J’avais 22 ans, j’habitais encore chez mes parents dans un village paumé de l’Yonne, 4 200 habitants, tout le monde se connaît, tout le monde se sourit en journée et tout le monde se cache le soir. Moi, j’étais le « gentil garçon » du quartier, blondinet aux yeux bleus, sportif, toujours poli. Personne ne se doutait que j’étais devenu complètement accro à la queue depuis ma première fois avec Sofiane.Un soir de mars, bien défoncé, je poste une annonce sur Wannonce (le site d'annonce coquine que tout le monde consulte en cachette dans le coin , comme lieuxdedrague.fr ) :« Glory hole discret – Jeune passif 22 ans, blond, belle bouche et cul vierge du village – Chez moi en journée et soir – Anonymat total – Venez vider vos couilles sans parler – Porte entrebâillée, trou dans la cloison du salon. »Je joins deux photos : une de ma bouche ouverte avec la langue sortie, une autre de mon cul rebondi en string blanc, trou déjà un peu dilaté par mes plugs. Titre : « Pompe gratuite et gorge profonde – Tout le département bienvenu ».En 48 heures, ma boîte mail explose. 80 messages. Des mecs de 19 à 65 ans. Des profs du lycée où j’étais encore l’an dernier, le boulanger d’en face, le père de mon ancien meilleur pote, des agriculteurs, des routiers, même le maire adjoint (si, si).Je fixe les règles : pas de paroles, lumière éteinte côté visiteur, je suis à genoux derrière une planche percée d’un trou de 8 cm de diamètre que j’ai bricolée dans le faux mur du couloir qui mène à ma chambre. Ils entrent, sortent leur queue, je pompe, j’avale ou je me fais remplir le cul selon l’envie. Pas de capote, jamais.La première semaine, c’est l’orgie absolue.Lundi / 14 h 30 : un mec de 45 ans, ventre à bière, bite moyenne mais très épaisse. Il sent la sueur de la ferme. Je l’avale jusqu’aux couilles en 3 minutes, il gicle direct dans ma gorge en grognant comme un porc. Il repart sans un mot. 18 h 10 : deux lycéens de terminale (je reconnais leurs voix, c’est Théo et Enzo, les beaux gosses du foot). Ils viennent ensemble, se branlent en me regardant sucer l’autre à travers le trou. Ils finissent par me baiser à tour de rôle le cul, debout, en me tenant par les hanches. Théo me charge en premier, Enzo me finit et me fait tout avaler après. Je jouis deux fois, les jambes qui tremblent.Mardi 11 h : le pharmacien. Costume impeccable, bite longue et fine, circoncis. Il me baise la bouche comme une chatte, me tient la tête à deux mains, me crache dans la gorge avant de décharger. Il laisse 50 € dans une enveloppe « pour le dérangement ». Je les ai gardés.21 h 40 : un black d’1m95, routier, queue de 26 cm minimum. Il me défonce le cul pendant vingt minutes san ...

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