Sur la route du retour d'un petit séjour en Belgique, je décidais de faire une halte à la prochaine aire de repos pour me dégourdir les jambes et me restaurer. Après quelques kilomètres, je m'arrêtais sur un parking tout se qu'il y a de plus banal, pas de station service ni de boutiques aux articles hors de prix. Quelques véhicules sont dispersés ça et là mais il n'y a pas grand monde pour un début d'été. La plupart des automobilistes doivent probablement choisir un endroit plus cosy que ce lieu à l'écart de la civilisation. Je sors de mon véhicule, marche un peu, m'étire en faisant craquer mes articulations, bois un peu d'eau directement à la bouteille et décide de faire un tour. Ici pas de toilettes modernes, avec gel moussant et séchoir avec capteur de proximité pour se laver les mains. Juste un bloc de granit dégueulasse et tagué d'inscriptions obscènes. L'intérieur est condamné par une porte en métal cadenassé comme un bâtiment désaffecté. Moi qui a l'habitude de m'asseoir comme une femelle pour faire pipi, je vais devoir utiliser les urinoirs comme un vrai mec sinon je n'aurais que d'autre choix que de me soulager en pleine nature. En contournant le bloc de béton, je vois un mec posté devant la rangée d'urinoirs extérieur crasseux. Mais au lieu se tenir face à la pissotière, il me fait face avec un léger sourire en exhibant sa queue et se branle doucement. Je reste coi un instant, ne sachant que dire, ni que faire face à cette situation impromptue. Il fallait encore que sa tombe sur moi évidemment ! D'un geste de la tête, il me propose de m'occuper de lui. C'est un mâture bedonnant aux cheveux blond passés mais le sexe qui sort de sa braguette vaut le détour. Sans un mot, je m'approche de lui et m’accroupis pour être à bonne hauteur. Habituellement, j'aime être à genoux pour cette pratique pour bien faire comprendre à mon partenaire que je ne suis qu'une petite pute mais ici le sol est souillé de pisse et de mégots de cigarette. L'odeur d'urine nauséabonde m'agresse mes sinus. Si bien que j'essaye de respirer par la bouche, mais ce n'est pas facile lorsqu'on à une grosse verge turgescente à l'intérieur. Le mâture agrippe ma tête et s'enfonce au plus profond de ma gorge, ce qui me provoque un haut de cœur. Cela n'empêche pas le gros vicieux de continuer à baiser ma grosse bouche de suceur. De la bave mélangée à sa mouille dégouline de mes épaisses lèvres ourlets sur mon menton pour atterrir dans la fange à mes pieds. Je pris le seigneur pour être à l'abri des regards pendant cet instant délicat."_ J'ai tout de suite su que tu étais une bonne petite fiotte lorsque tu es sorti de ta voiture pour faire tes exercices en dandinant du cul. Waouh ! Et quelle bouche à bites ! T'aime ça, sucer des queues! Pas vrai ?" La bouche encombrée de son imposant pénis, je ne pu lui répondre que par un marmonnement incompréhensible. Mais le plus important était que je me délectais de le soulager."_Ah Putain ! Je vais jouir ! Ah oui, salope ! Avale tout!" Comme la bonne pute à jus que je suis, je n'en perds pas une goûte. Son foutre avait une substance épaisse avec de gros grumeaux, une saveur très âcre et très salé et une forte odeur de fermentation. En somme de la semence de vieux avec une date de péremption dépassée depuis des lustres. Toujours la queue à l'air, il m'aida à me redresser car j'avais les jambes en coton par mes heures de conduite et la position accroupie. La vue de son sexe luisant de stupre relança immédiatement mon excitation si bien que je me penchais pour le nettoyer avec ma bouche, léchant son gland rosé hypertrophié, son membre veineux encore palpitant."_On dirait que tu as encore faim mon beau, ça te dirait que je te présente à mon copain? Il attend dans la voiture." Jamais je n'aurais pensé qu'il soit en couple avec un autre homme."_Oui, mais avant il faut que je fasse pipi." Me déculottant effrontément, je m’accroupis de nouveau sans vergogne, caché par le parapet. Les fesses à l'air et mes grosses bourses pendantes comme un pis de vache, j'essaye de surmonter ma gêne jusqu'à lâcher mon jet de pisse." _Tu pisse comme une fille, mon cochon!" Honteux de me retrouver devant ce vieux vicelard dans cette position des plus indécente, j'essayais d'orienter mon petit robinet en faisant attention de pas souiller mes baskets. Un ruisseau d'urine commença à se former sous mes cuisses pour se mêler à la pisse puante des automobilistes qui étaient passés précédemment. Une fois les dernières gouttes expulsées, je remonte prestement mon bermuda en jean en accourant derrière le mâture jusqu'à son véhicule garé un peu à l'écart.A son bord, assis côté passager, un homme mince aux traits tirés et aux cheveux noir de jais nous scruta d'un regard effaré. Le mâture ventru lui fit signe d'ouvrir la portière:"_Regarde ce que je t'ai dégoté, mon chéri ! Lui Annonça t-il en lui faisant un clin d'œil._Me dit pas que..._Si justement et ce jeune homme veut bien aussi s'occuper de toi!_Mais...euh?!_Salut! Lui lançais-je d'un sourire mutin._Salut._Allez idiot, ouvre la porte!" Ma main se glissa sans pré ...

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