Chers amisSuite à vos demandes et après un long silence (j'étais mobilisé par mon roman Voyage en side car au Maroc) voici donc la suite de ce roman. peut-être serait-il utile que vous vous replongiez dans les premiers épisodes pour reprendre le fil de l'histoire. Bien à vous.Lelio dormait encore profondément, allongé tête-bêche sur moi. Son sexe reposait à quelques centimètres de mon visage, légèrement écrasé contre sa cuisse dans la mollesse paisible de l’après-jouissance. Ses testicules, détendus, formaient une douce masse plissée où la lumière du matin révélait des nuances subtiles d’ambre et de nacre. Entre ses cuisses entrouvertes, je distinguais le sillon délicat de son périnée, et plus bas, la naissance de son intimité, à demi dissimulée dans l’ombre, mystérieuse et proche au point que j’en percevais le parfum léger, mélange de peau, de plaisir séché et de sel.Mais c’était surtout son pubis qui me fascinait. Sa toison, dense sans excès, d’un blond sombre presque châtain, formait un triangle parfait qui épousait la courbe de ses hanches. Elle paraissait à la fois drue et soyeuse, comme la crinière d’un animal jeune et puissant, dessinant un léger relief sur la blancheur mate de son bas-ventre. Je rapprochai mon visage jusqu’à sentir le frôlement de quelques poils contre mon nez. J’aspirai profondément son odeur intime, dense, mêlée de sel, de sueur, de sperme et de cette note musquée qui n’appartenait qu’à lui, si masculine, si animale, et pourtant si rassurante que je fermai les yeux, empli de bonheur.Je demeurai immobile, respirant à peine pour ne pas troubler son sommeil. Sa respiration, profonde et calme, creusait légèrement son ventre à chaque inspiration, soulevant imperceptiblement son pubis. Je sentais presque contre ma joue la tiédeur vivante qui s’en dégageait.Je baissai les yeux sur son sexe. Même flasque, il conservait cette beauté tranquille. Son gland, à demi caché par le prépuce revenu sur lui, laissait apparaître un liseré rose qui me serra le ventre d’un désir mêlé de tendresse. Ses testicules, posés l’un contre l’autre, formaient deux sphères parfaites, lisses et veinées d’un rose ambré, et j’eus envie d’y poser mes lèvres pour en goûter la chaleur et la douceur.Je le contemplai longuement, comme un tableau vivant. La lumière de l’aube effleurait ses hanches, la courbe de ses cuisses, traçant sur sa peau des reflets d’étain et d’or pâle. Ses deux sillons inguinaux formaient un V parfait, encadrant son sexe au repos comme une offrande silencieuse.Son odeur, plus discrète mais encore bien présente, mélangeait sueur sèche, sperme et iode, un parfum presque animal mais infiniment doux, qui m’envahissait et me plongeait dans une extase calme. Je touchais là, me semblait-il, la beauté absolue d’un corps jeune, vivant, offert à la lumière, inconscient de sa perfection.Je restai immobile, écoutant le silence seulement troublé par le ressac au loin et le cri d’un goéland. Un sentiment si vaste monta en moi qu’il en devint presque douloureux : gratitude, admiration, amour brut et désir pur se mêlaient en une émotion si dense que mes yeux se remplirent de larmes.La tentation fut trop forte. Après un dernier instant d’immobilité, je rapprochai mes lèvres. La chaleur qui s’en dégageait était plus forte que celle de l’air, et son odeur, mêlée aux draps et à la fraîcheur de l’aube, demeurait dense et lactée, salée, musquée, presque marine. Je l’aspirai longuement, m’enivrant de cette senteur intime.Je posai un premier baiser sur la base de son sexe, là où sa toison se fondait dans la peau plus tendre. Puis un autre, un peu plus haut, sur la hampe molle, tiède et souple comme de la soie vivante. Sa respiration sembla suspendue un bref instant avant de reprendre. Il dormait encore, mais son corps reconnaissait déjà mon contact.Je poursuivis, goûtant la saveur de sa peau, relevée d’une pointe salée et d’une âpreté douce. J’effleurai son prépuce de ma langue, le sentant glisser souplement sur son gland, tirant légèrement la peau puis la repoussant, découvrant ce rose lisse avant de la recouvrir. Je savourai la douceur incomparable de ce prépuce élastique et satiné, caressant sa bordure interne, fine et hypersensible.Puis je laissai ma langue atteindre son gland, encore à demi caché, y goûtant ce mélange précis : sel, sébum, note lactée du smegma discret accumulé dans le creux. Rien ne me semblait plus vrai ni plus beau.Il émit un gémissement engourdi, presque un soupir de rêve. Je refermai mes lèvres sur lui, sans descendre, pour l’envelopper de chaleur, le sentir durcir peu à peu contre mon palais. Je voulais qu’il reste encore entre deux mondes, abandonné à la sensation pure.Il bougea légèrement, s’étira, et je relâchai son sexe. Son corps se détendit, mais sa verge resta dressée, vibrant près de mon visage. Je restai là à le contempler, respirant sa chaleur, conscient que je n’avais jamais vu beauté plus pure qu’en cet instant.Ses paupières frémirent, son souffle s’accéléra. Il grogna doucement, sa cuisse se tendit sous ma joue. Je retins mon souffle.Il ouvrit les yeux, d’abord surpris, puis un sourire endormi étira ses lèvres. Son regard croisa le mien, ses pupilles se dilatèrent, et son sexe se contracta violemment, se dressant d’un coup dans un frisson qui le fit haleter.Je n’attendis pas. Je l’engloutis lentement jusqu’à la racine. Il lâcha un gémissement pur et intense qui résonna jusqu’à mon ventre. Ses mains s’agrippèrent à mes hanches, ses doigts s’enfonçant dans ma peau. Je le sentais dur, palpitant contre ma langue, son prépuce glissant sur sa hampe, découvrant le gland brûlant que j’aspirai avant de le repousser doucement, goûtant les gouttes déjà perlantes.Son odeur, plus forte maintenant, mêlait musc profond, note métallique douceâtre et sel. Sa saveur emplissait ma bouche d’une chaleur presque épicée. Je respirais sa toison, sentant ses poils me chatouiller les joues, tandis que ma langue caressait l’intérieur de son prépuce, effleurant le frein, le point le plus sensible. Il trembla, ses cuisses se crispèrent, ses fesses se contractèrent sous mes mains.Je commençai un mouvement plus profond, plus rythmé, sentant chaque veine, chaque relief se tendre sous ma langue. Je l’avalai jusqu’au fond, puis le laissai sortir presque entièrement avant de le reprendre d’un coup, sentant son gland toucher ma gorge. Il gémit plus fort, ses hanches ondulèrent, cherchant l’extase.Sa main sur ma nuque se posa sans forcer, simplement pour s’assurer de ma présence. Sa respiration s’accéléra, ses gémissements emplirent la chambre, mêlés au froissement des draps. Son sexe était dur comme du bois, vibrant contre mon palais, prêt à éclater.Je ralentis, jouant à nouveau avec son prépuce, le tirant légèrement en arrière pour découvrir son gland, tournoyant ma langue autour du sillon avant de l’aspirer plus fort. Ses cuisses tremblèrent.- Oh… putain… murmura-t-il d’une voix cassée.Tout son corps se tendit, ses mains serrèrent ma tête. Un gémissement rauque monta de sa gorge. Son bassin se souleva et il jouit dans ma bouche par secousses puissantes, brûlantes, salées et douces, son sperme coulant en flot continu contre ma langue et dans ma gorge.Je le bus sans bouger, savourant chaque pulsation, chaque spasme de son ventre, chaque tremblement de ses cuisses. Sa respiration était haletante, son corps vibrait encore sous l’onde de son orgasme.Puis il retomba, son sexe toujours dur dans ma bouche, palpitant faiblement. Je le gardai un instant avant de le relâcher lentement. Il resta immobile, un sourire d’extase tranquille sur les lèvres.Je posai un baiser sur la base de sa toison, puis restai là, front posé contre sa peau encore brûlante, respirant son odeur, écoutant son souffle redevenu calme et régulier. Et je sus que je venais de lui offrir tout ce que j’avais de plus profond : cette part muette de moi qui disait silencieusement « je t’aime ».Il rouvrit les yeux, son regard était d’une douceur infinie. Puis, sans un mot, il écarta légèrement les jambes, posant un pied sur le matelas. Sa main glissa entre ses cuisses, effleurant la ligne sombre de son sillon. Ses lèvres entrouvertes laissaient échapper un souffle tremblant.Je compris ce qu’il m’offrait. Mon cœur battit si fort que j’en entendis l’écho dans la chambre. Je me penchai, respirai longuement son odeur plus lourde, plus dense, mêlée de sueur tiède et de désir renaissant. Je laissai ma langue dériver jusqu’à son anus, l’effleurai, goûtant son sel, sa chaleur intime. Il frissonna, écarta un peu plus les cuisses, abandonné.Je le préparai longuement, l’ouvrant doucement, le goûtant, l’habituant à ma présence. Il haletait, et sa voix jaillit, brisée par l’excitation :- Oh putain… ouais… ouvre-moi… je te veux… je suis ta chienne… ta femelle…Il se mit alors à quatre pattes sur le lit, cambra son dos, offrit ses fesses largement ouvertes sous mes yeux. Cette vision de son corps cambré, exposé, offert, associée à ses mots crus, me fit penser à ces chiennes que l’on voit parfois se faire prendre au hasard des rues, à quatre pattes, fesses bien écartées, offertes sans retenu ...
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