This narrative was rated : 4.0 / 4

 
( 0 = Boring story   4 = TOP story )


Ajouter à ma liste
Journée d'hiver (4)

Publié par : sallynympho le 23/07/2025

Car la nuit était encore jeune. Et moi… insatiable.À peine avais-je repris ma marche, le vinyle de ma robe encore froissé sur mes hanches, qu’une Golf noire freina sèchement juste devant moi. La portière s’ouvrit en grand. Un trentenaire au crâne rasé, l’air nerveux et excité, me fit signe d’entrer sans même parler. Je montai, les cuissardes crissant sur le siège en cuir. Il roula en silence, le regard fiévreux braqué sur mes cuisses, jusqu’à une zone industrielle déserte. Là, il me plaqua contre la porte arrière, sa bouche sur ma gorge, ses mains déchirant presque le vinyle de ma robe. Sa queue se planta en moi d’un coup sec. Je gémis si fort que l’écho se répercuta contre les entrepôts vides. Il me baisait à toute vitesse, brut, animal, les vitres embuées par notre fièvre. Ses râles se mêlaient au crissement de mes talons contre la portière, à la buée qui tremblait sur les vitres sous les assauts de ses reins.À peine descendue de la voiture, encore haletante, qu’un scooter s’arrêta à la volée, pneus crissant sur l’asphalte. --Le type, casque à peine retiré, laissait déjà sa braguette ouverte, la queue jaillissante. Il ne dit rien. Je me mis à genoux sur le trottoir, les genoux sur les gravillons glacés, l’avalant jusqu’à la racine. Ma gorge se tendait à chaque va-et-vient furieux de ce jeune inconnu, ses râles couverts par le vrombissement du moteur encore allumé. La lueur rouge de son feu arrière clignotait comme un stroboscope obscène sur mon visage avalant sa queue.Puis vint un SUV gris, discret, aux vitres teintées. Il ralentit, resta un moment à me mater, puis ouvrit juste assez la porte pour me glisser à l’arrière. Grand, silencieux, mains de marbre et regard noir, il me plaqua au plancher, me maintenant par les épaules pendant qu’il m’enfilait par derrière, à genoux sur la moquette tiède. Chaque coup de reins me faisait hurler, ma joue écrasée contre la banquette en cuir, mes seins écrabouillés contre le tapis, la respiration fauve, les hanches écrasées sous ses paumes puissantes. Quand il jouit, il resta profondément en moi, haletant, puis me donna une claque ferme sur la fesse, laissant une marque rouge bien nette, avant de me remettre dehors sans un mot, comme un objet qu’on a fini de consommer.Je reprenais à peine ma respiration que deux jeunes types en Peugeot s’arrêtèrent en crissant des pneus. Les phares pleins sur moi, portières ouvertes, musique techno à fond, ils descendirent, yeux brillants de débauche. Je n’eus pas besoin de les convaincre. Je me plaçai entre eux, à genoux sur le bas-côté, les talons plantés dans le bitume, ma robe remontée, mon cul à l’air. Je branlais leurs queues durcies alternativement, ma langue glissant de l’un à l’autre. J’en avalai un profondément pendant que l’autre m’enfonçait sa verge au fond du cul avec une brutalité adolescente. Ils gémissaient, me traitaient de chienne, de pute, de déesse du foutre. L’un me crachait sur le dos, l’autre me tirait les cheveux comme un jockey furieux.Et moi, j’étais chez moi, au bord de cette route. Une halte de débauche improvisée. Une station-service de foutre où chaque homme pouvait venir déposer son offrande.Je n’étais plus une passante. J’étais un arrêt obligatoire sur cette nuit de chasse. Un point de passage brûlant pour chaque queue en manque d’exutoire. Et je n’étais pas près de rentrer chez moi.Alors que je reprenais lentement ma marche, titubante, encore dégoulinante, une voix familière m'interpella derrière moi :— Sally ? C’est toi, à cette heure ?Je me retournai. C’était Marc, mon voisin du deuxième. Cinquantaine séduisante, toujours tiré à quatre épingles, regard perçant et sourire carnassier. Il descendait de sa voiture, stationnée à quelques mètres, les yeux rivés à mes cuisses ruisselantes sous la lumière du lampadaire.— Tu rentres ? murmura-t-il en s’approchant.— Pas tout de suite… sauf si tu m’y obliges, soufflai-je en ouvrant légèrement ma robe.Il attrapa ma main sans attendre et m’entraîna vers le banc en bois juste au bord de la chaussée, à moitié caché sous un arbre nu.— J’ai toujours su que t’étais une putain incroyable, Sally, grogna-t-il en me plaquant contre le dossier.— Alors prouve que t’es pas un voisin de pacotille… Baise-moi là, tout de suite.Il baissa son pantalon à la hâte, écarta mon string déjà trempé et s’enfonça en moi d’un coup sec, me prenant en levrette, mes cuissardes solidement ancrées sur le bois glacé. Je hurlai à la lune, offerte, cambrée, ses mains calleuses m’empoignant avec rage.— Putain t’es serrée… et tellement sale déjà.— C’est pour ça que tu m’aimes bien, hein ? Avoue que t’en rêves depuis des mois, voisin.— J’en rêve tous les soirs, salope.Il jouit violemment en moi, m’écrasant contre le banc. Puis, sans un mot, il remit son pantalon, me prit par le bras et m’entraîna vers l’immeuble.— Viens. Je te raccompagne… mais je te lâche pas.Dans la cage d’escalier, il m’adossa contre le mur, une main entre mes cuisses, l’autre agrippant ma nuque.— T’es dégoulinante, c’est indécent… murmura-t-il en me doigter avec avidité.— Continue, je veux que mes gémissements résonnent dans tout l’immeuble…— T’as pas idée comme je vais te faire jouir la prochaine fois.Il m’arracha un dernier cri en frottant ma fente avec frénésie, puis me traîna jusqu’à ma porte. Là, il me plaqua contre le bois, m’embrassa à pleine bouche, m’avalant presque, les doigts toujours entre mes lèvres trempées.— J’vais passer te voir très bientôt, Sally. Cette fois, je te garde toute une nuit. Je veux tout goûter de toi.Je lui mordis la lèvre, tremblante, excitée.— J’attends ça avec impatience… mon voisin.Je restai un moment appuyée ...

... Log in to read the end of this erotic story | 100% free registration


Keywords : Pure fantasy, Masturbation, Blow job, Sodomy, Forty, Fetish, Trav, Threesomes