Ma dernière sortie de femelle à ParisQuand je passe du temps à Paris, j’adore passer tout mon séjour habillée en femme et sortir apprêtée dans la rue et dans les commercesEn janvier, j’ai renouvelé cette expérience.Dès mon arrivée, je me suis rendue à mon hôtel à côté de la gare de l’Est. J’ai pris ma chambre tôt et je suis montée. Une fois dans ma chambre, je suis mise nue, j’ai déballé mes tenues (couleur noire) de femme et j’ai tout posé sur le lit : gros gode en forme de bite, bas de laine mi-cuisse, bas résille, mitaines résille, string, combinaison jarretelles, mon gros plug anal, ma mini cage de chasteté, mes pompes à tétons, mon collier de chienne, mes menottes, mon lubrifiant, mon kit de maquillage, mon long manteau et, parterre, mes chaussures à talons.Je me suis intégralement épilée et je suis partie à la douche pour me rincer et pour faire une grande toilette intime, pour être prête à me faire prendre.A la sortie de la salle de bain, l’excitation commençait à m’étreindre alors j’ai enduit mon clito d’huile d’amande et j’ai vite mis ma mini cage de chasteté, avant que mon clito grossisse. Ensuite, je me suis abondamment lubrifié ma chatte anale et j’ai mis en place mon gros plug (il tire bien au début pour entrer, mais c’est tellement bon de sentir cet écartement intime).Je me suis enduit le corps de lait corporel et j’ai commencé à enfiler mes bas, puis ma combinaison jarretelles, dont j’ai attaché les jarretelles aux bas, j’ai mis mes bas de laine, mon petit string noir, mes mitaines et mes ballerines. J’ai ensuite préparé mon sac à main noir : gros gode, kit de maquillage, collier de chienne, menottes, lubrifiant, capotes, parfum féminin, huile de corps, clé de ma cage et dans un petit sac, mes talons et ma coiffe blonde.Encore en tenue assez discrète pour sortir de l’hôtel, je me suis rendu de la gare de l’Est au quartier Pigalle à pied tranquillement avec mon sac à main et mon autre petit sac. Arrivée à côté de Pigalle, je me suis rendue chez mon coiffeur habituel coquin. C’est un coiffeur oriental, je viens pour me faire raser de très près, il le sait. Il sait aussi que je suis une travestie et que chaque fois que je viens le voir, c’est parce qu’ensuite je vais aller me faire baiser dans des lieux x. Quand j’arrive chez mon coiffeur, mon manteau n’est pas fermé avec la grande fermeture éclair, seulement avec les quelques boutons pression. En voyant ma tenue, mon coiffeur devine comment je suis habillée en dessous. Quand c’est mon tour, je m’assois, je ferme les yeux (je les ouvrirai seulement quand il me dira qu’il a fini) et je garde mon manteau, je ne peux pas l’enlever car je suis habillée comme une pute en dessous. Il y a d’autres clients et ses collègues qui sont là, derrière moi, mais ça ne le gêne pas, plus ou moins discrètement, il commence à me serrer fort le cou, me mettre des petites claques sur le visage, me traiter de salope, rentrer ses mains dans les espaces entres les boutons du manteau, me tirer les tétons, me caresser les cuisses à la limite de mes bas et de ma peau, à me toucher de partout. Il me met ensuite la mousse à raser sur le visage et commence à me raser, il s’appuie contre moi, je sens qu’il bande, je suis entre deux états, les yeux toujours fermés, en chaleur (j’ai des larmes d’excitation, que je ne peux pas contrôler), il sait m’exciter, il me rase à la limite de la douleur en continuant ses attouchements et ses insultes. Je pourrais jouir tellement c’est puissant, mon clito est trempé de pré-cum, je suis mouillée comme une salope.Quand c’est fini, je sors difficilement, tant l’excitation est forte, un peu plus loin je m’appuie sur un mur pour un peu reprendre mes esprits mais je sais que l’excitation va durer. Je vais dans les toilettes publiques à proximité, j’échange mes ballerines contre mes talons, je mets ma coiffe mi-longue blonde discrète, je me maquille, je mets mon collier de chienne, que je cache sous mon écharpe de flanelle et je suis prête, encore excitée de mon coiffeur. Je déambule dans la rue sur le boulevard autour de la place Pigalle, j’essuie les remarques sympathiques d’hommes ou de groupes d’hommes que je croise (ça aussi, ça m’excite beaucoup), je rentre dans des sexshops et quand je ne peux plus tenir, je me dirige vers le cinéma x l’atlas.Une fois passé la réception, j’enlève mon manteau et mon écharpe, je les lais ...

... Log in to read the end of this erotic story | 100% free registration