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Plongées sur Hyères 4

Publié par : pierre49590 le 01/08/2025
** NEW **

Nous prîmes la route du retour, serrés l’un contre l’autre dans l’air frais de la nuit presque finissante, nos corps encore imprégnés de sel, de plaisir et de cette paix absolue que seuls la mer et l’amour pouvaient offrir.Nous rentrâmes au port dans un silence cotonneux. Lelio, assis tout près, ses mains croisées sur ses cuisses encore nues sous son petit maillot blanc, fixait l’horizon qui s’éclaircissait en rougissant. Ses cheveux blonds, humides, plaqués sur son front, encadraient son regard un peu vague, comme s’il flottait encore dans un autre monde. Mais chaque fois que nos yeux se croisaient, un sourire timide illuminait son visage, traversé d’une lumière intérieure que je n’avais jamais vue chez personne.Quand nous accostâmes, je coupai le moteur. L’air semblait plus froid d’un coup. Je l’aidai à descendre sur le ponton. Ses mains tièdes, ses paumes râpeuses de sel, serrèrent les miennes avec douceur. Nous rangeâmes le zodiac et le matériel sans un mot, dans un silence apaisé où la fatigue et le désir vibraient encore comme une onde.Alors, je me tournai vers lui. Il se tenait là, devant moi, sac de plongée à la main, ses épaules nues luisant sous la lumière jaune du lampadaire.« Viens… viens dormir chez moi. »Ma voix était basse, un peu rauque. Je n’osais pas le regarder. J’entendis son souffle long et léger avant qu’il n’acquiesce d’un simple hochement de tête. Il me suivit sans un mot.Le trajet jusqu’à la maison se fit dans ce même silence dense et paisible. Il marchait un peu derrière moi, son sac battant contre sa cuisse, et le claquement régulier de ses tongs sur le macadam résonnait comme un battement de cœur tranquille. Une fois arrivés, je posai mon sac dans l’entrée et l’invitai à monter. Il grimpa l’escalier étroit devant moi, et je ne pus m’empêcher d’admirer encore la ligne parfaite de ses mollets, la finesse de ses chevilles, la cambrure délicate de ses reins sous la bande blanche de son slip de bain.Dans ma chambre, je refermai la porte derrière nous. Il se tenait debout près du lit, la tête légèrement baissée, ses cheveux tombant sur son front. J’avançai vers lui, posai ma main sur sa joue et la caressai doucement. Il ferma les yeux et se pencha contre ma paume. Mon ventre se contracta sous la vague de désir brûlant qui montait en moi. Je posai mes lèvres sur son front, puis sur sa bouche, dans un baiser long, lent, presque chaste, avant de le guider vers le lit.Nous nous couchâmes côte à côte. Le drap encore frais nous fit frissonner. Son visage tourné vers moi, ses yeux brillaient faiblement dans la pénombre, deux lacs sombres où vibrait une lumière trouble. Il leva la main et la posa sur ma poitrine, juste au-dessus de mon cœur. Je retins ma respiration sous la douceur de ce geste.Alors, ce fut lui qui bougea. Il se rapprocha, pressa son ventre contre le mien, et je sentis son sexe, déjà durci, glisser contre ma hanche. Un éclair de chaleur me traversa le bas-ventre, irradiant jusqu’à mes reins. Mon cœur se mit à battre si fort que j’en sentais les pulsations dans ma gorge. Il se mit à califourchon sur moi, ses cuisses puissantes serrant mes flancs, son petit slip blanc tendu à l’extrême par son érection. Je le regardai, hypnotisé, le souffle court. Chaque battement de mon cœur m’envahissait d’une vague de feu.Il me regardait fixement, ses yeux brûlaient d’un mélange de douceur et de désir. Lentement, gracieusement il fit descendre son slip sur ses hanches, le fit glisser le long de ses cuisses, avant de le laisser tomber au pied du lit.Je le contemplai, fasciné. Sa verge se dressait, longue, légèrement arquée vers son ventre, le gland lisse et brillant, presque entièrement dégagé du prépuce. Ses testicules frémissaient à chaque battement de son cœur, serrés. Mon souffle s’accéléra, mes tempes pulsèrent. Mon sexe me faisait mal tant il était gonflé de désir.Je posai mes mains sur ses cuisses, savourant la chaleur et la fermeté de ses muscles sous mes paumes, la douceur satinée de leur face interne. Il se pencha vers moi, m’embrassa longuement, sa langue glissant contre la mienne avec une lenteur exquise. Puis il recula légèrement son bassin, posa ses mains sur mon torse pour s’appuyer, fit glisser lentement mon maillot de bain, et j’écartai instinctivement mes cuisses pour l’accueillir. Je sentis mon anus se contracter d’anticipation. Mon ventre se crispa sous l’intensité de l’excitation.Il guida son sexe contre moi, caressant mon intimité de son gland décalotté, puis de ses doigts avec une douceur infinie. Ses gestes étaient lents, précis, presque solennels. Chaque frôlement me faisait frissonner : le contact tiède de sa paume sur ma hanche, l’effleurement délicat de ses testicules contre l’intérieur de ma cuisse. J’étais tout entier tendu vers lui, offert, vulnérable et pourtant d’une force nouvelle.Puis je le sentis s’enfoncer en moi, lentement, profondément. Un long gémissement m’échappa, mêlant douleur et plaisir brûlant. Ma bouche s’ouvrit sous la violence de la sensation, mes doigts se crispèrent sur ses cuisses. Il s’arrêta un instant, ses mains posées sur mes hanches, son front appuyé sur ma poitrine, son souffle tremblant contre ma peau. J’étais tendu à l’extrême, mes reins brûlants, mon sexe pulsant d’une douleur exquise.Il se redressa ensuite et glissa ses mains sous mes genoux. J’attrapai mes cuisses pour les ramener vers moi, les écartant davantage. Il posa mes jambes sur ses épaules et se mit à genoux entre elles. J’eus alors le plaisir intense de contempler son corps dressé entre mes deux cuisses largement ouvertes. Je me sentais complètement ouvert, exposé, vulnérable et en même temps empli d’une confiance totale.Puis il commença à bouger son bassin. Ses mouvements étaient amples, lents, puissants et fluides, comme une vague qui monte et qui descend, irrésistible. Un cri muet monta dans ma gorge. Je n’étais plus que sensation : la chaleur de son sexe en moi, la pression sur ma prostate qui me faisait haleter, ce frottement délicieux qui me submergeait.Je levai les yeux vers lui. Son visage était tendu de plaisir, ses sourcils froncés, sa bouche entrouverte laissait échapper de petits gémissements rauques. Je trouvai cela bouleversant. Je posai mes mains sur ses hanches, accompagnant son mouvement, le pressant plus fort contre moi. Ses abdominaux se contractaient sous mes paumes et mes caresses de son pubis et de ses bourses, ses cuisses tremblaient légèrement à chaque poussée. Je me laissai aller complètement, submergé par la vague brûlante de plaisir et d’amour mêlés.Ses mouvements s’accélérèrent. Son souffle devint plus court, plus haché. Je le sentais vibrer au-dessus de moi, proche de la jouissance. Il se pencha, posa son front contre le mien, et dans un dernier coup de reins, profond et puissant, il jouit en moi, un cri muet sur les lèvres, son corps secoué de spasmes violents. Sa verge palpita longuement, je sentis sa chaleur me remplir, par vagues. Un frisson me parcourut, je me sentais entièrement sien.Je pris mon chibre, le serrai davantage, accélérant la cadence, sentant la vague brûlante monter depuis le creux de mes reins, irradier tout mon ventre, m’envahir jusqu’à la racine des cheveux. Je poussai un cri plus fort, brisé, tandis que mon corps se tendait de tout son long, mes talons appuyés contre le drap, mes cuisses tremblantes serrant ses hanches. Je jouis violemment, mon sexe pulsant dans ma main, projetant ma semence chaude sur mon ventre et contre le sien, dans une explosion de lumière intérieure si intense que j’en perdis presque conscience un instant.Je retombai aussitôt contre le matelas, haletant, tremblant de tout mon corps, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte pour reprendre mon souffle.Lui resta immobile, son front collé au mien, ses mains tremblantes encadrant mon visage. Je sentais son cœur battre à toute allure, son souffle brûlant contre ma bouche. Je passai mes bras autour de lui, l’enlaçai fermement, sentant sa peau moite, son sexe encore en moi qui palpitait faiblement. Je ne voulais plus qu’il bouge, je voulais rester ainsi, ancré à lui, dans cette plénitude absolue.Nous restâmes ainsi, unis, sans un mot. Je fermai les yeux, le cœur inondé d’une paix profonde et absolue, tandis que la nuit silencieuse nous enveloppait de sa douceur bienveillante.Nous restâmes ainsi un long moment, nus, enlacés dans l’obscurité tiède de la chambre, nos corps encore collés, nos souffles mêlés, sentant nos peaux poisseuses de sueur et de semence se refroidir lentement dans l’air plus frais de la nuit. Son ...

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