Ma décision était prise, et plus rien ne pouvait m’arrêter. Je fis le tour du chalet en silence, mes pas feutrés par l’adrénaline, ma bite déjà raide comme un pieu, prête à exploser. La porte gronda à peine quand je la poussai, et je me glissai à l’intérieur, l’air épais et chargé de l’odeur âcre de la sueur, du sperme et du désir brut. Dos à eux, je restai planté là, les oreilles tendues, le souffle coupé par le spectacle sonore qui m’enveloppait : leurs râles de putes, le clap gras et régulier des couilles du brun cognant contre les fesses de mon camarade, et les insultes dégueulasses qui pleuvaient comme une averse de merde."Enculé, tu prends ma queue comme une chienne en chaleur, hein ? T’es qu’une salope, une vraie moins-que-rien !" La voix du brun, rauque et méprisante, claquait comme un fouet, tandis que mon camarade, la voix brisée par l’extase, répondait en haletant : "Oui, je suis ta salope… baise-moi comme un déchet, plus fort, putain, j’en redemande !"Ma queue, déjà bandée à en crever, pulsait douloureusement dans mon froc. Une chaleur malsaine me montait aux joues, un mélange de honte et d’excitation si violent que j’en avais les genoux flageolants. Leurs corps s’entrechoquaient devant moi, leurs peaux claquaient comme des coups de fouet, leurs souffles se mélangeaient en un rythme bestial, dégoûtant et sublime à la fois. Le brun grognait comme un animal, ses coups de bassin devenant plus violents, plus sadique, tandis que mon camarade hurlait presque, ses supplications se transformant en un torrent de mots dégueulasses, avilissants, comme s’il n’existait plus que pour cette soumission totale, cette humiliation qui le faisait jouir comme un porc."T’as vu ça, ta queue qui coule déjà comme une fontaine ? T’es qu’un bon à rien, une merde, et pourtant t’adore ça, hein ?" "Oui, j’adore ça… j’adore être ta pute, ta moins-que-rien… défonce-moi, salopard !"Pourtant, cette fois, c’était différent. Ce n’était pas le spectacle stéréotypé d’un couple hétéro dans une salle de cinéma crasseux, ni même les partouzes où les femmes servaient d’alibi à mon excitation. Non, c’était eux. Deux hommes, deux corps musclés, suants, haletants, s’enculant avec une brutalité qui me retournait les tripes. Et cette vision me consumait d’une manière que je n’avais jamais osé admettre.Je repensais aux salles noires des cinémas pornos, à ces moments où, caché dans l’obscurité, je me branlais en matant des couples hétéros, persuadé que c’était seulement ça qui m’excitait. Mais maintenant, devant cette scène crue, devant ces deux mecs qui se défonçaient sans retenue, une question me traversait l’esprit comme un éclair : et si, sans que je le sache vraiment, sans que je veuille le voir, les corps masculins en sueur, les bites bandées, les gémissements rauques des acteurs entre eux… et si ça aussi m’avait toujours fait bander ? Si, dans le noir, mon cerveau avait effacé ce détail, refoulé cette part de moi qui kiffait secrètement la vue de deux mecs en train de se sauter comme des bêtes ?L’idée me fit un effet violent. Mon cœur cogna plus fort, ma queue se raidit encore, presque douloureusement, comme si mon corps, lui, avait toujours su. Les grognements du brun, les supplications dégueulasses de mon camarade, le clap humide de leurs corps qui s’entrechoquaient… tout ça me montait à la tête comme une drogue. J’avais l’impression de découvrir un pan de moi-même que j’avais toujours ignoré, ou pire, que j’avais enfoui au plus profond.Et là, dans cette douche sordide, à les mater en train de se baiser comme des chiens, je comprenais enfin. Ce n’était pas malgré le fait que ce soient deux hommes que j’étais excité. C’était à cause de ça. Leur force, leur brutalité, leurs corps qui se dominaient, se possédaient… ça me rendait fou. Fou au point d’avoir envie de me jeter entre eux, de sentir leurs mains sur moi, leurs bites contre ma peau, leurs bouches avides me sucer comme si j’étais leur jouet.Je serrai ma queue plus fort, mes doigts glissant sur le pré-sperme qui coulait déjà. J’étais à deux doigts de jouir rien qu’en les regardant, rien qu’en écoutant leurs râles de putes, leurs insultes, leurs coups de bassin qui résonnaient comme une musique obscène. Et pour la première fois, je me sentais libre. Libre de kiffer ça. Libre de vouloir ça. Libre de me branler en imaginant leurs mains sur ma bite, leur bouche autour, leurs corps contre le mien.Je n’étais plus un simple spectateur. J’étais un participant. Même si, pour l’instant, je n’étais qu’un voyeur excité, caché dans l’ombre, prêt à exploser. Mais il n’en tenait qu’à moi, maintenant d’aller plus loin...Je m’avançai lentement, comme attiré par une force invisible, mes pas silencieux sur le carrelage humide. Mon souffle était court, ma main toujours enroulée autour de ma bite, que je branlais avec une lenteur torturante, incapable de m’arrêter. J’étais si proche maintenant que je pouvais sentir la chaleur de leurs corps, l’odeur âcre de leur sueur mêlée à celle, plus musquée, de leur excitation. Le clap de leurs peaux qui s’entrechoquaient résonnait plus fort, tout comme leurs gémissements, leurs insultes, leurs râles de plaisir. J’étais là, presque à portée de main, et pourtant, ils ne m’avaient pas encore remarqué.Puis, un silence. Un instant de calme dans leur frénésie. Le brun, les yeux mi-clos, leva soudain la tête, comme s’il avait senti une présence. Son regard croisa le mien dans le miroir embué, et je vis ses pupilles se rétrécir, son expression passer de la surprise à quelque chose de plus sombre, de plus excité. Il ralentit ses mouvements, juste assez pour murmurer quelque chose à l’oreille de mon camarade blond, qui tourna alors la tête vers moi.Nos yeux se rencontrèrent. Un frisson me parcourut l’échine. Il ne recula pas. Il ne me repoussa pas. Au contraire, ses lèvres s’étirèrent en un sourire presque complice, un sourire qui disait : "Tu veux jouer, toi aussi ?" Ses yeux, brillants d’excitation, descendirent vers ma main, toujours en mouvement sur ma bite, et quelque chose dans son regard me fit comprendre qu’il n’y avait ni jugement ni rejet. Juste une invite. Une promesse.Le brun, sans cesser de me fixer, glissa une main sur la nuque de mon camarade, l’attirant vers lui pour un baiser vorace, tout en me faisant un clin d’œil. Un geste simple, mais qui me fit l’effet d’une décharge électrique. J’étais accepté. J’étais désiré. Pas comme une menace, mais comme un partenaire potentiel, un nouveau jouet dans leur jeu. Mon camarade blond, toujours à qu ...
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