Un soir, j'avais invité un ami chez moi, et la conversation s'éternisant je lui suggérais de rester coucher à la maison, bien que n'ayant qu'une seule chambre de disponible. Comme à mon habitude je me couchais nu et mon ami en fit autant. Nous continuâmes au lit notre discussion un certain temps, puis le sommeil me gagnant j'éteignais la lumière et me retournais sur le côté. Au bout d'un moment je sentis mon ami se coller contre moi. Je n'y vis aucun mal, pensant à un effet du hasard, et puis sa chaleur me faisait du bien. Son membre se situait dans la raie de mes fesses, hasard ou pas ? Puis voilà qu'il se mit à me frotter, d'abord tout doucement, puis d'une manière un peu plus marquée de sorte que petit à petit je sentais son membre se raidir contre moi. Je ne réagis pas, la sensation n'étant pas désagréable,. Toujours sans réaction de ma part, il put penser à une acceptation de ma part, aussi il fit coulisser sa queue le long de ma raie, je devinais qu'il était à la recherche de mon orifice, ce qu'il ne tarda pas à trouver. Par petites secousses il commença alors à le faire pénétrer dans mon cul, et une fois bien en place cela déclencha un petit gémissement de ma part. Ainsi encouragé, il poursuivit son intrusion, sa queue désormais bien raide, ses va et vient devinrent beaucoup plus marqués. D'instinct je me cambrais pour lui faciliter la tâche tout en laissant échapper quelques soupirs, ce qui l'incita à accentuer son mouvement jusqu'à ce qu'il m'ait entièrement embroché. C'était tellement bon que je lançais ma main en arrière pour atteindre ses fesses afin qu'il se colle encore plus à moi et me pénètre encore plus profond. A partir de là il me baisa de la plus belle des manières, lui ahanant et moi couinant à chacun de ses assauts. J'avais le derrière en feu et l'agitais en tous sens malgré qu'il me tenait fermement par les hanches. Evidemment je ne pus m'empêcher de bander à mon tour, et prenant ma queue avec une de ses mains il se mit à me branler doucement. Il prit la précaution de ne pas me faire éjaculer afin d'en profiter ensuite à son tour, mais de son côté il ne s'en priva pas et je sentis son liquide chaud m'envahir au plus profond de moi. Cette situation surprise me combla plus que je n'avais pu l'imaginer, et j'étais prêt à mon tour à lui rendre la pareille. Je me retournais vers lui, et l'embrassa fougueusement, nos langues ayant trouvé un langage commun. Puis je montais sur lui, entre ses jambes écartées, et ne tardais p ...

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