Bonjour à tous,D’abord, je tenais à remercier chaleureusement tous ceux qui ont apprécié et noté ma précédente histoire.J’avoue que j’ai eu beaucoup de plaisir – et le mot est faible – à vous conter cet instant qui fut pour moi une expérience très agréable et très excitante.Ça me donne envie d’en partager une autre avec vous.Ce soir-là, ma copine m’a demandé de me maquiller, puis de m’habiller, car elle avait envie de m’emmener au petit bois près de chez nous, qui est un lieu de rencontre que nous avions très envie de découvrir.J’étais déjà très excitée à me transformer : une petite robe noire, des bas rouges maintenus par un porte-jarretelles, et une perruque brune… Si vous visitez mon profil, vous verrez deux photos de cette soirée.Je me suis assise dans sa voiture et, tout le long du trajet, la chaleur montait au creux de mon ventre. Elle me disait ce qu’elle attendait de moi, d’attendre qu’un homme arrive et que je le racole. Oui, elle désirait me voir en pute et satisfaire les désirs de celui qui se présenterait.Arrivées là-bas, c’était désert. Elle m’a demandé de faire les cents pas devant la voiture. C’était un soir d’été, il faisait doux et le mistral soufflait assez fort. Il soulevait ma robe et s’engouffrait dessous. C’était très agréable comme sensation. À chaque fois que je m’approchais de sa voiture, elle me disait que je faisais très pute, et c’est vrai que j’avais cette sensation.Une voiture est passée sur la petite route et s’est arrêtée à quelques mètres. Je me sentais observée. J’ai pris mon courage à deux mains et je me suis approchée. Mais elle a redémarré avant que j’aie pu lui dire ce que j’étais venue faire ici et ce qu’elle attendait. Déçue, je suis retournée à la portière de ma copine et, penchée à sa portière, je lui racontais ma déception.Mais au bout de quelques instants, la voiture est repassée et s’est garée juste derrière moi.Comme elle était partie la première fois, je suis restée tournée. J’ai entendu une portière claquer et j’ai senti une main se glisser sous ma robe et dans ma culotte. J’ai envoyé la main derrière moi : il avait déjà sorti son sexe, je l’ai saisi et j’ai commencé à le masturber.Je me suis redressée, retournée et, toujours sans un mot, je me suis mise à genoux devant lui. J’avais son sexe juste devant ma tête. Il était dressé et tendu vers mon visage.Mes lèvres se sont approchées ; il sentait bon. J’adore me servir de tous mes sens. J’ai déposé un baiser dessus, ma langue chaude et humide a fait plusieurs fois le tour de son gland.Je l’entendais gémir de plaisir et il a poussé un soupir quand mes lèvres se sont entrouvertes et que sa queue disparaissait entièrement dedans. Je le sentais très excité. J’ai senti sa main sur ma tête qui donnait le rythme avec lequel il voulait que je le suce. Je l’ai laissé faire, comme une bonne soumise qui doit réaliser les désirs de son maître.Il a retiré ma tête de sa bite, et pour la première fois il s’est adressé à moi pour me demander de lui lécher ses couilles. J’adore ça, alors je n’allais pas le lui refuser. Ma langue est descendue tout le long de son sexe et je lui ai léché longuement ses testicules, qu’il n’avait pas rasées. C’était une impression bizarre, tous ces poils sur ma langue, et de sentir toute sa queue se frotter sur mon visage.Puis il m’a dit : « Suce-moi, salope… »J’ai jeté un regard vers notre voiture et j’ai croisé celui de ma compagne, qui ...

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