Je ne sais plus en quelle année ça s’est passé. En 1998 ou en 1999 peut-être. Je me souviens juste que c’était dans le 11e arrondissement de Paris. J’avais vu l’annonce d’un type qui aimait les dessous de nana dans un journal gratuit. J’avais téléphoné et compris qu’on serait en dessous tous les deux. Le soir, j’arrive dans son immeuble, je sonne, il me dit l’étage, mais quand j’arrive à l’étage, il y a peut-être dix appartements dans deux longs couloirs ! Enfin, une porte s’ouvre et je le vois sortir à poil dans le couloir ! Il ne se gêne pas celui-ci ! Vieux, torse nu et bite à l’air. Pas mal en homme, il faut dire, mais pas du tout en fringues de fille. Je vais quand même le voir. À peine rentré, il me serre contre sa porte et me caresse durement couilles et queue. Finalement, on va dans le salon, et là, enfin, j’enlève mes vêtements du dehors pour me montrer dans ma tenue rouge qu’on voit sur mon profil et qui me serre beaucoup maintenant. Il aime sans plus que ça. Faudrait savoir, il avait dit que c’est le côté travesti qui l’attirait. Ce que les gens inventent pour obtenir ce qu’ils veulent ! La vérité, elle est souvent sur liste d’attente !Mais pourtant, je ne pars pas car il me tripote et ça commence à m’exciter. Voir sa queue molle qui commence à grossir aussi. Il fourre ses doigts dans mon trou du cul puis me fait agenouiller devant lui. Je commence à embrasser sa grosse queue et ses couilles bien lourdes. Je frotte tout ça sur mon visage, je suçote, je renifle, j’adore. Je décalotte son gland en passant la langue partout. Pas de poil ni de bout de peluche ou de poussière glissée dans les plis. Je le suce, j’aime beaucoup, il a une grosse bite comme j’aimerais bien en avoir une. Puis je le retourne doucement et lui lèche le trou du cul. Il apprécie. Je lance la pointe de ma langue dedans, il me plaque la tête contre ses fesses. Je me relève et là, d’un seul coup et sans me prévenir, il prend ma tête et m’embrasse ! J’avais jamais embrassé de mec. Je trouvais ça gravissime et choquant. Et même dégueulasse ! Beaucoup plus répugnant que de se faire enculer ou de dire qu’on est une salope qui aime sucer une bite. Et pourtant, dès les premières secondes, je lui suce la langue en fermant les yeux tout en serrant sa bite. C’est de me sentir fille qui sauve la situation. Je finis par lui lécher l’intérieur de la bouche comme la pire des putains. Et c’est en racontant cette aventure que je m’aperçois que le jeune travesti embrassé vers 2003 était finalement le deuxième garçon dont j’ai eu la langue dans la bouche !Je suis avec ce gars qui a largement 50 ans, deux fois mon âge, brun, musclé, bronzé de son voyage à Cuba ou à Caen. Il m’amène au lit. Il est pressé de se vider. Mais pas moi. Je le tiens par la queue en le suivant. Il me colle sur le lit où je le suce encore, j’adore sa bite. Je voudrais que ça dure des heures, des jours. Mais il me met à quatre pattes et m’encule vite, gentiment et doucement. Il a mis une capote. Je remue le cul po ...

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