A l'unisson de mes deux compagnons, je me débarrassais de mon string ne gardant que les bas. Jugeant l'endroit inconfortable je les entraînais vers la chambre où le vaste lit me semblait plus propice à nos ébats. Je me positionnais à quatre pattes face à eux de façon à sucer alternativement leur queues qui pointaient vers moi. Je m'attardais plus particulièrement sur celle de François le boucher qui, restait un peu molle à mon goût. Je l'aspirais au plus profond de ma gorge tout en malaxant d'une main ses belles grosses couilles tandis que de l'autre main je masturbais doucement la tige bien raide et bien dure de Jacques. Leurs soupirs, s'ajoutant aux bruits de succion remplissaient la pièce. Après plusieurs minutes de ce traitement, je m'allongeais sur le dos et présentais mon orifice au gland de François et( ma bouche à la bite de Jacques. Je facilitais la pénétration de François en relevant les jambes et en les reposant sur ses épaules. Il entra en moi sans peine et commença à me limer avec ardeur tandis que je me caressais le "clito" d'une main, l'autre maintenant dans ma bouche la verge de Jacques. Ce dernier n'en pouvant plus râla de plaisir et lâcha une première giclée au fond de ma gorge puis, se retirant m'inonda le visage et les seins d'une semence abondante, chaude, épaisse et généreuse comme celle des jeunes garçons de son âge. François ne fut pas en reste et après un "han !" il se retira et m'aspergeât à son tour juste au moment où j'explosais à mon tour, mêlant ainsi nos spermes sur mo ventre. Je me caressais le corps enduit de ces crèmes délicieuses et me redressant entrepris de lécher les sexes de mes deux partenaires afin de nettoyer les dernières gouttes de ces liqueurs d'amour. Si la bite de François restait à nouveau molle sous mes caresses buccales, elle de Jacques au contraire ne tarda pas à se raidir et à reprendre une belle dimension. Aussi je n'hésitais pas un instant et me positionnant en levrette, j'offris ma croupe à l'assaut de cette jeune net vigoureuse verge . Ouvert comme je l'étais après le passage de la grosse pine de François, il s'enfonçât d'un coup jusqu'au plus profond de mon intimité et commença un lent va et vient. A chaque poussée je me resserrais sur lui afin d'accroître son plaisir. So rythme s'accéléra et ses couilles venaient s'écraser contre mes fesses.Pendant ce temps, François se repositionna face à moi tout en se masturbant. Comprenant son invitation, je repris son sexe en bouche , ma langue titilla longuement le dessous du gland, tournant autour de la couronne , se promenant tout au long de sa verge . D'une main je triturais consciencieusement ses lourds testicules velus. Soudain, n'y tenant plus j'en pris un en bouche, je l'aspirais et le tétais tandis que ses po ...

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