Après avoir goûter au fruit défendu au détour d'une de mes escapades buissonnière avec un homme qui devait avoir presque deux fois mon âge. (lire: Ma première fois ou les origines du mâle) Je réitérais l'expérience à de nombreuses reprises. Dès que j'en avais l'occasion et l'envie, je me rendais dans les sex-shop environnant pour poursuivre mon initiation en matière de sexe entre hommes. Malgré mon âge limite, j'arrivais à m'introduire sans encombre dans ces lieux de débauche essentiellement fréquenté par des mâtures ayant largement dépassés leurs dates limites de consommation. Le moins que l'on puisse dire, c'est que je ne passais pas inaperçu dans ce genre d'endroit. Avec mon look d'étudiant qui semblait s'être perdu, je faisais office de curiosité pour les habitués. Je vidais ses messieurs à la chaîne dans des cabines de projection individuelle. Mes lèvres charnues pompaient toutes les queues qui se présentées à elles. Une fois soulagé, le monsieur reboutonnait son pantalon en velours côtelé et laissait la place au suivant. Ma bouche fut outragée par un nombre incalculable de bites appartenant la plupart du temps à des mâtures en manque d'affection. J'étais devenu un vide-couilles pour ses hommes célibataires ou délaissés par leurs épouses. Un exutoire pour Daddy en manque. Un remède à leurs misères sexuelles. Durant cette période, j'eus ce qu'on pourrait qualifié ; « un partenaire sexuel régulier ». Même si je continuais à butiner à droite à gauche. C'était un Daddy, habitué des lieux et amateur de jeunes garçons peu farouche. Il profitait régulièrement de ma bouche de petit cochon pour se vider les burnes. Alors qu'il venait de me remplir pour la énième fois, il me fit part de sa supposition:« _Je suis sûr que tu dois souvent te mettre des trucs de le cul, pas vrai? » Toujours à genoux, affichant une expression candide, le visage bafoué de son liquide séminal, je faisais semblant de ne pas comprendre. Cependant, jamais il n'insista pour aller plus loin. Cela devait lui suffire ou alors il avait peur de m'effaroucher et de ne plus disposer de mes services. Parmi tous, il y eu un adjoint au maire d'une petite ville voisine adepte du doigté rectal qui me proposa de venir poursuivre mon initiation chez lui:"_Tu n'as rien à craindre. J'ai une réputation à tenir. Je fais partie du conseil municipal d'un petit village voisin et je n'ai pas intérêt à ce que cela s'ébruite." Il me partagea avec un de ses amis et collègues. J'avais accompli mon devoir civique ! Parfois, je croisais aussi des garçons de mon âge. Alors que je tournais en rond en faisant semblant de choisir un DVD, la clochette de la porte d'entrée annonça la venue d'un jeune damoiseau. Il était grand, mince, ses cheveux bruns coupés au carré un peu à la manière d'une fille. Sans tergiverser, il se dirigea vers la salle commune. Qu'est-ce ce que ce petit coquin venait donc faire ici? Ni une ni deux, je décidais sans attendre de le suivre pour satisfaire ma curiosité. Derrière l’épais rideau de velours pourpre, je le vis déjà en pleine action: à genoux en train de sucer la bite d'un beau quidam. Je m'assis sur la banquette pour profiter pleinement du spectacle. Le jouvenceau semblait prendre autant de plaisir qu'il en donner. Comment pouvait-il s'exhiber ainsi sans vergogne. Ce petit effronté méritait bien un tel traitement ! Pantalon baissé jusqu'aux genoux, le viril me sourit et m'invita à les rejoindre d'un mouvement de tête. Un peu hésitant, je me levais et m'approchais d'eux. Pensait-il que je présenterai ma queue moi aussi au bel éphèbe pour une double ration ou attendait-il autre chose de moi? Complètement subjugué par la vue qui m'était offerte, je me mis au niveau de mon jeune compagnon d'infortune. Moi aussi je voulais avoir ma part! Cote à cote, nous nous partagions cette délicieuse hampe tendue, en alternant chacun notre tour. Mes grosses lippes charnues laissant le relais à la bouche beaucoup plus fine mais non moins adorable de mon jeune acolyte. A chaque passage de témoin, nous nous embrassions fougueusement, nos lèvres affamées de désir au goût de sexe, nos langues s'enroulant l'une autour de l'autre sans pudeur. Attendant mon tour, j'observais admiratif sa prestation. Il devait avoir l'habitude de le faire, c'est sûr. Impatient, je m'occupais en léchant les couilles qui pendaient sous mon nez. Je lapais la bave de stupre qui s’échappait le long de ses joues comme une petite chatte le ferait avec son bol de lait. Mais hors de question de ne pas récolter les honneurs. Maintenant qu'il était à point, je forçais à prendre mon tour avec une incommensurable avidité. Mon partenaire me laissa volontiers la place en me regardant faire. Le pauvre bougre au dessus de nous ne résista guère plus que quelques instants avant de se soulager dans ma bouche en éructant un cri guttural . Tel un vampire, je le vidais jusqu'à la moelle avant de le laisser, amorphe, pour qu'il puisse se rhabiller. Sans prêter attention aux curieux qui s'étaient réunis autour de nous pour profiter du spectacle, je me tournais vers ce jeune homme d'une beauté divine. Yeux dans les yeux, nos regards lançaient des éclairs et sans un mot, nous nous embrassions passionnément de nouveau. Nos baisers avaient le goût du sexe que nous avions partagé. Tendrement, le visage entre nos mains, nous nous aimions en faisant abstraction du reste pendant un merveilleux instant qui malheureusement fut trop court. "_Désolé, je dois avoir le goût du sperme._Ce n'est rien, ça ne me dérange pas et tu embrasse trop bien." A contre cœur, Il mit fin à ce délicieux moment. Je l'accompagnais du regard jusqu'à la sortie, désolé de le voir partir si vite. En voulant regagner la salle commune, je bousculais malencontreusement une personne qui se trouvait derrière le rideau."Excusez moi, je ne vous avais pas vu._Ne t'excuse pas, ce n'est rien." Le garçon derrière le rideau devait avoir mon âge. Il était mignon lui aussi mais moins efféminé que mon précédent partenaire. Il effleura ma main du bout d ...

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