Cela faisait 3 mois que je vivais chez Albert. J'avais remplacé mon copain Michel , comme je faisais tout à Albert, branles, suces, sodomie, câlins et bizoux, nous n'allions plus , ni l'un ni l'autre, au séances de branles de mes potes. Cela me manquait un peu mais Albert me donnait tout ce dont j'avais envie. Amour et sexe.Nos semaines étaient rythmées toujours de la même façon. Le samedi matin, de bonne heure, Albert me prenait, jouissait en moi, nous nous lovions l'un contre l'autre. Après cette grasse matinée, Albert ouvrait ma cage de chasteté, sortait mon petit sexe, mettait ma main droite dessus pour que je me branle et alternativement il me pinçait les seins ou me mettait son pouce dans le cul. Je jouissais en 10 minutes. Nous allions sous la douche, câlins, embrassades, savonnage, essuyage, retour au lit. Albert me remettait en cage. Puis il ouvrait l'armoire ou ma tenue du week end m'attendait. Lingerie sexy, noire, bas noirs aussi, porte jarretelles noirs bien sûr, guêpière ajustée.J'étais peu poilu, Albert me maquillait le visage. Il m'enfilait robe ou jupe et corsage, souliers à hauts talons.Nous prenions sa voiture au sous sol et partions nous promener pour la journée, loin de l'usine où nous étions tous deux connus.Albert aimait les petits chemins déserts ou je pouvais le sucer dans la voiture ou me faire prendre sur une nappe de pique nique. Mon corps, bouche et anus, s'était habitué au gros sexe d'Albert qui me donnait du plaisir sans me faire souffrir. Je m'étais aussi habitué à ses rasades de sperme que j'arrivais à avaler entièrement ou qui me coulaient entre les fesses. Albert avait de gros besoins sexuels, de retour à l'appartement le samedi soir, j'étais de nouveau sodomisé. Nous n'utilisons plus de préservatif, c'était meilleur. Jamais Albert ne touchait ni ne parlait de mon sexe, en dehors de la traite du samedi matin.Il me couvrait le corps de caresses, de baisers , tout le corps à l'exception de mon sexe. J'étais devenu sa compagne, sa maîtresse. Quand nous étions seuls, il me parlait au féminin. Il aimait me maquiller, mes cheveux longs me rendait crédible en femme. Je n'avais pas envie d'un autre homme et Albert ne voulait ni me perdre ni me partager.Sauf ce fameux samedi soir ou l'un de ses cousins débarqua à l'improviste. Le gars partait en vacances et avait penser venir dormir chez Albert pour couper la route. Il n'avait pas prévenu et Albert fut surpris de le voir .C'était l'été, il faisait chaud, je portais juste une jupe courte, un chemisier à fleur,ni soutien gorge ni culotte, j'avais f ...

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