Un soir d’été poisseux, à 32 ans, mon corps – 1m80, 88 kg, pecs gonflés, abdos taillés, et une queue épaisse, toujours en cage sous ma lingerie de salope – vibrait d’une envie insatiable. Mon célibat réveillait la chienne en moi, et mon cul réclamait du sperme. Lassé des journées ternes et d’un mal de dos persistant, je décide de plonger dans un sex-club glauque, un repaire où l’odeur de sueur, de cuir et de foutre rend l’air électrique. Ce soir, je veux être une pute à jus, utilisée jusqu’à l’épuisement.Dans une backroom éclairée par des néons violets, je repère Samir, 35 ans, un rebeu marié, timide mais sculpté comme un dieu : 1m90, peau ambrée, torse imberbe ciselé, biceps saillants, et un cul ferme qui appelle la langue. Son boxer laisse deviner un missile de 21 cm, gland large, veiné, prêt à exploser. Autour, cinq de mes réguliers, des mâles mûrs aux corps massifs – pecs poilus, ventres légèrement bedonnants, queues épaisses – me matent, leurs yeux luisants de vice. J’ai organisé ce plan : un gangbang pour inonder ma chatte entre 22h et minuit.Je m’installe sur un matelas recouvert de vinyle, à quatre pattes, en string noir, bas résille, et un collier avec laisse. Sur mon torse, Samir a écrit au marqueur : « Pute à jus impuissante » ; sur mon cul, une flèche indique « Chatte à remplir ». Les mecs se déshabillent, leurs bites déjà raides. Samir, timide au départ, ouvre les hostilités en enfonçant son chibre dans ma gorge. Je bave, gobe ses couilles poilues, tandis que deux autres, Marc et Léo, se branlent contre mon visage, leurs glands suintants frottant mes joues. Marc, un ours de 50 ans, torse velu et queue trapue, me fesse violemment, faisant claquer ma peau, avant de cracher sur mon trou et de m’enculer d’un coup sec. Sa bite épaisse m’arrache un cri, vite étouffé par Samir qui baise ma bouche, ses 21 cm cognant ma gorge.Léo, un black massif, pecs comme des rochers, prend le relais, me pilonnant si fort que mes genoux tremblent. Son sperme gicle au fond de mon cul, chaud, épais, suivi par un autre qui m’inonde sans ménagement. Samir, excité par les gémissements, me retourne, soulève mes cuisses et m’empale sur sa queue courbée, me défonçant avec une brutalité qu’il n’avait pas annoncée. Je couine, ma cage de chasteté ballottant, tandis qu’un autre me force à bouffer sa bite souillée de foutre. Les insultes fusent ...

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