Comme vous savez pour ceux qui me suivent, je suis directrice d’une agence immobilière sur la région de Béthune. Pour aller et revenir au bureau, nous avons des places de parkings dans un parking souterrain du centre-ville. Nos 3 places réservées sont au fond du parc, dans quand même, un coin sombre. Ce lundi soir, le 30 mars, en sortant du travail, après le départ de tous les collaborateurs, j’ai fermé l’agence pour rejoindre mon véhicule.Dans le couloir du parking, je remarque que 2 jeunes hommes me prennent en chasse discrètement. J’accélère le pas et eux aussi. Je les avais déjà remarqués la semaine dernière, ils m’avaient suivi dans la rue jusqu’au parking souterrain en me matant mais sans rien d’autre. Le style un peu loubard, jean et blouson noirAu niveau de ma voiture, alors que je cherchais les clés dans mon sac, les deux hommes m’abordent. J’avais depuis des mois fantasmé sur le fait de me faire prendre dans le parking, mais la franchement, cette situation me faisait flipper un peu.- Alors, ma belle, on se promène toute seule ? Vous savez, un parking, ce n’est pas fait pour quelqu’un comme vous. On ne sait pas sur qui on tombe, surtout fringuée comme tu es la bourgeoise en chaleur. Ça doit être joli à voir ce qu’il y a en dessous. Des femmes comme toi, j’en croise tous les jours, et elles me font bander comme un cheval. En plus j’ai toujours rêvé de me taper une salope de bourgeoise.J’étais habillée de façon normale pour mon travail, une jupe dessus genoux, des bas autoportant DIM UP, un chemisier blanc légèrement ouvert et une veste.- Ce qui est dessous est peut-être très joli, mais ce n’est pas pour vous !Je me demande comment cela va tourner et je me prépare à intervenir, mais je me décide d’attendre encore un petit peu, et attendre la suite, voir si.- Si tu veux partir, il faut nous montrer ça quand même. Ce n’est pas tous les jours que l’on peut voir une belle chatte bien fringuée. Tu as mis des collants ou des bas ?- Je suis sûr que tu es une belle cochonne et que ce sont des bas. Pas vrai ? rétorqua l’un d’eux.- Oui c’est vrai, mais je ne peux pas. Je suis mariée ! Cela me fit sourire- Allez, pour te décider, on va faire un geste. On va te montrer nos bites et tu n’auras plus qu’à nous montrer ta chatte. À ces mots, les deux jeunes sortirent leur queue et commencèrent à se branler.- Alors tu vois, on ne se moque pas de toi. Deux belles bites bien raides qui n’attendent plus que de voir ta chatte en chaleur. On ne te demandera pas plus que de la voir, de te voir te branler et de nous laisser cracher notre foutre pendant ce temps-là. Alors d’accord ?Ma vison se porte alors sur la taille de leur queue. Le plus jeune avait une queue énorme, sa taille en érection faisait facilement plus de 15 cm. Afin de me libérer de cette emprise je réponds :- Comme vous y tenez je veux bien, mais faites vite, car il pourrait arriver quelqu’un !Je m’appuie alors sur le capot de ma voiture et commence à relever sa jupe. À l’apparition de ses bas, les jeunes commencèrent à siffler et à accélérer leur branlette. Ils ne sont pas au bout de leur peine. Je continue à remonter sa jupe et découvre mon sexe, je ne porte jamais de sous-vêtements et mes jambes gainées de ses bas noirs, pour découvrir sa chatte naturelle. - Petite salope, tu ne nous avais pas dit que tu étais toujours prête. Je crois qu’avec une telle vue, on va vite cracher. Allez, branle-toi maintenant et ne te retiens pas. J’étais toujours assise au bord du capot et commence à sucer ses doigts avant de se branler. Les 2 jeunes n’en peuvent plus. Je me demande comment ils allaient pouvoir tenir sans goûter à cette chatte avec leur bite. Lorsqu’elle met son doigt dans sa chatte, je vois leurs yeux s’écarquiller, mais ils tiennent bon. - Alors messieurs, c’est bon ?- Tu veux qu’on te saute ?- Mais vous m’avez dit que vous voulez simplement voir ma chatte, et rien d’autre.- Oui, mais là tu nous excites, allez écartes tes jambes !!!Envahie par l’envie, je commence à remonter ma jupe et à ouvrir mon chemisier et à sortir ses seins du 95 B. La 2 jeunes se rapprochent. Je me baisse devant le premier, prend sa bite en main puis l’enfile dans sa bouche. Je le suce avec douceur comme je sais le faire de temps en temps. À voir son copain se faire tailler une pipe, le deuxième partenaire sent son excitation monter. Il se rapproche de moi et je change de queue. Je les suce tour à tour tout en continuant de les branler. Je m’occupe des deux queues comme une véritable salope. Après cette belle séance de pipe, Je me relève, me dirige vers le capot de sa voiture, ils la retournent, les mains sur le capot, offrant ainsi sa croupe aux deux jeunes totalement excités avec des bites énormes.- On va te baiser la chatte, l’un après l’autre, et ensuite on goûtera ton cul de salope.Le plus jeune s’approcha le premier.- Je vais m’enfoncer totalement, te voir bouger sur cette bite, et bien en profiter. Je vais te sauter comme une vraie salope de bourgeoise que tu es, et avec ce que je vais te mettre, tu vas vouloir que je te baise à chaque fois que l’on se croisera dans ce parking.Il s’approche alors de moi avec sa bite à la main, il m’écarte la chatte avec son autre main, présente son gland à l’entrée de ses lèvres et d’un seul coup s’enfonce en moi. Ce coup si soudain et surtout si puissant m’arrache à un léger cri qui se répète ensuite à chacun des coups de boutoir. Il m’assène des coups de reins phénoménaux avec violence en me donnant des grosses fessées sur mon cul, affirmant son envie et son désir de lui faire sentir sa bite au plus profond de son vagin. Pour affirmer davantage ses coups, il me prend par les hanches et la fit aller et venir encore plus vit ...
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