, mon amour !- Pour moi aussi, mon amour. (Tiens, il avait donc osé, ou faisait-il tout à l’imitation…)Ce furent des inoubli ...
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