Et un autre petit cadeau pour la Toussaint ! Bonne lecture.Puis son regard croisa le mien. Il y avait là quelque chose de plus grand que le désir : un mélange de douceur, de détermination et d’urgence presque grave. Il se redressa sur ses genoux, ses mains glissèrent de mes hanches jusqu’à mes flancs, puis revinrent à ma taille. Il me fit pivoter doucement.Je me laissai faire, encore étourdi, le souffle court. Mon short était toujours baissé sur mes cuisses, je sentais l’air chaud du local sur mes fesses nues. J’appuyai mes mains contre le mur de ciment, rugueux et tiède sous mes paumes. Le grondement sourd du compresseur emplissait toujours l’air, un bruit dense et continu qui couvrait tout, comme si nous étions seuls au monde.Je sentis ses mains écarter doucement mes hanches, ses doigts pressant ma peau avec une force calme, presque tendre. Il posa son front entre mes omoplates quelques secondes, comme pour reprendre son souffle, et je sentis sa poitrine se soulever contre mon dos. Son sexe, dur et brûlant, se pressa entre mes fesses. Il glissa une main sur mon flanc, la fit remonter jusqu’à ma poitrine, effleurant mes côtes, mes pectoraux, mes épaules, avant de redescendre, caressant la ligne de ma taille, la courbe de mes reins.Il posa ses lèvres sur ma nuque, un baiser long, humide, presque tremblant. Puis je le sentis s’aligner derrière moi. Son souffle était rapide, rauque, coupé de petits gémissements courts. Ses mains, elles, étaient d’une précision infinie. Il écarta légèrement mes cuisses, ses pouces appuyés sur l’os de mes hanches, et d’un mouvement lent, mesuré, complètement contrôlé, il entra en moi.Un cri muet m’ouvrit la bouche. Ma tête se baissa contre le mur, mes bras se tendirent sous l’intensité de la sensation. Il resta immobile quelques secondes, entièrement en moi, son front posé sur ma nuque, son souffle court et brûlant. Ses mains tremblaient légèrement sur mes hanches, je les sentais crispées, comme si lui aussi luttait pour ne pas se laisser emporter trop vite.Puis il bougea. Lentement d’abord, chaque poussée profonde, précise, comme un battement puissant qui remontait jusqu’à ma poitrine. Je fermai les yeux. J’entendais son souffle, son râle brisé à chaque va-et-vient, le claquement doux de sa peau contre la mienne, et le grondement du compresseur qui résonnait en nous comme le rythme d’un cœur mécanique, immense, indifférent à tout sauf à ce qui se jouait là.Ses mains quittèrent mes hanches pour remonter sur mon torse. Il me serra contre lui, ses bras entourant mes côtes, ses paumes brûlantes à plat sur ma poitrine. Je sentais son front collé à ma nuque, la sueur de son visage glisser entre mes omoplates. Ses mouvements s’accélérèrent, son bassin cognait contre moi avec une urgence plus brute, mais sans brutalité, comme si son corps avait trouvé exactement la place qui lui revenait en moi.Je l’entendis murmurer, la voix rauque, presque inaudible sous le vacarme du compresseur :- Oh… putain… je te sens… c’est trop bon… je te veux tout entier… tu comprends… je te veux… je peux plus m’arrêter…Sa voix se brisa sur un gémissement. Je sentis son corps se tendre contre le mien, ses bras me serrer plus fort, son souffle s’accélérer en une suite de râles courts. Puis il jouit en moi, profondément, un long râle grave secoua sa poitrine contre mon dos. Je sentis sa chaleur se répandre, ses tremblements se diffuser jusqu’à mes reins, comme une onde lente et brûlante.Il resta collé contre moi, haletant, son front toujours posé sur ma nuque. Ses mains glissèrent de ma poitrine jusqu’à ma taille, m’enveloppant dans une étreinte apaisée. Je sentais son sexe encore palpitant en moi, son cœur battant fort contre mon dos, et ses larmes silencieuses, chaudes, couler lentement sur ma peau.Je fermai les yeux, mes bras toujours appuyés contre le mur, et je respirai profondément cette chaleur, ce mélange de sueur, de sel, de peur et d’amour brut. Et je compris que, dans ce petit local tremblant du grondement du compresseur, nous venions de nous dire quelque chose que le monde ne saurait jamais traduire.Nous restâmes immobiles un long moment, collés l’un contre l’autre, nos respirations saccadées se mêlant, puis peu à peu, nos souffles retrouvèrent un rythme plus calme. Ses mains quittèrent ma taille, glissèrent lentement l ...
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