Je me suis levée, me suis placée devant lui, ai tourné le dos et me suis appuyée sans prévenir sur la table d’examen, cambrée à outrance.— Je suis prête, docteur. Allez-y… Je ne suis pas timide. Vous pouvez tout regarder.Un frisson a parcouru la pièce, mêlant anticipation et désir. Impudique et offerte, je faisais de chaque geste une provocation, une invitation brûlante à franchir les limites.Il n’a pas répondu tout de suite. Je l’entendais respirer plus fort, juste derrière moi. Le froissement de ses gants en latex brisa le silence. --Puis je sentis ses doigts, gantés, écarter doucement mes fesses, explorant sans précipitation, mais avec une assurance croissante.— Vous êtes… très détendue, murmura-t-il.Je souris, cambrée, offerte, mon string toujours tiré sur le côté.— Je suis là pour ça, docteur. Vous voulez faire le prélèvement maintenant… ou après m’avoir prise ?Il a retiré ses gants. Lentement. Je l’ai entendu ouvrir sa braguette, et mon cœur s’est mis à battre plus fort. J’adorais ça. Ce moment suspendu où tout pouvait basculer. Et là, ça a basculé.Sa main chaude a glissé sur ma hanche, puis il m’a prise d’un coup sec, sans prévenir. Mon corps l’a accueilli comme une évidence. Je me suis arquée sous l’impact, un gémissement rauque m’échappant aussitôt.Ses mains se sont agrippées à mes hanches, me maintenant fermement pendant qu’il me prenait avec une ardeur contenue. Chaque coup de reins résonnait dans la petite pièce, les frottements de mes cuissardes crissant contre le sol, mes soupirs emplissant l’espace.Je voulais qu’il sente à quel point j’adorais ça. J’ai tourné la tête, lui lançant un regard par-dessus mon épaule.— Tu veux ma gorge aussi, docteur ?Il a grogné, son souffle devenant erratique. Mon corps tout entier vibrait sous l’assaut, mes seins pressés contre la table d’examen, mes ongles griffant le revêtement plastifié.Son râle a éclaté juste avant qu’il ne se fige, profondément en moi, puis s’est effondré sur mon dos un instant. Il s’est redressé, haletant.Je suis restée en position, mon string encore écarté, les cuisses marquées de chaleur le sperme du docteur qui dégoulinait de ma chatte béante. J’allais me redresser quand la porte s’est entrouverte.Un infirmier entra, un jeune homme noir au regard surpris… puis affamé. Il n’a pas demandé d’explications. Son regard a glissé sur ma silhouette cambrée, encore offerte, et sans un mot, il a fermé la porte derrière lui.Je n’ai pas bougé. Le silence était tendu, sensuel. Il s’est approché lentement, presque en apnée, ses yeux parcourant ma robe en vinyle retroussée sur mes reins, mes cuisses ouvertes, ma peau déjà marquée de foutre encore tiède. Ses doigts effleurèrent ma taille, le contact léger comme une promesse.— On dirait que j’arrive au bon moment… murmura-t-il d’une voix rauque, la bouche proche de mon oreille.Je me suis contentée de sourire, les mains bien posées sur la table, offerte comme une réponse silencieuse à son désir.— Tu vas te servir toi aussi ?Il n’a pas hésité une seconde. Il s’agenouilla derrière moi, ses grandes mains sombres caressant mes hanches, remontant doucement le long de mes flancs, avant de redescendre, saisissant fermement mes fesses écartées. Il écarta mon string vinyle encore tiré sur le côté, révélant ma fente dégoulinante, offerte, insatiable.— Putain, t’es trempée…Il cracha dans sa main, se masturba un instant, puis s’enfonça en moi d’un seul coup, brutal, profond. Mon cri résonna dans la pièce blanche, se mêlant au claquement des hanches contre mes fesses, au crissement des cuissardes sur le sol plastifié.Chaque va-et-vient était une déclaration, une prise de possession assumée. Je me cambrais davantage, accentuant la tension de mon dos, la cambrure de mes reins, le soulèvement de mes seins collés à la table. Je voulais le sentir plus profond encore. Je voulais qu’il me prenne sans retenue.— Vas-y, chéri… baise-moi comme une pute…Il accéléra, me maintenant fermement, ses râles se mêlant à mes gémissements. Il se pencha, sa main libre venant agripper mes cheveux, me tirant légèrement en arrière. Mon dos se tendit, chaque muscle vibrant de plaisir.— J’vais te remplir, salope, t’es trop bonne comme ça…— Oui, vas-y… remplis-moi…Et il jouit dans un râle profond, sa semence chaude se mêlant à celle du médecin encore présente en moi. Je le sentis trembler contre mes fesses, son souffle court sur ma nuque. Il se retira lentement, me laissant là, ruisselante, pantelante, le sourire aux lèvres.Je restai cambrée encore quelques secondes, les mains posées sur la table, savourant l’instant. Puis je tournai doucement la tête vers lui.— Tu veux un deuxième tour, beau gosse ?L’infirmier, haletant, encore en train de se remettre de sa jouissance, sortit son téléphone. Il lança un appel rapide, la voix basse mais vibrante d’excitation :— J’ai besoin d’un coup de main… tout de suite.Quelques instants plus tard, deux autres infirmiers franchirent la porte. Leurs regards se figèrent sur moi, encore cambrée, ma chatte dégoulinante, mon cul brillamment offert, ma robe retroussée haut sur mes reins, les cuissardes solidement ancrées au sol comme si elles réclamaient qu’on vienne me pilonner encore. Un long silence pesant s’installa, chargé de tension, puis ils échangèrent un regard — et refermèrent lentement la porte derrière eux.— Elle est à nous ? murmura l’un, sa voix rauque trahissant l’excitation, déjà en train de faire sauter le bouton de son pantalon.Regarde-la… elle n’attend que ça, répondit l’autre, le souffle court, ses yeux brûlants rivés sur mon entrejambe encore entrouverte, luisante de foutre.--Je ne bougeai pas. Je savais exactement ce que je faisais, les mains bien posées sur la table, ma cambrure accentuée, ma respiration déjà plus lourde. Je leur offris un sourire sulfureux, les lèvres rouges entrouvertes.— Venez, les garçons… il reste de la place. Mais prenez-moi comme je le mérite.Le premier s’approcha dans un grondement de désir, et sans un mot, se mit à genoux derrière moi. Ses mains fortes agrippèrent mes fesses, les écartant avec une brutalité délicieuse. Son souffle chaud s’écrasa contre ma fente déjà ouverte. Il m’embrassa là, un long coup de langue torride, me faisant gémir aussitôt. Je sentis ses doigts me pénétrer, explorant sans douceur, cherchant à me dilater encore, à me préparer.L’autre ne perdit pas de temps non plus. Il contourna la table, sortit sa verge dure et luisante, et me la tendit sous le menton. Je levai les yeux vers lui, lentement, avant de l’engloutir profondément dans ma bouche, les lèvres s’étirant autour de son membre. Il grogna.— Bordel, elle avale tout…Mes mains restèrent sagement sur la table, pendant qu’ils me prenaient chacun d’un côté, avec une précision dévorante. Mon cul fut pénétré brutalement par le premier, tandis que ma bouche était remplie par l’autre. Je me laissai aller à cette double possession avec une joie brute, chaque coup de reins me faisant vibrer jusqu’au cœur.Le médecin, lui, restait figé près du mur, la main glissée sous sa blouse. Son regard ne quittait pas la scène. Sa verge était déjà ressortie, bien raide, luisante, palpitante. Il n’était plus médecin, il était spectateur d’un culte dépravé. Il bandait à nouveau, fasciné, possédé par cette vision de moi, prise à la gorge et au cul, dévorée, offerte sans limite.Je le vis s’approcher lentement, attiré comme une mouche par la lumière d’un incendie. Je savais qu’ils allaient tous me prendre. Encore. Plus fort. Plus profond. J’étais prête. Encore. Plus que jamais.Le médecin s’approcha enfin, incapable de résister davantage. Sa blouse ouverte laissait voir son sexe dur et palpitant, déjà prêt à me punir de toute cette provocation. Il se plaça face à moi, attrapa mes cheveux avec fermeté, et guida ma bouche grande ouverte vers son membre luisant. Je l’avalai sans hésitation, gorge offerte, langue avide.Il me pilonna sans ménagement, tenant ma tête comme un étau, baisant ma gorge avec une intensité animale. Mon maquillage se brouilla, mes yeux pleuraient de plaisir, ma salive coulait le long de mon menton, mais je ne reculais pas. Je l’avalais tout entier, le recevant profondément, encore et encore.— T’es faite pour ça… gémissait-il, la voix tremblante.Et dans un râle sauvage, il se vida brutalement tout au fond de ma gorge. Je le sentis pulser contre ma langue, son sperme chaud jaillissant profondément, et je l’avalai sans hésiter, gourmande, offerte, comblée.Quand les quatre hommes eurent enfin joui, leurs corps haletants autour de moi, leurs sexes encore ruisselants, je restai un instant agenouillée entre eux, la bouche entrouverte, les cuisses écartées, encore pleine et tremblante. Puis lentement, je me redressai, mes cuissardes crissant sur le sol plastifié, mes mains couvertes de traces épaisses et chaudes. D’un geste lent, sensuel, je glissai deux doigts entre mes seins poisseux, recueillant une traînée de sperme qui perlait encore de ma gorge. Je portai ces doigts à ma bouche, les léchai avec gourmandise, savourant chaque goût mêlé, chaque offrande.Je pris le temps de ramasser chaque goutte sur ma peau, dans le creux de mes seins, sur mon ventre, le long de mes cuisses, entre mes fesses. Rien ne fut laissé au hasard. Puis, satisfaite, je lissai d ...
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