Pendant mes jeunes années d'apprentissage pour être une bonne petite lopette, je fus amené à expérimenter tout les endroits susceptibles à étancher ma soif de sexe. C'est dans un de ces endroits que je poursuivais ma descente dans les abîmes de la déchéance sexuelle. "Erotic-Shop" était un sex-shop dissimulé derrière le grand parking étagé du centre-ville. Camouflé sous la devanture d'une maison à l'architecture néo-classique, ce sex-shop n'en était pas moins un lieu pour me désaltérer quand l'envie se faisait sentir. Seul la pancarte bleue accrochée en hauteur indiquait la véritable nature de l'établissement. Bien qu'il soit fermé depuis plusieurs années maintenant, il fût pour le jeune garçon que j'étais une véritable caverne d’Ali baba en matière de découvertes licencieuses. Vêtu d'un survêtement en nylon, je gravissais les escaliers menant à l'étage pour y découvrir une petite salle de projection. Comme un minuscule espace cinéma, on l'on pouvait mater des films pornographique en compagnie d'autres personnes. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'il n'y avait pas grand monde ce jour là. Je m'installais sur un siège en espérant être bientôt rejoint par un beau mâle. Un homme de type méditerranéen d'une trentaine d'années fit son entrée en se grattant l'entrejambe. Il n'était pas venu ici pour le film. J'avais repéré son petit manège en bas dans l'espace DVD et je savais qu'il m'avait suivi en espérant sûrement pouvoir se soulager avec moi. Comme par hasard, il s'assit juste à côté de moi alors que l'endroit est désert. Je fais semblant de rien pour voir si il ose tenter quelque chose. Il sort sa queue et commence à se branler doucement. Sa main glisse sur ma cuisse et remonte jusqu'à mon entrejambe. Je le laisse faire sans rien dire. Le contact de sa main à travers le fin tissu est très agréable. Il plonge sous l'élastique de mon pantalon de sport et commence à me masturber. Je lui rends la pareille. Sans avoir prononcer le moindre mot, me voilà en pleine séance de branlette avec un inconnu. Nos sexes se durcissent au fur et à mesure de nos tripotages. Dès qu'il fût bien dur, je décidais de poursuivre par une bonne pipe à genoux entre ses jambes. Il semblait ravi par la tournure des événements et se laissa complètement aller. Mes grosses lèvres de suceuse s'activait avec délectation sur cette onctueuse queue offerte à moi. Un gars au visage simiesque et à l'allure patibulaire entra à son tour dans la salle de projection. Malgré son manque de jovialité, il semblait apprécier le spectacle que nous lui proposions puisqu'il sorti sa bite pour s'astiquer en nous observant. Tout en continuant à sucer, je plantais mon regard dans le sien. Comme pour lui dire : "regarde ce que tu loupes, mon gros!" Ma fellation ne traîna pas trop en longueur. Il faut dire que le méditerranéen était entrée avec les couilles sur le point de déborder. Malgré ses avertissements, je continuais jusqu'à l'explosion dans ma bouche. Les yeux révulsés, il montait au septième ciel pendant que je le siphonnais jusqu'à la dernière goutte sous l'œil médusé du gorille qui attendait son tour. Une fois son pantalon remonté et les burnes vidées, il me laissa seul à seul en compagnie de l'orang-outan qui s'approcha de moi avec son épaisse teube velue en guise de bienvenue. Pour toute salutation, il m’exhorta d'un simple mot de le prendre en bouche lui aussi:"_Suce!" Mon premier breuvage de foutre à peine avalé, je remettais ça avec ce primate malappris. Sa queue plus large que la précédente remplissait ma bouche. Pas facile d'ouvrir grand comme chez le dentiste quand on a de grosses lèvres charnues comme les miennes. Sans aucune délicatesse, il me fourra la bouche et jouit dedans dans un grognement guttural sans même me prévenir. Son glaire était grumeleux et trop salé à mon goût. Lui non plus ne devait pas s'être vidé depuis un bon moment pour être aussi fermenté. Sans même un remerciement, il remballa son artillerie et me laissa là, à genoux, du foutre plein le menton comme si je n'étais qu'un vulgaire dépotoir à jus. Après m'avoir suffisamment abreuvé dans la salle "cinéma", je descendis au sous-sol pour visionner un DVD de mon choix dans une cabine individuelle pour avoir enfin la paix. Le film commence sur un jeune black gracile accompagné par une horde de mâles en rut dotés de monstrueux braquemarts. En me frottant les mains, je me dis que ce freluquet à demi dévêtu allait en prendre pour son grade. Mais ce que je ne savais pas c'est que moi aussi... À peine installé sur ma chaise, j'entends qu'on frappe à la porte de ma cabine. Qu'est-ce que c'est encore? Tel deux fouines aux aguets, un mâture ayant l'âge de la retraite et un grand barbu passent leurs têtes dans l'interstice de la porte. Le mâture me demande si je désire avoir de la compagnie. Devant mon manque d'enthousiasme ,il demande au grand barbu de nous laisser pour chasser mes réticences, ce qu'il fait sans discuter à mon grand étonnement. A peine ai-je le temps de protester qu'il s'incruste dans la cabine et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire me revoilà avec une bite dans la bouche. Assis sur la chaise, j’obtempérais sans rechigner en pompant ce vieux qui pourrait être mon père, voir mon grand-père. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'il savait s'imposer et qu'il pouvait ...

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