La nuit suivante, étant d’astreinte, je suis allé rendre visite à mon « client » de la veille. Il était un peu groggy mais détendu avec toujours le même sourire. Je lui demandais comment il allait.- J’ai un peu mal, mais j’ai passé une nuit très détendu grâce à vous, moi qui appréhendais l’intervention. J’espère que vous viendrez me faire mes pansements.- Comme je ne suis pas le chirurgien qui t’a opéré, c’est une autre équipe qui s’en chargera, mais s’il y a un problème, je suis de garde de nuit toute la semaine.- La nuit suivante, il me fit appeler. Une fois dans sa chambre, il me dit qu’il avait un peu mal. J’ai soulevé le drap, décollé doucement le pansement, il en profita pour me caresser les fesses. La cicatrice était impeccable. Je lui dis que tout allait bien, qu’il fallait qu’il soit patient avant de pouvoir jouer avec son sexe, de me répondre :- je voulais vous voir pour vous remercier du plaisir que vous m’avez procuré avant l’opération.Lors des prises de service, je consultais la liste des patients présents. Celui du jeune patient était absent. Il était sorti le matin, en me laissant un petit mot dans une enveloppe avec son numéro de téléphone.Le matin, au changement d’équipe médicale, je croisais le regard d’un jeune interne qui ne baissa pas les yeux. Ce petit manège dura jusqu’au jour, où entrant dans le vestiaire, un collègue était en train de se changer. Dans le monde médical, la pudeur n’est pas de mise, aussi j’ai pu voir ses fesses. Entendant la porte il s’est retourné. Ma surprise fut grande et heureuse de voir le jeune interne du matin. Il me tendit la main et me dit :- Je voulais savoir comment se passaient les gardes de nuit.- Bienvenue, lui répondis-je.Lors des pauses, nos discussions se précisaient. J’étais persuadé qu’il cherchait à aller plus loin dans le contact.Cela est arrivé une nuit de garde très calme, peu de patients sans grande pathologie. J’en profitais pour aller me reposer dans la pièce qui nous était réservée. Nous ne verrouillons jamais la porte. Allongé à même la couverture, je me suis assoupi. Je fus réveillé par le bruit de la clenche. Je distinguais à la lueur de la veilleuse mon collègue portant juste son caleçon. Surpris, je me redressais. Sans rien dire, il s’approcha, poussa doucement mes épaules pour m’allonger, se coucha sur moi, puis ses lèvres se collèrent aux miennes.Comme si j’attendais ce moment, je ne réagis pas, le laissant sa langue explorer ma bouche. Le plaisir que j’éprouvais me détendit. Ma langue se mêlait à la sienne alors qu’il ôtait ma chemisette. Nos peaux se frottaient l’une à l’autre. Je sentais ses tétons durs caresser mon torse, mais aussi la protubérance de son caleçon sur mon pantalon de coton blanc. Mes seules expériences, à part la fellation du jeune patient, étaient de mater les attributs masculins, mais jamais encore franchi le pas. Cette fois, je me laissais aller à ce plaisir que m’apportait mon collègue. Mon corps s’adaptait comme si il avait déjà pratiqué.Je ne protestais pas lorsqu’il fit glisser mon pantalon, passer sa main dans la jambe de mon slip, saisir ma queue qui avait pris une bonne dimension.Il se releva pour enlever son caleçon. Je pouvais admirer son sexe brandit comme une épée sur deux belles boules suspendues, le tout garni de poils sombres. Ma main fut aimantée. Je caressais ces joyaux, entourant sa verge pour décalotter son gland déjà humide.Il retira mon slip, s’allongea sur moi. Cette fois, nos épidermes se collaient l’un à l’autre, nos corps se frottaient, nos sexes se croisaient, nos bouches s’unifiaient.Je fus étonné de mon intrépidité qui ne fut pas pour lui déplaire. Comme il était allongé sur moi, mes mains pouvaient parcourir son dos, ses reins, ses fesses. Il écartait les jambes comme une invitation à explorer sa raie. Mes doigts glissaient dans son sillon poilu.Il prenait de plus en plus d’initiative ce qui déconcentra, car je découvrais ce plaisir. Sa bouche parcourait mon cou, de faufilant sur mon torse, s’arrêtait sur mes tétons qu’il suçait, mordillait à la limite de la douleur. Plus il était actif, plus je devenais passif, le laissant s’abreuver de mon corps. Je gémis lorsque ma queue tendue effleura son menton au moment où il titillait de sa langue mon nombril. Je ne crus pas tenir la distance lorsqu’il lécha le bout de mon gland à peine décalotté qui mit complètement à nu avec ses lèvres ...
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