Je me présente Erikarose travesti, toujours a la recherche du rapport le plus chaud. Nous sommes le 25 juillet 2250 une chaleur insoutenable, la transpiration me coule le long de ma nuque pour finir au creux de mes reins. J’attente que mon écran s’allume pour avoir une réponse a tous les message que j’ai poster.Dans cette vie qui est la notre maintenant le sexe est interdit entre humain (trop de population), le sexe est virtuel ou des poupée robot le contact physique est proscrit. Mais il faut toujours dans le monde une rébellion, moi je n ai toujours pas accepter ne plus avoir de contact, donc il est très difficile de se voir en prive, des réseau se sont former pour palier a mécontentement.C’est pour ça que j attente impatiente a cette réponse, un mâle un vrai qui en demande depuis longtemps, mon écran clignote, je vérifie «c est enfin lui». OK la réponse temps attendu se confirme «pavillon des Arts, costume beige, cravate et boutonnière bleu pour se reconnaître ».19 heures impatiente, je me prépare pour mon rendez-vous, j’enfile une tenus discrète pour ne-pas attirer l’attention car cela pourrai êtres dangereux.20 heures je sors de mon appartement, un quartier comme tout les quartier qui existe maintenant tous identique plus le choix presque plus de végétation. Je marche dans la rue vérifient que personne ne me surveille, plus que deux rue et je rencontrer mon inconnu si désirable.Je passe l angle de la rue, j’entrevoie le pavillon des Arts devant la porte un homme costume beige boutonnière bleu, j’hésite, il me vois et me fait signe de le suivre, je le suis et entre dans un bâtiment a l’aspect abandonner, au moment ou je passe la porte je m’aperçois que ce n’est qu’un hologramme pour cacher la façade, un magnifique intérieur apparaît sous mes yeux, digne d’un palais sol de marbre lustre en cristal tous brille de mille feux, je ne connaissais pas ce lieux.Mon inconnu m’nattent prés du grand escalier, je le rejoins il me tend la main pour m’inviter a monter, mes yeux ne savent plus ou regarder, arriver ne haut des marches un long couloir, de multitude de porte, on s’arrête devant un porte, 123, il l’ouvre,et me fait signe de rentre.Une pièce immense avec salon, bureau, petite cuisine et sur le cote une porte ou j aperçois un grand lit le tous harmonieusement décorer.Il m’invite a m’asseoir sur le canapé me propose une coupe de champagne et tamise la lumière en m’étant une musique douce, je perçois le romantisme, le désire de m’impressionner, je crois que ça marche. Des paillettes plein les yeux.Je ne connais pas encore son nom, mes je sens son parfum qui m’enivre, il s’assaille a mes cote me fixe et avec un sourire au bord des lèvres «John » .« Erika » en réponse il pose délicatement sa main sur mon genoux, je sens la chaleur de ses doigts, je pose ma main sur la sienne, il la tiens du bous des doigts et la porte a ses lèvres pour y déposer un baiser, je me sens dégluti, je ne m’attendais pas a ce genre d accueil.Voyant que je le fixe, il approche son vise du mien pour m’embrasser, aussi délicat, je me laisse tomber dans ses bras, pou l’embrasser a mon tour. Nos langue s’emmêle l’une a l’autre, je sens ses main glisser le long de mon ventre « hum ».je lui demande la salle de bain pour me rafraîchir et me mettre a l’aise. Face au miroir je me regarde , me demandent si vraiment je le veux, rien ne m’interdit de partir je ne peu pas il est trop craquant.Je me recoiffe me remaquille je sort de mon sac une petit robe rouge moulante,j’enlève mon pantalon et mon chemisier pour me retrouver juste avec mes dessous et enfile ma robe.Je me présente a lui vêtue de rouge, il en a profiter pour retire sa veste ou j’entrevoie son torse musculeux, il m’enliasse des ses bras et de nouveau nous nous embrassons longuement.Je déboutonne sa chemise doucement ses lèvres glisse le long de mon coup, je soupir, un frisson descend le long de ma colonne jusque la chute de mes reins ses doigts agile relève ma robe et m’empoigne les fesses un doigts glisse en mes fesses et vient se poser sur ma rondelle, il joue avec l’enfonce ...

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