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Souvenirs de mon service militaire 3

Publié par : pierre49590 le 10/12/2025
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Le dimanche suivant, je guettai mon camarade avec une attention discrète. Le camp du Ruchard somnolait sous le soleil de fin d’après-midi, mais moi, j’étais tendu, obsédé par le souvenir de ce que j’avais vu derrière la vitre des douches. Quand il sortit de son chalet, serviette autour du cou et nécessaire de toilette sous le bras, je le suivis des yeux, puis discrètement, jusqu’aux douches. Je me postai près de la fenêtre trouble, le cœur battant.Il était seul. Debout près du banc, il déposa ses affaires avec une lenteur presque théâtrale, comme s’il savait qu’on l’observait. Ses muscles roulaient sous sa peau à chaque mouvement, et je sentis une chaleur monter en moi, une tension presque insoutenable. Puis, la porte grinca à nouveau.Le trapu entra, son corps compact et musclé moulé dans un slip blanc de coton qui épousait chaque relief de ses cuisses épaisses et de son entrejambe déjà gonflé. Ses épaules larges, ses bras couverts de cicatrices et de tatouages délavés, semblaient prêts à exploser de tension, ses pectoraux saillants roulant sous sa peau mate à chaque mouvement. Ses cheveux, coupés ras, brillaient sous la lumière crue des néons, et ses yeux, sombres et intenses, étaient rivés sur le grand comme s’il n’y avait plus rien d’autre au monde.Cette fois, il n’y eut ni hésitation ni regard furtif. Le trapu avança d’un pas décidé, chaque mouvement calculé, comme s’il savait exactement où il allait et ce qu’il voulait. Leurs corps se rapprochèrent lentement, comme attirés par une force magnétique, invisible mais irrésistible. Le trapu posa une main sur la hanche du grand, ses doigts épais s’enfonçant dans la chair ferme, et l’attira contre lui avec une possessivité qui ne laissait aucun doute sur ses intentions.Leurs bouches se rencontrèrent dans un baiser brutal, leurs langues s’entrelacèrent avec une urgence qui semblait vouloir tout consumer. Le grand répondit avec la même fougue, ses doigts s’enfonçant dans les cheveux drus du trapu, comme s’il voulait l’absorber, le faire disparaître en lui. Leurs silhouettes enlacées se découpèrent sous la lumière blafarde des néons, leurs corps musclés et tendus formant une seule ombre aux contours nets. Leurs hanches se pressèrent l’une contre l’autre, leurs sexes durs se frottant à travers le tissu, et je sentis une excitation monter en moi, presque douloureuse, comme si cette scène m’atteignait au plus profond.Le trapu recula légèrement, ses yeux parcourant le corps du grand avec une avidité presque animale. Il semblait vouloir graver chaque détail dans sa mémoire : les pectoraux larges et fermes, striés de fines veines bleutées, les abdominaux contractés dessinant une armure de muscles sous la peau pâle, et cette ligne de toison blonde qui descendait en un sillon précis vers l’entrejambe. Puis, d’un geste lent et précis, presque comme au ralenti, il fit glisser la serviette. Le tissu, enroulé autour des hanches du grand, glissa avec une lenteur calculée, révélant d’abord la base de son sexe, déjà tendu, avant de libérer entièrement son membre. Le prépuce, légèrement retroussé par l’érection, laissait entrevoir le gland gonflé, luisant, presque violacé, comme s’il était sur le point d’éclater. Ses bourses, lourdes et bien dessinées, pendaient entre ses cuisses, leur poids accentué par la chaleur et l’excitation, les veines saillantes trahissant une tension presque insoutenable.Le trapu laissa échapper un souffle court, presque un murmure d’admiration, comme s’il contemplait une œuvre d’art. Ses yeux, rivés sur ce sexe dressé, semblaient vouloir en mémoriser chaque détail, chaque texture, chaque frisson. Puis, lentement, il s’agenouilla devant le grand, ses genoux touchant le sol carrelé avec un léger claquement. Il resta un instant immobile, comme pour savourer l’attente, avant d’avancer la tête. Ses lèvres frôlèrent d’abord la peau tendue du membre, sans le toucher vraiment, comme pour en sentir la chaleur. Puis, du bout des doigts, il effleura le prépuce, le faisant glisser avec une douceur presque insupportable, révélant davantage le gland gonflé. Ses ongles, courts mais soignés, traçèrent des cercles légers autour de la base, provoquant un frémissement visible dans les cuisses du grand.Le membre du grand réagit de lui-même, comme s’il avait une volonté propre, se dressant encore davantage sous le regard avide du trapu. Ses testicules, sous l’effet de cette caresse, semblaient se contracter légèrement, remontant vers le corps co ...

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