Soumission à l'hôtel Formule 1    Nu sous ma couette, je me caressais lascivement en chattant avec un gars rencontré sur une application de rencontre gay pendant que mes parents s'affairaient à faire reluire chaque recoin de la maison. Bien souvent le problème avec ce genre de plan ce n'était pas de trouver un mec souhaitant se soulager avec une lope à jus (j'acceptais bien volontiers ce rôle ingrat). Non, le plus difficile était de savoir "où". Bien souvent l'excitation mutuelle restait caduque lorsqu'il fallait fixer le rendez-vous, la personne ne pouvant généralement pas recevoir. Pour ma part, il était inenvisageable d'inviter mon plan cul du jour pendant le rituel ménager hebdomadaire que s'imposer mes parents.   Le mec continuait à me chauffer en me promettant une partie de jambe en l'air inoubliable ! Qu'il allait me sodomiser pendant des heures ! Qu'il était très endurant! Et qu'il aimerait me finir au gode ceinture quand il n'en pourrait plus car malgré tout « il était humain ». Ma curiosité éveillée, je lui demandais où voulait-il se rendre pour cette après-midi prometteuse.   "_Rejoins moi sur la grande place d'Arras."   Ça sentait un peu le coup foireux, mais je lui dis que je serai là. Après avoir fait ma toilette intime, j'annonce à mes parents que je partais réviser mes cours chez un copain. Passage au sex-shop pour un shopping de dernière minute. Parmi tout les phallus en plastique qui me font rêver, j'ai du mal à me décider. Je finis par acheter un gode-ceinture noir hors de prix et un tube de gel. J'espère que cela en vaudra la peine. Le vieux monsieur à l'accueil du magasin semblait ravi de faire ses affaires, si bien qu'il me proposa un cadeau gratuit parmi une sélection d'objets coquins. Mon choix s'arrêta sur un "collier de chien" parfait pour moi. En payant, je me demandais comment j'allais bien pouvoir ramener discrètement cet attirail à la maison.   J'éludais la question à plus tard et pris la direction de la grande place d'Arras. La circulation était dense, les places pour se garer rares. J'espérais que je ne me donnais pas tout ce mal pour rien. Il y avait foule en cette journée ensoleillée, comment allais-je le reconnaître ? Je commençais à perdre espoir, qu'il m'avait peut être posé un lapin, lorsque je reçu un message m'indiquant où il m'attendait.   Un mec de type méditerranéen patientait devant le beffroi, symbole de la majesté culturelle de la préfecture du Pas-de-Calais. Plus petit que moi, plutôt mince, il devait avoir la quarantaine et semblait rassuré de me voir."_Je suis content que tu sois là. J'étais pas sûr que tu viennes._Pareil pour moi._Où veux tu aller ?_Je connais pas bien Arras. T'as pas un endroit ?_On pourrait peut-être aller au Formule 1 à la sortie de la ville."   Nous prîmes ma voiture jusqu'à l'endroit indiqué par le GPS. Arrivée sur le parking, Anthony (le nom à été modifié) m'avoua qu'il n'avait pas d'argent pour payer la chambre d'hôtel. Cette après-midi allait finir par me coûter cher, mais je n'avais pas fait tout ce chemin pour rien. Au pied du mur, je décidais de régler la note en totalité. Maintenant il fallait que paye pour me faire sodomisé, voilà où j'en étais!   La femme à l'accueil semblait trop accablée par la torpeur de cette chaude après-midi pour prêter attention à notre baratin. Nous inventions être des VRP en mission dans la région à la recherche d'une chambre pour la nuit. Oui, une seule chambre suffirait... pour économiser...ben voyons! Ça ne devait pas être la première fois qu'on lui servait ce genre de sornettes!   Après s'être perdu dans nos justifications inutiles. Nous gagnions notre chambre, plutôt petite et simplement agencée, la télévision accrochée au mur semblait être la seule note de confort dans cet endroit. Anthony se jeta sur moi m'embrassant goulûment, me disant qu'il avait envie de moi, tout de suite! Lorsque son intérêt se porta sur mon sac d'école posé sur le lit."_Qu'est-ce c'est ?_De quoi s'amuser pour l'après-midi. Dis-je plein d'espièglerie"   Au lieu de sortir mes livres et mes cahiers, je déballais sex-toys, lubrifiant, poppers et le collier d'esclave devant son regard médusé."_Tu sors ça d'où ?_Qu'est ce que tu crois, j'ai fait mes emplettes avant de venir! Et ça c'est un cadeau du propriétaire qui tient la boutique. M'exclamais-je en lui présentant fièrement le collier en cuir sous les yeux._Dommage qu'il ne t'a pas donné la laisse qui va avec. Je t'aurai promené comme mon petit chien._Tu veux dire comme ta chienne ?_Salope, je vais te baiser comme tu le mérites !_Mais avant tout mets moi mon collier."   Une fois déshabillé, je me tournais pour lui présenter ma nuque si délicate. Il me passa le collier autour du cou, la sangle dans la boucle et serra pour affirmer sa domination, puis il me poussa brutalement contre le lit. Mes mains en appuis sur le matelas, ma croupe tendue et offerte, j'attendais indolent de me faire prendre. Après m'avoir graissé convenablement, il me pénétra d'un coup sec. Son sexe vigoureux me remplissait les entrailles. En m'agrippant par les hanches, il me bourra comme le ferait un vrai mâle avec sa femelle docile. La chevauchée fût rude et dura longtemps avant qu'il se retire au dernier moment. Les effluves du poppers que nous inhalions à tour de rôle nous désinhibant totalement. Je sentais ma chatte anale se dilater d'envie. J'en voulais encore plus ! Anthony résolvais méthodiquement le casse-tête pour enfiler le harnais autour de sa taille pendant que je le distrayais en tétant sa pine entre mes grosses lèvres ...

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