Je m’appelle Théo, 26 ans à l’époque, hétéro de façade mais bi refoulé depuis des années. Mon collègue du boulot, Enzo, 27 ans, brun un peu baraqué avec une barbe de trois jours et un regard qui te transperce, est gay et l’assume à 200 %. On s’entendait hyper bien, on déconnait tout le temps au taf, mais jamais rien de sexuel… jusqu’à ce soir-là.On parlait par message de sa rupture récente. Il était dégoûté. À un moment il balance : « Mon seul regret dans la vie, c’est que tu sois hétéro. » J’étais seul, un peu bourré, et ça faisait literalement cinq ans que je n’avais pas touché un mec. L’excitation est montée direct. On commence à se chauffer par messages, je lui envoie une photo de moi en boxer gris moulant, bien tendu sur le canap, et il me répond « Tu me tues, salaud ».Pour le faire marrer (et parce que j’étais déjà à moitié en chaleur), je lui lance un défi débile : « Si tu m’envoies une photo de toi avec une meuf à poil, je fais absolument tout ce que tu veux de moi. » Évidemment, impossible… sauf que deux heures plus tard, mon téléphone vibre : une photo truquée ultra réaliste d’Enzo en train d’embrasser une nana nue, avec le message « On baise quand ? »J’étais piégé. J’ai une parole. Je lui dis « Ok, viens ce week-end. » Il habite à 600 bornes. Cinq minutes après : capture d’écran de son billet TGV pour le lendemain matin. J’ai flippé, j’ai kiffé, j’ai paniqué, j’ai bandé comme jamais.Je passe la soirée à me préparer comme une pute : épilation complète du cul et des couilles, douche anale, parfum partout. Le lendemain je vais le chercher ce salaud à la gare, bite dure dans le jean, cœur qui tambourine.Il monte dans la voiture, sac de sport à l’épaule, sourire carnassier. À peine la portière fermée, sa main droite se pose direct sur ma queue à travers le tissu. Je deviens rouge écarlate, je dis rien. Il ricane : « On attend d’être chez toi, calme-toi. »Chez moi, petit studio, visite express. Je sers deux whiskys pour me donner une contenance. Je bredouille : « Écoute Enzo, j’sais pas ce qui m’a pris… » Il me coupe net, se lève, arrache son t-shirt, fait voler son jean et son boxer en deux secondes. Il s’affale sur mon canapé, jambes grandes écartées, sa grosse queue poilue déjà à moitié dure (facile 20 cm, épaisse, veineuse) et son cul parfaitement épilé et rose qui claque sous la lumière.« Allez, à genoux. Tu réfléchis pas, tu goûtes. »Je m’agenouille comme un automate. Je prends sa bite en bouche lentement, il grogne, m’attrape les cheveux et enfonce direct jusqu’au fond de la gorge. Il me baise la bouche sans douceur, me force à lécher ses couilles ...
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