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Voyage en side car am Maroc 28

Publié par : pierre49590 le 07/03/2025
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A mes lecteurs : pardon pour l'erreur. le n° 26 n'existe pas. Merci pour vos notes et vos messages. je regrette que parmi tous ceux qui me lisent, il n'y ait pas plus de notes...J’étais certes divinement bien à Dadès, lové dans ce petit Ryad intimiste, niché au cœur des gorges. En arrivant ici, je n’en avais pas espéré tant. Chaque matin, mon beau Daoud venait m’y retrouver, m’aimant avec ferveur, parfois même avant mon réveil, délaissant désormais complètement sa femme… et pour cause.Dans la journée, je parvenais à m’éclipser dans la nature pour savourer d’autres plaisirs, délicieux et interdits, avec Karim. Mais ce qui m’enchantait autant que cela me troublait, c’était l’ardeur du jeune Younes. Depuis qu’il avait ouvert avec moi le grand livre de la vie, il ne cessait de me relancer avec une constance et une fougue désarmante, manquant parfois de discrétion au point que je craignais que son père ou son frère ne finissent par s’apercevoir de quelque chose.Et puis, il y avait aussi ces quelques occasions saisies au gré du hasard… Cela faisait beaucoup tout de même. Bien que j’aie encore l’endurance d’un vieux bahut breton, je sentais peu à peu s’émousser le frisson de la découverte, remplacé par des automatismes certes plaisants, mais trop convenus à mon goût.Je décidai donc de faire une pause et d’aller explorer les villes impériales quelques jours. Ce fut un drame pour Daoud, un moindre mal pour Karim, qui pouvait toujours se rabattre sur sa veuve, et une source de tensions avec le beau et fougueux Younes.Je fis donc un périple d’une semaine à travers les villes impériales : Marrakech, Fès, Meknès et Rabat. Ce voyage fut un véritable enchantement, une parenthèse culturelle des plus enrichissantes. Les médinas vibrantes, les palais raffinés, les jardins luxuriants et les souks animés me transportaient dans un univers où le temps semblait suspendu.Mais ce qui me surprit davantage encore, ce furent les rencontres inattendues qui jalonnèrent mon séjour. Sans même les provoquer, sans le moindre effort de séduction, je me retrouvais une fois de plus happée par le désir des hommes. Cette fois, il ne s’agissait pas de mes amants habituels, mais d’inconnus : un réceptionniste d’hôtel au regard brûlant, un serveur de café effleurant ma main plus longtemps qu’il ne l’aurait dû pour un pourboire ramassé, un conducteur de taxi-tricycle glissant des sous-entendus à peine voilés, un client voire un employé de hammam.Ce qui me stupéfiait, ce n’était pas tant ces avances, mais plutôt la facilité déconcertante avec laquelle elles se multipliaient. En France, mon physique et mon allure n’avaient jamais laissé transparaître mes penchants les plus secrets. Rien dans ma posture, dans mon attitude, ne trahissait cette soif d’abandon. Alors pourquoi, ici, était-ce différent ? Pourquoi ces hommes semblaient-ils deviner instinctivement en moi cette disponibilité, ce goût du jeu, cette ouverture aux plaisirs clandestins ?Était-ce l’atmosphère envoûtante de ces villes, propices aux aventures furtives ? L’exotisme du voyage me transformait-il, me rendant plus visible à leurs yeux ? Ou bien était-ce simplement parce que j’étais un touriste ? Un étranger, de passage, libre de tout engagement, donc immédiatement perçu comme une promesse, un fantasme accessible ?Cette pensée me troubla. Peut-être n’étais-je qu’une de ces habitudes locales, une parmi tant d’autres, un Firanzaoui de plus à qui l’on offrait un frisson éphémère avant qu’il ne s’envole vers d’autres horizons.Et pourtant, loin de me vexer, cette idée m’excitait, elle m’excitait même terriblement.Je rentrai donc en fin de semaine pour être accueilli avec en train par le patron !- Ah ! Monsieur Pierre ! Quel plaisir ! permettez-moi de vous offrir un verre.Nous nous retrouvâmes en terrasse. Le patron me parla de tout et de rien, échangeant des banalités avec cette aisance propre aux habitués des lieux.Puis, tout à coup, il se pencha vers moi, réduisant la distance qui nous séparait. Son regard s’assombrit d’une lueur indéchiffrable, et, comme s’il s’apprêtait à me confier un secret, il murmura d’une voix basse et presque conspiratrice :— Puis-je vous demander si vous êtes célibataire ?Je bafouillais un oui.Le patron se pencha légèrement vers moi, baissant la voix comme s'il allait me confier un secret.— Oui… Je m'en doutais. Voilà ce qu'il m'arrive. C'est un sujet un peu délicat, mais je pense que je peux m'ouvrir à vous.Intrigué, je l'écoutai en silence. Il marqua une pause, cherchant visiblement ses mots.— Nous allons recevoir une touriste belge qui séjourne ici chaque année, toujours pour une quinzaine de jours. En exclusivité ici. Il eut un léger sourire, l'air un peu gêné.— Et comment vous dire… Je ne suis pas certain que ce soit l'aspect culturel ou touristique qui l'attire réellement. Disons plutôt… le local. Il me lance un regard appuyé, attendant sans doute une réaction.— Je ne sais pas si vous me comprenez ?Je fronçai légèrement les sourcils, feignant l'incompréhension.— Je suis désolé, mais je ne vois pas très bien où vous voulez en venir, cher Monsieur.Il hocha la tête, comme s'il s'attendait à cette réponse, puis reprit, plus direct cette fois :— Eh bien voilà… Disons que cette femme, fort belle d'ailleurs, la cinquantaine, est célibataire. Vous me suivez ?Je balbutiai un oui, pris de court par la tournure qui prenait la conversation.— Très bien… très bien, reprit-il en croisant les bras. Disons qu'elle vient ici surtout pour faire des rencontres, si vous voyez ce que je veux dire. Il me fixa, cherchant un accord tacite dans mon regard.— Oh, si elle rencontrait un garçon et s'y tenait, cela ne me dérangerait nullement, poursuivait-il avec une pointe d'amusement. Mais… comment dire… Elle a tendance à « consommer un peu trop ». Il marque une pause, pesant ses mots.— Elle puise parfois même dans le personnel de l'hôtel… et là, vous comprenez bien que cela devient préjudiciable à la bonne marche de l'établissement.Il me lança un regard entendu, accompagnant sans doute une réaction de ma part.Je lui adressai un sourire poli, légèrement perplexe.— Mais, cher Monsieur, je vous sais gré de votre confiance… seulement, en quoi puis-je vous être utile ?Il hocha la tête, comme s'il attendait cette question, et se pencha un peu plus vers moi, baissant encore la voix.— Eh bien… disons qu'elle vient sans véhicule. Alors… forcément… elle a tendance à « recruter » , si je puis dire, sur place.Il marqua une pause, me sondant du regard, avant d'ajouter d'un ton plus appuyé :— Or, comme vous, vous avez un véhicule…Son sourire se fit plus calculé, presque complice.— Je vous serais infiniment reconnaissant si vous acceptiez de lui faire découvrir, disons… plutôt la ville.Il laisse sa phrase en suspens, attendant ma réaction. Je pris une inspiration avant de répondre, lentement :— Oui et non… Mais je vous promets d'y réfléchir.À ces mots, son visage s'éclaira aussitôt. Comme si je venais de lui accorder une faveur inestimable, il rejoignit ses mains dans un geste reconnaissant, branlant la tête avec effusion.— Ah, mille mercis, vraiment ! Vous êtes un homme généreux, un homme de cœur !Il semblait soulagé, presque euphorique, me tapotant l'épaule avec une familiarité soudaine.— Bien sûr, prenez votre temps, réfléchissez… Mais je savais que je pouvais compter sur vous !Je le regardais, mi-amusé, mi-sceptique. Avais-je vraiment laissé entendre que j'acceptais ? Ou bien s'accrochait-il à une vague promesse ? Quoi qu'il en soit, la situation venait de prendre une tournure bien plus inattendue que je ne l'aurais imaginée…Tout aussi bien que, le soir même, installé à une table sur la terrasse, je le vis venir vers moi, accompagné d'une femme. Elle ne passait pas inaperçue. La cinquantaine bien assumée, elle avançait d'un pas assuré sur des talons vertigineux, au bruit sec résonnant sur le dallage. Sa silhouette était plus que pulpeuse, généreusement mise en valeur par une robe beaucoup trop apportée, épousant chaque courbe avec une ostentation concentrée. Le tissu, d'un rouge profond, semblait prêt à céder sous la pression de son corps voluptueux.Ses cheveux blonds très clairs, presque platine, cascadaient en lourdes boucles qui, malgré leur apparente désinvolture, trahissaient un soin méticuleux. Elle portait des lunettes de soleil oversize aux verres opaques, masquant son regard et augmentant à son allure un mystère troublant.Son maquillage, lui, ne faisait pas dans la demi-mesure : un rouge à lèvres éclatant, presque agressif, des joues outrageusement fardées d'un rose vif, et des yeux certainement charbonneux, bien que dissimulés derrière les verres sombres. À chaque mouvement, elle laissait derrière elle un sillage entêtant, un parfum musqué, capiteux, presque trop présent, comme une signature olfactive impossible à ignorer. En s'approchant de ma table, son sourire se dessina, éclatant, trop blanc, trop parfait. Une expression qui semblait osciller entre séduction et malice.Le patron, lui, rayonnait, visiblement ravi de cette rencontre arrangée.- Cher Monsieur Pierre, bonsoir. Madame, permettez-moi de vous présenter Monsieur Pierre, un de nos plus fidèles clients. Madame Van der Möellen , une tout auss ...

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